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 « Tell me how did we get here? And where the fuck do we go now? » | ft. Bailey

A. "Flynt" Miller
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MessageSujet: « Tell me how did we get here? And where the fuck do we go now? » | ft. Bailey   « Tell me how did we get here? And where the fuck do we go now? » | ft. Bailey EmptyLun 8 Avr - 19:52





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Quelque part dans une forêt anglaise, été 1998




☾☾Des semaines de recherches, des pattes graissées, devoir parler à des personnes dont j'en ai rien à faire, récupérer des documents ou en emprunter d'autres, tout ça pour un collier. Une commande d'un client rare qui souhaitait mettre la main sur un objet de grande valeur. Un collier fait d'opaline, datant du sixième siècle selon le commanditaire. Une simple gravure dans un livre, une note d'un moine qui l'aurait eu en sa possession. Les informations étaient maigres mais suffisante pour trouver une piste.

Un site archéologique sorcier en plein cœur d'une forêt. Voilà où menait la piste. Mais ce collier avait des pouvoirs selon certains. Fait de magie noire, il apporterai malheur à l'entourage de celui qui le porte. Autant vous dire que si vous n'aimez pas votre famille ou que vous souhaitez vous débarrasser de quelqu'un de proches de vous, ce collier était l'idéal. Une vieille carte qui daterait d'un treizième siècle, sac en cuir sans fond où tout le matériel dont j'avais besoin étaient dedans, ma baguette dans la poche et me voilà parti à la chasse au trésor pour un client fortuné. Un tel objet pouvait vouloir une petite fortune. Surtout si on connaissait son pouvoir. Peut être est ce pour ça qu'il est enterré dans cette forêt ?

Le site n'est plus très loin quand un sort fuse et me rate de moins d'un mètre. Je me retourne une fois, et vois soudainement du monde derrière moi. Eh merde ! J'enfourne la carte dans la poche interne de mon manteau, et commence à prendre une direction opposé et me met à courir. Les sorts fusent, faisant exploser les écorces des troncs. Je n'avais pas été prudent sur ce coup et n'avait pas vérifié si j'étais suivi. Grognant presque contre moi même d'avoir oublié quelque chose d'aussi essentiel, je lançais quelques sorts d'entraves, presque à l'aveugle derrière moi. J'entendis un cri et une chute. Je devais en avoir eu un. Un sourire se dessina rapidement sur mes lèvres, et disparut aussi soudainement quand je sentis une corde se serrer autour de ma cheville et que je m'arrêtais net dans ma course, tombant en avant, me faisant lâcher ma baguette. Je me suis senti tiré en arrière et redressé, la tête en bas.

C'est une putain de blague ?


Je me retrouve à l'envers, soufflant à moitié de frustration et de colère, cherchant à m'étendre pour m'enfuir. Piégé comme un bleu c'était n'importe quoi ! Je laisse pendre mes bras vers le sol alors que je vois ceux qui me poursuivaient approcher. Eh merde, des aurors... Apparemment tout ceux qui s'approchaient du collier d'opaline étaient bon pour avoir la poisse. Je ne vois que ça comme explication logique à mon petit contre temps matinal. Je tente le bluff et lance un sourire à l'un des hommes en penchant la tête sur le côté pour tenter de lui parler, dans le bon sens.

« Bonjour à vous ! Je crois qu'il y a erreur ! Je suis Antiquaire sur le Chemin de Traverse ! J'ai eu une piste pour un objet et je n'ai fais que la suivre ! »

Je sors mon plus beau sourire innocent et garde les paumes ouvertes, pour clamer mon innocence.  

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Bailey Barnett
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MessageSujet: Re: « Tell me how did we get here? And where the fuck do we go now? » | ft. Bailey   « Tell me how did we get here? And where the fuck do we go now? » | ft. Bailey EmptyMar 9 Avr - 1:06


   
   
