I am not tone enemies, stop your arrogance [Viper & Thelma]

Après près de deux heures passaient dans ma salle que j'avais appris à chérir au fil des années pour organiser le cours pour la semaine jalonnant le week-end et faire le grand rangement de quelques parchemins en désordre.
Passant un dernier regard circulaire sur l'ensemble de cette chère salle vide, digne d'une après-midi de week-end. Je saisis la poignée de la porte et sorti longeant les longs couloirs froids du splendide château qu'est Poudlard. Ayant accompli tout ce dont je devais m'occuper, je comptais prendre un peu de temps pour moi et ceci débutait en me vêtissent d'une autre tenue, après quoi j'entamerais une petite balade à l'extérieur du château.
Marchant sans destination définie par avance mes pas me guidèrent en des lieux familiers que j'affectionnais beaucoup. Flânant dans les rues de Prè-Au-Lard je me souvins soudain qu'il me manquait des plumes et de l'encre c'est donc avec une extrême détermination que j'emboitai un pas energique jusqu'au vendeur de plume.
À ma grande surprise en sortant de la petite boutique, je m’apprêtais dès à présent à me rendre chez madame pieddodue pour savourer un bon thé chaud et non loin je vis l'un de mes jeunes élèves de chez Serpentard. Étonnamment ce jeune sorcier aux pourtant excellentes notes se montrer désagréable dans mes cours et quelque peu insolent même. J'avais la certitude qu'il y avait une excellente raison qui justifiait son comportement. Vu ses bons résultats, je pouvais d'ores et déjà illuminer la cause de la matière que j'enseigne. Certes l'étude des runes ne passionnait pas forcément tous mes élèves, néanmoins lorsque cela était le cas, je le voyais sans l'ombre d'un doute.
Avec un regard bienveillant je me fraye précautionneusement un chemin au travers des personnes se promenant et avance jusqu'au jeune sorcier aux cheveux d'un brun de jais et au visage étrangement pâle. Arriver à son niveau je pose une main sur son épaule ne sachant pas s'il m'avait vu venir ou non espérant tout de même ne pas effrayer.

« - Monsieur Marteen, je suis surprise de vous voir en ces lieux. Comment allez-vous aujourd’hui ? »

La dernière fois que j'avais vu le jeune Cyprien, il me semble que s'était dans la matinée de vendredi et comme de coutume il s'était éclipsé en quatre vitesses au son de la cloche signifiant la fin du cours.