new & pure hiboux : 36
maison : Serdaigle
house points : 132
| Sujet: Camille Hastings Ven 30 Aoû - 17:51 | |
| Tw : maltraitance enfantine
Camille Hastings ❝ Take a sad song and make it better ❞
› nom : Hastings › prénom : Camille › âge : 11 ans › lieu de naissance : Canterbury › métier/année à poudlard : Première année › maison à poudlard : Serdaigle › baguette : chêne blanc, assez souple, 30 cm, plume de phénix › sang : sang mêlé › patronus : pas encore, quand ça sera possible, un lion › épouvantard : sa belle-mère › situation amoureuse : célibataire et a d'autres choses en tête pour lle moment › orientation sexuelle : hétérosexuelle › traits de caractère : intelligente, sensible, émotive créative, érudite, cultivée, rêveuse, sage, curieuse, perfectionniste, persévérante, têtue, pile électrique, enthousiaste, optimiste, réservée, fière, secrète, rebelle, frondeuse, polie, désordonnée, juste, sens aigu du bien et du mal, loyale, fidèle, courageuse, téméraire, casse-cou, impulsive, inconsciente, impatiente, coléreuse, idéaliste, affectueuse, tactile, gentille, le cœur sur la main, protectrice, altruiste, maladroite › groupe : Serdaigle › avatar : Shannen Doherty remembrallCamille brillait par son intelligence. Erudite, cultivée, la jeune fille était un véritable rat de bibliothèque, avide de connaissances. Curieuse, elle allait chercher les informations là où elles se trouvaient. Seulement, sa curiosité s’arrêtait là où commençait l’indiscrétion. Elle ne savait que trop que tout ne peut pas être partagé. Créative, c’était par l’Art qu’elle pouvait parvenir à se canaliser et notamment la musique. Elle jouait donc du piano, de la guitare et chantait. Sensible, elle repérait assez bien les émotions d’autrui. Emotive, pour elle, tout avait tendance à être tout rose ou tout noir et il n’y avait que peu de nuances pour elle. Rêveuse, elle se retrouvait parfois dans la lune, en oubliant tout ce qui l’entourait. Elle ne manquait pas de courage, et fort heureusement pour elle. C’était là une qualité qui lui avait permis d’avancer, malgré les malheurs qui jalonnaient sa vie. De son point de vue, elle n’avait aucun mérite, elle faisait juste de son mieux pour ne pas baisser les bras face aux difficultés, de tenir le coup dans les moments difficiles. Cela ne voulait pas dire qu’elle ne connaissait pas la peur, mais qu’elle faisait de son mieux pour l’affronter. Il y en avait néanmoins certaines face auxquelles elle ne se sentait pas armée, comme celle qui donnait forme à son épouvantard… Outre cela, elle était claustrophobe, ne supportant pas les espaces confinés, ce qui s’expliquait par une partie de son histoire. Téméraire, le danger ne l’effrayait pas. Du moins, tant qu’il ne s’agissait pas de risquer la vie d’autrui. La sienne, c’était différent. Casse-cou, elle n’hésitait pas à faire mille acrobaties – encore plus quand elle allait mal – ou à grimper au faîte des arbres les plus élevés qu’elle pût trouver. Impulsive, elle suivait sa première inspiration, son idée du moment sans réfléchir suffisamment aux conséquences de ses actes. Cela allait donc jusqu’à l’inconscience. Impatiente, elle avait bien du mal à attendre quand cela était nécessaire. Véritable pile électrique, il était bien difficile de la faire tenir en place. C’était possible par moment, en choisissant bien la manière dont on prétendait l’occuper. En cours, elle s’efforçait de se maîtriser. Elle y montrait l’image d’une élève sérieuse et polie, quoique renfermée. Dotée d’une certaine force de caractère, l’enfant n’était pas du genre à se laisser marcher sur les pieds ni à être influençable. Coléreuse, lorsque l’on s’en prenait à ses proches, plus faible que soi, que l’on remettait en cause ses valeurs, elle pouvait facilement monter sur ses grands chevaux. Perfectionniste, elle souhaitait que tout ce qu’elle faisait fût dépourvu parfait, sans