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ϟ C’était la merde. J’avais les bottes pleines d’eau, de la morve sur le bord du nez et je commençais à ne plus sentir le bout de mes orteils. La température grisâtre et le vent glacial transperçaient les épaisses couches de vêtements que j’avais enfilés ne suffisait pas à me réchauffer. Je ne pouvais pas croire que l’on m’avait mis sur cette mission. Habituellement, je me chargeais davantage des cas de violences et de conflits entre civils. Mais faute de ressource, je m’étais coltiné l’arrestation de trafiquants d’objets et comme la course poursuite n’était pas ma passion première, j’avais usé de mes contacts pour monter une embuscade. Tout avait commencé il y a quelques semaines, j’étais passé devant la vieille tante Suzie. Tante Suzie était un personnage bien connu des forces de l’ordre, une vieille chipie qui aimait bien abuser de la boisson, mais qui par-dessus tout raffolait des commérages. Grande actrice que j’étais j’avais demandé l’aide de Costa mon partenaire de patrouille. La scène devait se dérouler ainsi ; je devais m’approcher de mon collègue en jurant contre les chasseurs de trésors et mentionner l’existence d’un collier mystérieux aux pouvoirs terribles. Puis, je racontais en détail l’histoire citant un ouvrage que j’avais trouvé à la librairie du coin. La vieille avait tout gobé et puis elle s’en était allée et je savais que nous avions réussi. C’était ce plan qui m’avait amené à attendre sous la pluie comme une cruche à peine couverte par l’épais feuillage des chênes qui m’entouraient. Costa, Benson et Dick se trouvaient un peu plus loin. Les pièges avaient été posés à des endroits stratégiques au travers des ruines. C’était notre deuxième jour de camping et je pouvais sentir le doute de mes collègues comme des dagues dans mon dos et ce temps de chien qui faisait n’était pas là pour m’aider. Mais je gardais confiance, il n’y avait rien de plus fort que les rumeurs, c’était ce qui faisait vibrer le monde des sorciers, sinon comment expliquer le succès de cette Rita qui avait exploité et humilié publiquement à maintes reprises des mineurs durant la guerre ? Non, j’en étais certaine, ils tomberaient dans le piège. C’était mon oncle qui avait un Ranch dans le coin d’Austin qui m’avait appris à poser un piège à tension. En deux trois coups de baguette nous avions dissimulé plusieurs pièges sur 3 km. J’étais en train d’essayer de me souvenir d’un sort pour essayer de me réchauffer quand les sons d’un conflit me réveillaient de ma torpeur. Jackpot ! J’eus à peine le temps de voir une ombre passer dans mon champ de vision que mon piège se déclenchait. Des sons de détonations m’indiquaient que deux ou trois pièges plus loin avaient également été déclenchés. Je me levais avec difficulté de ma cachette et étirait avec peine mon dos courbaturé. Bordel. Je me penchais pour ramasser la baguette de l’inconnu avant de voir que Costa s’était rapproché en courant.

– Bailey, tu ne croiras pas… Ah ben toi aussi t’en as un. Je te dois 50 Gallions.

J’avais arqué un sourcil en réponse. Ça lui apprendrait à douter de moi. Mais avant que je puisse l’aiguillonner, l’étranger qui sans doute ne devait pas apprécier de se faire ignorer s’était ouvert la bouche. Il clamait qu’il y avait erreur et qu’il était un homme honnête. À cela, je ne pus empêcher un rictus moqueur. Ils nous prenaient pour des couillons ou quoi ? Je m’approchais davantage pour voir son visage qui était dissimulé par son manteau. C’est qu’il n’était pas moche, le saligaud ! Un menton fendu, des pommettes hautes et de jolis yeux bleus. Dommage qu’il eut choisi le monde des sorciers, ce connard aurait été le casting parfait pour un film d’Hollywood. Mais bon, j’étais pas là pour me rincer l’œil, j’avais un travail à faire. Je lui fis un sourire, niais avant de susurrer avec méchanceté :

– Bonne nuit Monsieur l’antiquaire !

Doucement, j’appuyais le bout de ma baguette sur sa tempe et murmurait l’incantation d’un bon vieux sort de sommeil. Il était temps de transplaner au poste et de remplir mon rapport. Je m’occupais d’abord de la corde autour des chevilles de l’homme inconscient, prenant bien soin à ce que sa tête ne heurte pas le sol. Puis, je conjurais à mon esprit l’image des cellules du Ministère avant d’empoigner le bras de l’homme et de prononcer l’incantation. Une fois sur place, je sortais les menottes et les serrait sur les poignets du beau gosse avant de reculer et admirer mon travail. Je n’avais qu’une envie, c’était de prendre une douche chaude et un bon chocolat chaud. Malheureusement, mon quart de travail ne finissait pas avant 16 h et mon bureau se trouvait directement en face des cellules. Je soupirais tandis que je fermais la porte de geôle. J’avais retiré plusieurs couches de vêtements et je grognais de plus belle en réalisant que ma chemise toute blanche était détrempée. Maudites îles avec des températures de culs. Le climat aride du Texas me manquait. Est-ce que c’était possible d’avoir le mal du pays 22 ans plus tard ? Exténué, je m’étais laissé tomber comme une serviette sur ma chaise, rechignant à prendre ma plume pour écrire mon rapport.

