Jaime, ou LA classe à l'état pur (Terminé)

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Jaime, ou LA classe à l'état pur (Terminé) Josh2a

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NOM :

PRÉNOM(S) :

DATE DE NAISSANCE/ÂGE :

PERSONNALITÉ SUR L'AVATAR :

GROUPE SOUHAITE :

PV/SCENARIO :

DOUBLE-COMPTE :

SIGNES PARTICULIERS :

Jaime, ou LA classe à l'état pur (Terminé) 395177

PATRONUS :

EPOUVANTARD :

Caractère :

Compliqué. Tel est Jaimie. Il a eu une petite enfance très difficile et son adolescence a été très, très dure à gérer pour lui. Son caractère a beaucoup évolué au fil des ans et le résultat en est une personnalité assez complexe et très changeante. On pourrait presque parler de bipolarité mais son cas n'est pas aussi extrême, heureusement pour lui car sa vie serait infernale sinon. Très changeant donc, Jaimie peut aussi bien se montrer affectueux et tendre que dur et brutal. Être aussi gentil et sympa que cruel et sadique. Un rien peut le contrarier, le mettre de mauvaise humeur, le faire rire ou encore l'indifférer. Il se vexe assez facilement et prends assez mal les farces de mauvais goût, ce qui le rend très rancunier. Œil pour œil, dent pour dent est un proverbe qu'il aime bien mettre en pratique mais moins souvent depuis qu'il a un poste important au sein du Ministère. Avec celui-ci, il est devenu plus facilement double. Aussi mystérieux qu’il peut être serviable, aussi séducteur qu’il n’est odieux, sa popularité ne peut être qu’à son paroxysme, et sa réputation n’est heureusement plus à faire. Sa promesse à Mina d'éviter les ennuis l'aide beaucoup à se contrôler là-dessus. Le court laps de temps qu’il a vécu en France l'a rendu plus violent qu'avant mais il s'efforce au quotidien de cacher cette part noire de sa personnalité, quand bien même elle ressort de temps en temps. Être social et avoir une apparence impeccable lui est cependant assez aisé du fait qu'il a quand même eu une vie normale avec sa mère adoptive, et sa petite sœur, il a été un enfant comme les autres durant ces années passées avec elles.

Jaimie aime bien aller vers les autres et discuter mais apprécie tout autant la solitude, notamment quand il se laisse aller à l'expression de sa passion, la peinture, le dessin. Le déranger quand il peint est une chose à éviter au possible si vous ne souhaitez pas l'agacer prodigieusement. Idem quand il dort car vous risquez de le mettre de très mauvaise humeur si vous le réveillez sans une bonne raison de le faire. Peu fainéant, Jaimie est quelqu'un qui aime s'occuper et bouger. Il fait régulièrement du sport et travaille toujours avec sérieux. N’est-ce pas grâce à cela qu’il a obtenu un poste de directeur du secteur des Sports Magiques au Ministère ? Bien entendu. Obstiné, on pourrait même dire qu'il est obsédé par son travail parfois car il aime aller au bout de ses projets. Il n'est satisfait de son boulot que quand il a fini et quand il est lui-même satisfait, pas avant. Sur le plan sexuel par contre, il parait assez aisé de le satisfaire, mais il n’en est rien : Il a beau être un redoutable coureur de jupons à ses heures, il est extrêmement exigeant et sait se faire désirer. Même sur ce plan là, il est véritablement odieux, dirigeant, et imprévisible. Mais n’est-ce pas ce qui fait son charme ? Ça pour aimer les femmes, il les aime mais il ne se laisse que rarement mener par le bout du nez par une demoiselle. Il préfère dominer qu'être dominé, y comprit dans la vie de tous les jours, mais il a apprit à faire des concessions avec le temps. Car après tout, on ne peut pas tout avoir dans la vie...Cependant, rien n’empêche jamais Jaimie de s’exprimer, et encore moins de dire LA phrase cinglante lorsqu’il le faut. Il est le roi pour choisir les mots qui font mal ou un bien fou, comme s’il contrôlait ses paroles à la perfection. A vrai dire, il est quelqu’un de relativement renfrogné, de peu expressif –surtout lorsqu’il s’agit de ses propres émotions, positives comme négatives, sans oublier celles amoureuses- et n’aime pas être sondé. Percer sa carapace de glace, c’est aussi facile que de monter en haut de l’Himalaya. D’un point de vue extérieur, même si on ne connait rien de lui, Jaimie est typiquement le jeune homme qui aide les grands-mères à traverser la rue, qui résout les soucis des pires incapables au Ministère et qui sait se montrer serviable lorsqu’il le faut. Ce n’est qu’une partie de son tempérament, certes, mais c’est celle que l’on voie avant tout, et c’est sa plus grande qualité…Si l’on exclus ce côté calculateur qui lui a souvent valu de se battre avec autrui. Ne jamais oublier que Jaimie n’a pas nécessairement besoin de baguette magique pour refaire la face d’un ennemi façon puzzle ! Son poing ravageur lui suffit, et bien souvent, il récorte des ennuis…Dont il se tire avec des pirouettes admirables. Fondamentalement, Jaimie est le meilleur acteur qu’il soit lorsqu’il s’agit de mentir, et le plus franc des hommes lorsqu’il s’agit de dire la vérité. Même si sa franchise peut être blessante à souhait…Il n’en a cure, tant qu’elle le soulage lui.