accroc. Persévérante, les obstacles ne l’empêchaient pas de continuer la route qu’elle s’était fixée. Cela avait son pendant côté défauts : têtue, il était difficile de la faire démordre d’une position, même si elle se trompait, ou de lui faire reconnaître ses torts. Autrefois enthousiaste, d’un naturel optimiste, si la sorcière avait toujours été réservée, avait toujours peiné à partager ses soucis – d’autant qu’elle faisait preuve d’une certaine fierté déplacée -, elle s’était renfermée jusqu’à se montrer secrète, même avec ses proches, Sa nature reviendrait au grand galop avec le temps, bien entourée. La plupart du temps, elle cachait son mal-être derrière un sourire factice, de composition, mais qui pouvait faire illusion. Actuellement, avec les épreuves qu’elle avait traversées, si elle ne parlait que difficilement de certains sujets, cela ne l’empêchait pas de participer en classe quand le sujet l’intéressait, de discuter facilement avec des personnes de tous âges. Les règlements ? Pfuit ! C’était bien connu, ils étaient faits pour être enfreints ! C’était là l’un des crédos de la gamine frondeuse et relativement rebelle. Sauf quand elle les estimait juste ou qu’elle savait que cela pouvait nuire à la sécurité de ses camarades. Sa tendance à la rébellion s’arrêtait là où commençait la sécurité de son prochain. Tout comme son intrépidité. Néanmoins polie, elle accordait le respect dû à autrui. Désordonnée, il semblait difficile de retrouver ses affaires qui apparaissaient toujours en pagaille. Elle aurait répondu que dans ce fatras de choses, chacune avait sa place. Juste, dotée d’un sens aigu du bien et du mal, elle était prête à tout pour défendre une cause qu’elle estimait juste. S’y ajoutait une certaine sagesse, qui tempérait légèrement l’intrépidité et l’impulsivité de la fillette.. Loyale, fidèle, quand elle accordait son amitié, c’était pour la vie. En principe, si on ne la blessait pas profondément volontairement ou lui donnait toute autre excellente raison de couper les ponts. Idéaliste, elle croyait dur comme fer dans l’amélioration du monde et comptait bien apporter sa pierre à l’édifice. Affectueuse, elle se montrait de base plutôt tactile avec ceux parmi ses proches qui l’acceptaient. Elle était néanmoins un peu plus distante depuis quelques temps de ce point de vue-là, mais c’était encore quelque chose qui reviendrait. Gentille, le cœur sur la main, elle était toujours disposée à voler au secours de la veuve et de l’orphelin. Protectrice, elle aurait tout donné pour qu’il n’arrivât rien de fâcheux à ceux qui comptaient pour elle et était prête à donner de sa personne pour que les plus jeunes ou plus fragiles ne fussent molestés en aucune manière. Altruiste, elle faisait passer son prochain avant elle-même. Cela pouvait friser le défaut lorsqu’elle en venait à s’oublier elle-même dans l’affaire. Maladroite, il lui arrivait de lâcher des objets ou d’en casser involontairement. Cette tendance pouvait se retrouver renforcée par sa claustrophobie, les incidents étant plus fréquents lorsque cette peur se manifestait. Tendant vers le garçon manqué, elle appréciait que son prénom fût mixte et rien ne pouvait l'enchanter plus que d'être prise pour un garçon (ce qui n'arrivait pas souvent avec ses cheveux longs et nattés). Ses passions ? La musique bien sûr, la lecture, l’équitation qu’elle avait appris dès un très jeune âge, les animaux plus généralement, la nature, mais également la randonnée et les étoiles. Elle aimait également à écouter les histoires des aventures de son parrain avec les animaux. riddle's diaryCamille Hastings, fille d’Arthur Hastings, le petit frère de Max Hastings, naquit le 1er janvier 1987 à Canterbury, dans le Kent. Sa mère se prénommait Catherine. Ses premières années furent parfaitement heureuses. Si elle était, par malchance, estimait-elle, fille unique, ses