Je voulais rentrer chez moi et dorloter mon chat !

   



   
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Dernière édition par Bailey Barnett le Ven 3 Mai - 0:42, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: « Tell me how did we get here? And where the fuck do we go now? » | ft. Bailey   « Tell me how did we get here? And where the fuck do we go now? » | ft. Bailey EmptyVen 26 Avr - 23:03





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Quelque part dans une forêt anglaise, été 1998




☾☾Je m'étais fait avoir comme un bleu ! Je fulminais intérieurement, alors que ma baguette était tombée au sol dans le processus. Je gronde et rage mais très vite des pas arrivent vers moi. Tentant de les raisonner, c'est une femme qui se posa devant moi, accroupie, quand elle parla, je compris où elle voulait en venir.

« Non non non non non n... »

Je n'ai pas le temps de continuer, que je me sens sombrer dans l'inconscience quand elle pose sa baguette sur ma tempe.

*****

Où est ce que je me trouvais ? Aucun idée. Le sol était dur, froid, humide. Le bruit de l'eau qui coulait en continue résonnait dans la pièce où je me trouvais. Ou est ce que j'étais encore ? Je me souviens de la forêt, du collier d'opaline.

J'inspire d'un coup, ouvre les yeux et me redresse d'un même mouvement. Me rappelant soudainement ce qui s'était passé. Je grogne quand je tente de mettre une main à ma tempe mais que mon bras suit le premier. Je prend conscience de la paire de menotte que j'ai autour des poignets et me met en position assise, sur la couchette où j'avais été déposé. Je fixais d'un œil noir le robinet dans  le coin de la pièce qui gouttait alors que je remis mes idées en place en observant la pièce. C'était une cellule. Eh merde. Je devais m'échapper d'ici. Impossible de transplaner dans les locaux, les cellules étaient prévu pour ça. Je tâte la poche interne de ma veste, sent encore la carte. Il ne m'ont pas fouillé ? Pourtant je n'ai pas ma baguette magique, donc soit ils l'ont ramassés avec eux, soit ils l'ont laissé là bas. Je tente de réfléchir à toute vitesse. Je devais d'abord m'échapper d'ici. Si jamais il découvrait ma marque, j'étais fichu.

Je commence à faire les cent pas dans cette petite cellule et finalement, décide que si je devais attendre, le mieux serait peut être que j'attaque le premier. Je m'approche de la porte, toque contre la porte métallique avec l'acier de la menotte pour faire résonner un maximum le bruit.

« Eh ! Il y a quelqu'un ? »

Une trappe s'ouvre quelques instants plus tard. Un sourire se dessine sur mes lèvres quand je vois le regard courroucé d'un homme.

« Où est ce que je me trouve s'il vous plait ? »
« Tu l'sauras bien assez tôt. »

La trappe se ferme et la porte s'ouvre alors qu'il tendait sa baguette vers moi. Je pourrais la lui arracher, m'enfuir... Mais cela voudrait dire perdre mon empire. Je devais la jouer fine, très fine. Et si je voulais passer pour un innocent, je devais me montrer irréprochable.

Aussi, quand il attrapa mon épaule pour me conduire vers les bureaux, je reconnus les parois froide en brique noire du département des mystères. Conduit dans un bureau, posé sur une chaise, je grogne et lance une œillade noire avant de tourner mon regard vers la personne en face de moi. Ah, la jeune femme qui m'avait dit de faire un petit somme. Je regarde son bureau, désordonné, des dossiers trainaient, non alignés, des feuilles en dépassaient. Des plumes abimées, un encrier non fermé, un petit drpaeau d'un état américain dans le coin, son nom sur une plaque dorée pour qu'on oublie pas à qui appartenait ce bureau. Je sens mon perfectionnisme hurler face à un tel désordre. Comment pouvait elle être organisée avec tout ce foutoir ?

Résumons, aussi charmante et belle qu'elle l'était, elle n'était pas d'Angleterre, semblait peu adaptée au climat froid et humide de Londres et était bordélique. Surement avait elle d'autres troubles sous-jacent. Et vu comment elle était affalée sur sa chaise au moment où j'étais entré dans le bureau, surement qu'elle ne s'encombrait pas des conventions sociales. Une pure cowboy dans l'ancien monde, hin ? Avait elle aussi ce tempérament fougueux de l'Amerique profonde ?