Histoire :

C'est dans la matinée du 12 juin 1971 qu'est né Jaimie. C'était une belle et chaude matinée d'été mais qui ne fut pas très heureuse pour la femme qui venait de le mettre au monde. Cet enfant, ce petit garçon, elle n'en voulait pas. Elle était trop jeune. Bien trop jeune. 15 ans. Était-ce un âge pour être mère ? Pas pour elle et pas pour sa famille. Ils n'avaient pas les moyens en plus. Ce bébé, à peine fut-il né qu'ils s'en débarrassèrent. Sa mère l'abandonna et Jaimie devint donc ce que l'on appelle, un enfant né sous X. Il ne connait pas l'identité de ses parents biologiques et n’a jamais voulu la connaître. Sa mère ne l'aurait pas abandonné sous X si elle avait un tant soit peu désiré sa naissance alors à quoi bon chercher à la retrouver ? Cette pensée, il l'a depuis son plus jeune âge. Abandonné, il fut placé assez rapidement dans une famille d'accueil. Bébé déjà, il était pour ainsi dire l’enfant rejeté, celui que l’on ne désire pas avoir. Il tomba en premier lieu chez un couple qui désirait d’avoir un enfant depuis leur mariage, mais qui n’y étaient jamais parvenu. Au départ, tout se passait pour le mieux, et il grandit plutôt aimé, jusqu’à ce que sa « mère » décède d’un brusque accident de voiture. Il avait cinq ans à cette époque, et il ne pressentit pas ce qui allait se passer…Son « père », dévasté par la mort de sa femme, passa son chagrin sur le pauvre petit Jaimie, qui allait à l’école couvert de bleus.

« Tu diras que tu es tombé, n’est-ce pas ? Tu ne veux pas que Papa ait d’ennuis ? »

A chaque fois, Jaimie se terrait dans son silence, comme s’il s’agissait là d’une solution. Il vécu ce quotidien là pendant deux ans encore, jusqu’à ce qu’une assistance sociale s’en mêle et l’enlève des griffes de ce fou dangereux. Il fut donc placé à nouveau, et le cauchemar continua.
Cette famille s'occupa de lui jusqu'au jour où ils n'eurent plus les moyens de l'élever. Il venait d'avoir huit ans et son enfer recommença de plus belle. Une personnalité instable se forgea petit à petit au fil des ans alors qu'il changeait de famille d'accueil de plus en plus souvent. Plus il vieillissait, plus il devenait instable...et rebelle. Il ne tarda pas à se retrouver avec un casier de délinquance juvénile. Rien de grave cela dit. Quelques larcins et dégradation de matériel, rien de sérieux. Enfin pour l'instant. Tout ce qu’il semblait souhaiter, c’était se faire entendre, être remarqué et aimé comme n’importe quel enfant de son âge.