parents l’aimaient et faisaient de leur mieux pour lui permettre de s’épanouir. De sorte que lorsqu’ils remarquèrent qu’elle appréciait la musique, ils lui firent donner des cours de piano, de guitare et de chant. De même lorsqu’ils la virent sans cesse aux écuries, à caresser les chevaux, ils s’assurèrent qu’elle pût apprendre à monter à cheval. Ils découvrirent bien vite qu’elle aimait à grimper dans les arbres du parc, et si cela les inquiétait quelque peu, ils la laissaient faire, si elle commettait des maladresses ou des erreurs, ils les lui signalaient, sans dureté. Ils savaient faire preuve de fermeté, mais n'avaient généralement pas besoin d’en user. Dès qu’elle sut lire, elle eut accès à la magnifique bibliothèque familiale. Un véritable paradis pour elle ! En outre, Arthur Hastings avait demandé à son grand frère, Maxwell d’être le parrain de Camille, ce que celui-ci avait accepté. Lorsqu’il était de passage en Angleterre, la petite voyait donc celui qui était à la fois son parrain et son oncle et elle passait également du temps avec sa grand-mère paternelle. Mais, sa mère, Catherine, était gravement malade. Vu son jeune âge, ses parents n’avaient pas jugé bon de lui en parler. Chaque séjour de Catherine à l’hôpital correspondait à un séjour de Camille chez sa grand-mère, de sorte que la petite n’en savait rien. Mais, elle voyait bien que sa maman était moins dynamique qu’avant, qu’il y avait quelque chose qui n’était pas normal. Néanmoins, la jeune femme acceptait toujours la présence de sa fille à ses côtés, quand celle-ci le souhaitait. De sorte que Camille était là lorsque Catherine ferma définitivement les yeux. La fillette avait cinq ans. Et elle ne comprit pas bien ce qu’il s’était passé. Mais, elle ne fut pas sans remarquer que Catherine ne se réveillait pas, qu’elle avait beau la secouer, parler fort, ça ne changeait rien à la situation. Ce fut à ce moment-là qu’effrayée de ne pas avoir de réponse, elle disparut de la pièce pour réapparaitre un peu plus loin, près d’Arthur. « Papa, maman… elle ne parle plus, elle dort, mais elle n’ouvre plus les yeux, fais quelque chose ! » fit-elle d’une voix hâchée par l’émotion. Arthur put bien vite constater de ses propres yeux la triste réalité. Il essaya d’expliquer avec des mots simples, à la portée d’une enfant de cinq ans ce qu’il en était, ne sachant pas à quel point elle pourrait comprendre ou non le concept de mort. Puis, quand il lui eut fait comprendre qu’elle ne reverrait plus jamais sa mère les yeux ouverts, qu’elles ne joueraient plus ensemble et qu’il fallait lui dire adieu, quand il l’eut laissé faire, il contacta sa mère (la grand-mère de Camille), lui demandant d’héberger pour quelques temps sa fille, lui laissant ainsi la disponibilité pour faire toutes les démarches nécessaires. Il voulait protéger sa fille du tumulte qui régnerait dans la maison, peut-être aussi se montrer fort devant elle. Pendant ces quelques jours, la petite fille fut autant choyée qu’à son habitude et tout le monde s’évertua à apaiser autant que possible son chagrin, lui changer les idées. Ayant laissé passer la tourmente, Arthur avait fait de son mieux pour expliquer à la petite que la magie existait et qu’elle, elle était une sorcière, qu’elle avait des pouvoirs, comme lui, comme Max. Ce malheur souda encore plus père et fille si c’était possible et Arthur faisait tout son possible pour assurer le bonheur de son enfant unique, autant qu’il en était capable. - Tw maltraitance enfantine, coups:
