Who are you?
✗ nom Reysson.
✗ prénoms Charlie Nolane.
✗ âge/date de naissance 31 octobre 1980/17 ans.
✗ maison à poudlard Serpentard.
✗ groupe Serpentard.
✗ profession Bourreau ça compte ?.
✗ statut civil Officiellement célibataire. Officieusement...
✗ patronus Un Pangolin.
✗ épouvantard Des trombes d'eau.
✗ baguette Bois de Noyer, 27,5 centimètres, ventricule de cœur de Dragon.
✗ sang Sang-mêlé mais fait croire à tout le monde qu'elle est sang-pur.
✗ particularités Un tatouage dans le dos représentant un serpent brisant les épines d'une rose.
✗ avatar Debby Ryan.
✗ scénario En quelque sorte.
What do you think?
✗ Que pensez-vous de la notion de sang-pur? Hum, je dirais qu'être sang-pur apporte pas mal de privilèges. Nous sommes les
vrais sorciers ! Puisque nous sommes issue d'une lignée de sorciers purs, ça veut bien dire que notre sang est plus hum... "sorcier" que ceux des autres non ? Donc nous sommes supérieurs. Oh bien sûr je n'ai rien personnellement contre les sang-mêlés et les autres, il faut de tout pour faire un monde...
✗ De quel côté vous placez-vous dans cette guerre? Je ne m'intéresse pas à la guerre. Aussi étonnant que cela puisse paraître, je n'ai pas l'intention de m'allier à vous-savez-qui à ma sortie de Poudlard. Cela dit... je pense qu'il n'a pas tout à fait tort sur certains points.
✗ Si vous aviez pu choisir votre maison à Poudlard, laquelle auriez vous prise? Toute ma famille est allée à Serpentard et je suis beaucoup fière pour avoir envie d'aller ailleurs.
What happened to you?
Harvey Reysson avait toujours rêvé d’avoir un garçon. Depuis tout petit il avait été chéri par son père et il voulait en faire autant lorsque son tour viendrait. Suivant la lignée de sa famille, il passa sa scolarité à Serpentard, où il rencontra Isabel Delorencourt, une française transférée lors de sa 5ème année dans la maison de Salazar. Entre Harvey et Isabel, ce fut ce qu’on peut appeler le coup de foudre. Ils flirtèrent ensemble durant deux ans puis, avec l’accord des deux familles, se marièrent un an plus tard. Harvey savait que sa femme était une sang-mêlé mais il décida de taire ce détail à tout le monde. Après tout, ils étaient vus comme le couple parfait, inutile de venir gâcher cette idylle avec quelque détail sans importance.
Le couple Reysson ne faisait pas partis des partisans du Lord Noir. Ils étaient certes passés par la maison des verts mais leurs ruses et leurs opportunismes n’y étaient pas anodins. Ils avaient de l’argent, une assez bonne réputation en tant que chef de bureau et la dernière chose qu’ils souhaitaient c’était de foutre leur vie de rêve en l’air en prenant le risque de terminer à Azkaban. Ils menaient donc leur petite vie de bourgeois antipathique entourés de leurs familles et de leurs amies, planifiant déjà les cinquante prochaines années.
Puis vint le jour où…
BONNE CHANCE, CHARLIE !
Huit mois. Huit mois qu’il était dans l’attente constante. Isabel et lui avaient enfin réussi à réaliser un de leurs rêves : avoir un enfant. Isabel était enceinte de huit mois et d’après le Médicomage qui la suivait, leur enfant risquait de naître avant terme. Le décompte avait commencé.
Ce fut un 31 octobre, à l’aube, qu’une petite fille décida qu’il était tant pour elle de découvrir le monde. Harvey parut déçu lorsqu’on lui annonça que son premier enfant était une fille mais se ressaisit bien vite. Rien ne l’empêchait d’avoir deux, trois enfants. Autant qu’il en faudrait jusqu’à avoir un fils.
Hélas, son rêve fut de courte durée. Une complication durant l’accouchement empêcherait dorénavant Isabel d’avoir d’autres enfants. Cette dernière, bien que très triste, afficha tout de même un sourire en rassurant le médicomage. Elle avait une fille, certaines femmes ne pouvaient même pas en avoir une. C’était ce qui comptait le plus. Monsieur Reysson en revanche ne reçut pas la nouvelle d’une aussi bonne oreille. Muet de tristesse, il ne prononça qu’un seul mot de toute la matinée : Charlie. S’il ne pouvait pas avoir de fils, alors soit. Il prendrait au moins le privilège de choisir le prénom de sa fille, et ça serait Charlie.