Car quant on voyait qu'il avait un casier à seulement onze ans...il y avait de quoi s'inquiéter quand au devenir du jeune Jaimie. Ce fut à ce moment précis qu’il reçut sa lettre de Poudlard, véritable salvatrice, première pierre de l’édifice mélioratif sur lequel il allait être bientôt placé. Heureusement, il eu la seconde chance, en plus d’être répartit à la maison Gryffondor, d'être finalement placé chez une jeune femme. Une chose inédite pour lui. Jusque-là, ses familles d'accueil étaient surtout des couples âgées ou des femmes célibataires dans la cinquantaine. Mina, elle, avait 35 ans et était une artiste-peintre qui commençait à percer. Célibataire, elle n'avait pas d'enfant du fait qu'elle était stérile et comme elle se voyait difficilement adopter un enfant en bas âge, elle avait choisit de devenir famille d'accueil. Jaimie fut le premier à arriver chez elle. Le premier avant que Jaimie se voit affublé d’une petite sœur de trois ans sa cadette. Il s'est très vite attaché à elles deux et, pour la première fois, les considéra vraiment comme sa famille. Il ne n’appelait jamais Mina 'maman' ou 'mère' mais elle était comme telle pour lui. Comme une vraie mère, elle passait du temps avec lui, l'emmenait s'amuser à l'extérieur, fêtait son anniversaire...et l'initia à sa passion. Pour ses treize ans, elle lui offrit son propre chevalet, ainsi qu’un énorme carnet de dessin qu’il trimballait partout, afin qu'il puisse peindre et dessiner de son côté autant qu'il en plaisait. Et pour peindre, il peint. La peinture devint un moyen pour lui d'évacuer. Tout ce qu'il ressentait, il l'exprimait sur la toile, ce qui rendit certains de ses tableaux vraiment 'beaux' selon Mina. Jaimie se découvrait un talent pour la peinture et il aimait ça. Par ailleurs, il devint excellent à l’école de Sorcellerie, faisant la fierté de sa moldue de mère adoptive. A partir de cette période, la vie de Jaimie devint de plus en plus stable. Évidemment, son caractère restait instable, et souvent, il pouvait se mettre dans des colères impossibles pour se faire entendre, mais il n’était pas malheureux pour autant. Enfin, c’était ce qu’il croyait…Lorsque sa petite sœur, Aileen, fut admise à son tour à Poudlard, ce fut le véritable chaos. Il passait son temps à la surprotéger, la surveillant presque, comme s’il était membre de la police magique et qu’elle devait bénéficier d’un programme de protection…Mais il avait raison d’agir ainsi, quoi qu’en dise le peu de comparses qu’il côtoyait. Aileen, s’en être d’une timidité maladive, ne parlait presque jamais. Depuis l’enfance horrible qu’elle avait du vivre, elle ne dégoisait plus un mot, excepté en présence du jeune homme. Souvent, lorsqu’il la trouvait cloîtrée dans un coin sombre, il la prenait dans ses bras et passait des heures à calmer ses larmes, simplement parce que ses idiots de camarades s’étaient moqués de son silence.

« Pauvre petite idiote, qu’est-ce qu’on t’a fait ? »