« Il me semble que vous faites erreur sur la personne Miss Barnett. »

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MessageSujet: Re: « Tell me how did we get here? And where the fuck do we go now? » | ft. Bailey   « Tell me how did we get here? And where the fuck do we go now? » | ft. Bailey EmptyJeu 2 Mai - 23:35


   
   
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ϟ L’odeur des vêtements et cheveux mouillés me collait au nez. Je reniflais un peu. Costa était venu me porter un latté entre-temps pour me réchauffer et j’avais souri faiblement. L’opération s’était somme toute bien déroulée. Pour quelque chose qui n’était habituellement pas dans mon rayon d’expertise, j’avais fait preuve de stratégie et d’ingéniosité. Personnellement, je trouvais que la communauté des sorciers reposait trop sur la magie et aurait à gagner à considérer les méthodes moldues. La preuve, c’était une bonne vieille technique de trappage qui nous avait permis de mettre la main au collet de plusieurs chasseurs de trésors illégaux. Mais bon je ne m’attendais pas à ce qu’on me lance des fleurs, s’il y avait une chose que j’avais apprise en étant une femme dans la police c’est qu’on soulignait rarement mes bons coups. Mais si je me plantais… Alors là ! J’avais dû lâcher-priser à un certain moment. À quoi bon lécher des bottes et se faire marcher dessus si c’était pour qu’on crache sur mon non au moindre faux pas. Valait mieux laisser leur moment de gloire. Comme de fait, le chef était passé féliciter Costa, Benson et Dick pour leur travail acharné sur l’affaire. J’avais à la fois envie de rire et de pleurer. À quoi bon ? Je me demandais parfois pourquoi je m’obstinais à poursuivre cette carrière alors que j’avais l’option de vivre sur le bras de mon père. Il y avait l’orgueil, certes. Je m’étais promis de faire justice là où justice m’avait oubliée. Il y avait bien cette affaire de disparition de jeune femme qui m’inquiétait et que j’avais tenté à maintes reprises de porter à l’attention de mon supérieur. Or soyons franc, le bonhomme n’en avait rien à foutre des adolescentes et travailleuses de la nuit qui se volatilisait. Lui ce qu’il voulait c’était une histoire juteuse et bien grasse, le genre de cas qui faisait la première page de la gazette du sorcier. Je soupirai en sirotant mon café, un autre truc qui me tombait sur les nerfs c’était la compétition entre les départements. Chaque année, c’était la course aux financements. Les affaires criminelles devenaient un cirque et les victimes des clowns qu’on baladait sur les manchettes pour le plus grand plaisir de ces messieurs. Mais tout ça, c’était de la politique. Quant à moi, j’aurais préféré que l’on garde le peuple et particulièrement les proches et les familles en dehors de tout ça. Je songeais avec regret à mon lit et mon chat qui m’attendait dans mon petit appartement. J’avais envie de prendre une bonne douche chaude et de me glisser sous les couvertures. Je fus sorti de ma rêverie par Jefferson qui traînait à sa suite ma prise du jour. Sous la lumière des néons, il était toujours aussi beau. Grands, cheveux roux bouclée un peu plus je me mettrai à saliver. Ses traits étaient tirés sans doute liés au stress de son arrestation et les premiers mots qui sortaient de ses lèvres fines me laissèrent pantoise... Une erreur ? Visiblement, on était tous des crétins. J’avais roulé les yeux avant de répliquer :

–Nom prénom et occupation ?

J’agrippais ma baguette et d’un mouvement j’encourageais la plume transcriveuse à prendre des notes. J’avais jeté un sourire mielleux à mon suspect avant d’annoncer :

– Je suis certaine que vous n’avez rien avoir avec tout ça, c’est juste que ben vous étiez sur les lieux du guet-apens que nous avions conçu pour démanteler une guilde de chasseurs de trésors non enregistrés et que le lieu en question était à des kilomètres de toutes civilisations. Mais ce n’était qu’une simple coïncidence non ? Vous êtes simplement un jogger du dimanche qui s’est égaré et qui ne retrouvait plus son chemin. Tout s’explique !


Je ne faisais plus les interrogatoires parce que je manquais de tact et de patience. La tâche revenait habituellement à Costa. Or comme la station était débordée de chasseurs de trésors, tout le monde devait s’y mettre. J’évitais de regarder l’inconnu dans les yeux de peur de m’y perdre ou bien de sauter par-dessus le bureau pour lui mettre des baffes. C’était peut-être moi qui avais besoin de me faire claquer. Depuis quand est-ce que je me laissai charmer par des voyous ?



   
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