PETIT OISEAU, SI TU N’AS PAS D’AILES…
Contre toute attente de la part d’Isabel et d’Harvey lui-même, Charlie fut la plus gâtée des petites filles. Elle recevait toujours des tonnes de cadeaux et aucun caprice ne lui était refusé. Un précepteur fut engagé afin de dispenser les cours élémentaires à la petite princesse. Elle était tarie d’éloges de la part de tout le monde et ne tarda pas à comprendre comment fonctionnait le monde autour d’elle. Elle se mit à élaborer des stratégies de plus en plus fines afin d’obtenir ce qu’elle voulait, même si la plupart du temps une bonne crise de nerf suffisait à faire craquer sa mère. Certains la traitait de petite peste, d’autres de gamine pourrie-gâtée… Mais Charlie ne voyait pas où était le mal. Lorsque, par malheur, on lui refusait quelque chose (même si ça restait extrêmement rare), la fillette allait s’enfermer dans sa chambre et restait là des heures, à fixer ses poupées en porcelaine d’un air boudeur. Personne ne savait ce qui se passait dans sa tête mais l’on pouvait aisément deviner ses plans de vengeance en préparation.
A l’âge de neuf ans, alors que son père commençait à avoir des doutes sur le fait que sa fille ait hérité du don de sorcellerie, Charlie manifestation son premier pouvoir. Il faisait un soleil radieux et la jeune fille voulait absolument aller jouer dehors. Malheureusement pour elle, ce n’était pas du goût de son précepteur qui avait encore quelques leçons d’Anglais à lui inculquer. Croisant les bras, Charlie hurla de toutes ses forces en tapant des pieds par terre. Au bout de quelques secondes elle entendit également le cri du majordome se mêler au sien. Ouvrant les yeux pour voir si sa crise avait eu l’effet désiré, la fillette sentit sa voix s’éteindre dans sa gorge face au spectacle qui lui faisait face. Le salon était dévoré par les flammes.
Monsieur Reysson entra en trombe dans la pièce, alerté par les cris et resta paralysé de stupeur. Puis, petit à petit, un sourire vint se dessiner sur son visage. Il se précipita vers Charlie – qui était en train de pleurer toutes les larmes de son petit corps, croyant avoir une bêtise – et la serra dans ses bras, ne retenant pas une larme de joie de rouler sur sa joue.
LA PATIENTE EST UNE RUSE DE L’ESPOIR.
« Serpentard ! » Affichant un sourire satisfait, Charlie se leva et alla rejoindre la table où les applaudissements étaient les plus forts. Elle alla s’asseoir à côté d’une blonde au visage de poupée et d’un garçon aux cheveux aussi blonds que ceux d’un norvégien. La plupart des enfants assis à cette table était comme elle, des enfants venant de familles aisés et dont l’ambition était démesurément grande. La petite Reysson se réjouissait d’avance des sept années qu’elle allait passer ici.
Et ces années passèrent, amenant avec elles leurs lots de joies, de peines, de surprises. Même si au début elle avait été curieuse de voir à quoi ressemblait le fameux Harry Potter dont elle avait tant entendu parler, elle le détestait à présent. Elle préférait nettement Draco Malfoy, avec qui elle partageait ses années à Poudlard.
D’ailleurs, il n’y avait pas qu’Harry Potter que Charlie avait du mal à encadrer. Tous les élèves avaient quelque chose qu’elle ne supportait pas. Trop naïf, trop gai, trop gentil, trop populaire… Bref, les amis se faisaient rares dans son entourage et elle ne s’en plaignait pas. Elle avait toujours deux ou trois moutons qui la suivaient partout, espérant briller un peu plus en restant à ses côtés. Ils voulaient se sentir importants et elle avait besoin de larbins. Tout le monde y gagnait au change.
Vers l’âge de 15 ans, Charlie comprit que son corps avait changé et qu’il attirait certains regards, pas du tout désagréable. Durant sa cinquième année elle se prépara donc, observant, analysant, comprenant certaines choses. Et lors de sa sixième année, ce fut une nouvelle Charlie qui débarqua à Poudlard. Portant des vêtements des plus « féminin », laissant dévoiler ses formes fraichement développées, elle ne se privait pas de faire baver quelques têtes. La jeune femme se prit rapidement au jeu de la séduction et en voulait toujours plus. Filles ou garçons, elle aimait plaire. Elle charmait, prenait ce qu’elle voulait clôturait l’affaire.
Jusqu’au jour où, alors qu’elle rentrait dans sa dernière année, elle croisa la route de Sacha McNeil…
La personne derrière l'écran.
✗ prénom/pseudo Lou.
✗ âge 20 ans.
✗ où avez-vous connu le forum? ✗ ce que vous aimez Vous.
✗ ce que vous n'aimez pas La chaleur, la plupart des légumes.
✗ un dernier mot? Pois chiche, filou et grubuluchtu.