lui disait-il. Souvent, elle ne répondait pas clairement, mais il n’y avait aucune nécessité…A partir du moment où on faisait du mal à ce petit être fragile, Jaimie sortait facilement les crocs. A plusieurs reprises, il mit la raclée de leur vie à ces petits plaisantins de Serpentard, faisant perdre un nombre incalculable de points à sa propre maison, sans jamais expliquer ses actes. Il accumula les retenues, comme un délinquant qu’il n’était pourtant plus, mais ne faisant que hausser les épaules dès qu’on le punissait. A l’âge de quinze ans déjà, Jaimie était très intolérant à la bêtise…Par chance, sa directrice de maison de l’époque finit par s’en mêler et le poussa jusqu’à ce qu’il soit en mesure de lui confier le fond du problème. A partir de là, ses punitions se furent plus rares, et pour cause, il n’avait plus besoin d’intervenir pour sauver sa sœur. Mais comme dès qu’un malheur se termine un autre survient, Jaimie allait connaître son premier chagrin d’amour à la même période. Il tomba amoureux de cette fille, Lussi. Elle était à Serdaigle et était aussi farfelue qu’il était renfrogné…C’était dire s’ils formaient un couple détonnant ! Ils étaient pourtant heureux ensemble, équilibrés. A chaque fois qu’ils avaient une heure de libre, ils la passaient ensemble…Pendant les vacances, ils ne se quittaient pas, sillonnant les rues de Londres sans programme précis, main dans la main, juste pour le plaisir d’être ensemble. Lorsqu’ils eurent dix sept ans et que leur dernière année à Poudlard fut terminée, Lussi fit promettre à Jaimie qu’ils ne se sépareraient pas, et qu’ils feraient tout pour fonder leur propre famille loin de tout cela. Le jeune homme, aveuglé par ses sentiments, accepta sur le champ, comme s’il était devenu soudainement romantique…Mais alors qu’ils couraient pour obtenir une carrière attirante, chacun de leur côté, Jaimie ne prédit pas ce qui se passerait ensuite : Un beau jour, rentrant du Ministère avec en main une promesse d’embauche on ne peut plus alléchante, tout ce qu’il trouva en rentrant chez lui, ce fut un appartement vide. Lussi était partie, sans un mot ni une adresse, embarquant avec elle et ses affaires, et le cœur dévasté du jeune sorcier. Des jours entiers, il passa son temps à la chercher, à tenter vainement de la retrouver, sans jamais y parvenir. Ce ne fut qu’au bout d’un an et demi qu’il se rendit à la cruelle évidence qui se jouait devant ses yeux : Lussi l’avait abandonné à son triste sort, sans l’ombre d’une hésitation. Il s’était lamentablement fait rouler dans la farine, à vouloir croire en un avenir chantant en compagnie de ce qu’il considérait comme la femme de sa vie. Le pire dans tout cela ? Le fait que le soir où il était rentré plus tôt et avait constaté sa disparition, il avait dans sa main un petit écrin : Il s’était enfin décidé à la demander en mariage.

Depuis ce jour, il n’y eut plus la moindre once de romantisme dégoulinant de mièvrerie dans le tempérament ou dans les actes de Jaimie. Il ferma son cœur dans un coffre, prudemment cadenassé, et n’eut de cesse de passer de fille en fille dès qu’il en eut l’occasion. Un beau Don Juan, en quelque sorte…Parfois, il restait une semaine lorsque celle-ci devenait intéressante, mais le jeune sorcier n’avait jamais beaucoup plus de temps à perdre. Voilà comment il considérait les femmes, comme une cruelle perte de temps…Alors, à la place, il s’arrangeait pour donner son temps libre à sa petite sœur, dès qu’il en avait l’occasion, et malgré le fait que son poste de directeur lui prenne beaucoup de temps. On dit que le temps adoucit les pires blessures…C’est sans doute vrai. Le nom de Lussi ne fut plus jamais énoncé, et le fil de sa vie continua de s’écouler aussi simplement que cela. Comme si rien de tout ce qu’il n’avait ressenti n’avait pu exister…Et dans son cœur, il se persuadait que tel était le cas, s’occupant davantage à travailler comme un forcené et à vivre comme un solitaire fier de l’être qu’à se pencher sur la question.

Welcome

J'aime beaucoup ton prénom *-* Jaime, ou LA classe à l'état pur (Terminé) 319461

et ton nom aussi Argh

j'adore le premier icon de ta sign Jaime, ou LA classe à l'état pur (Terminé) 638645

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❝LIFE GOES ON, BUT I'M GONE.❞

Without you, the ground thaws, the rain falls, the grass grows. Without you, the seeds root, the flowers bloom, the children play.The stars gleam, the poets dream, the eagles fly, without you. The earth turns, the sun burns, but I die, without you.