La période du deuil passée, Arthur fit quelques rencontres, parmi les sorcières comme les moldues. Il estimait que sa fille avait besoin d’un modèle féminin constamment à la maison, qu’une grand-mère ne suffisait pas, qu’elle avait besoin d’une mère. Jusqu’au jour où il rencontra Harriet. Camille avait six ans. Arthur épousa Harriet. Celle-ci paraissait aimante, ouverte, bienveillante. Mais, ce n’était là qu’apparence, que stratégie pour lui plaire et entrer dans la famille, pouvoir profiter de l’argent d’Arthur. En sa présence, elle était tout sucre tout miel avec Camille et lorsqu’il avait le dos tourné, ce n’étaient que vexations. Lorsque par hasard, la fillette essayait d’en parler à son père, il jouait les autruches, mais tentait tout de même de faire tampon entre les deux femmes de sa vie. Mais, cette période fut courte car, quelques mois plus tard, alors qu’il faisait une randonnée avec son enfant, Arthur eut un accident, mortel dont, tout sorcier qu’il fut, il n'avait su se préserver. Camille assista au spectacle, incapable de lui porter secours. Elle avait essayé, bien sûr, de toutes ses forces, mais en vain. En rentrant aussi vite qu’elle le pouvait, ce ne fut pas sa belle-mère qu’elle alla trouver, en larmes – elle était sûre d’être responsable de cet accident -, mais sa grand-mère. Elle fut ensuite confiée à sa belle-mère, qui maintenant qu’elles étaient seules, se laissa aller à la haine et la peur qu’elle avait de cette enfant, frondeuse et… différente, monstrueuse même prétendait-elle. Harriet fit déjà payer cher à l’enfant, en mots blessants et en coups de fouet ou, à défaut, de ceinture (ou encore des gifles d’une violence sans nom) l’accident du paternel. A chaque maladresse de l’enfant, à chaque bêtise (elle en faisait ni plus ni moins qu’une autre), à chaque manifestation de magie, à chaque accident, ennui dans la maison, qu’elle fût responsable ou non, c’étaient des corrections. Qu’elle agît bien ou non, le résultat était le même. Elle soufflait lorsqu’elle allait chez sa grand-mère, car, pour faire bonne figure, la marâtre autorisait ces visites. Il n’était pas question de couper l’enfant de sa famille. Et là les mauvais traitements reprirent de plus belle. Plus elle était battue, vexée et plus Camille se rebellait, en conséquence de quoi elle recevait des coups supplémentaires. C’était une boucle sans fin, un cercle vicieux. Elle se renferma de plus belle. Son intrépidité alla également croissante. Parmi les punitions que lui infligeait Harriet figurait le fait de se retrouver enfermée dans une petite pièce aveugle et étroite type débarras. Ce généralement après avoir été battue, parfois aussi juste avant. Néanmoins, à chaque fois qu’elle voyait des membres de sa famille, Camille faisait de son mieux pour cacher les traces des traitements de sa marâtre, par honte, sans doute et par peur des représailles. Donc elle s'efforçait de paraître égale à elle-même. Sauf qu’elle faisait de plus en plus de bêtises chez eux, lorsque sa marâtre était absente, de celles qui la mettaient elle-même en danger. A sa manière, elle essayait d’attirer l’attention, de faire savoir que chez elle, elle souffrait même si elle n’arrivait pas à le verbaliser. Les années passèrent ainsi, Camille se renfermant de plus en plus, n’ayant parlé à personne de ce que sa marâtre lui faisait subir. Plus elle était maltraitée et plus elle s’enfermait dans sa bulle. Une bulle que seuls parvenaient véritablement à percer ceux qui lui étaient véritablement proches. Ainsi Maxwell et son singe faisaient partie des rares êtres – quand elle avait la chance de les voir – à parvenir à la faire rire, véritablement, parfois même aux éclats, et non seulement sourire. Jusqu’à cet été 1998, avant sa rentrée à Poudlard. Cet été-là, les choses changèrent. Déjà, son oncle était de retour, définitivement. Elle le vit donc davantage. Et un jour qu’elle était chez sa grand-mère, en visite pour voir toute sa famille, Max ayant senti que ça n’allait pas pour elle lui donna l’opportunité de s’échapper. Elle trouva refuge dans le parc, grimpant toujours aux arbres, elle monta un peu trop haut, s’installant sur une branche trop fine pour supporter son poids. La branche sur laquelle elle était cassa et elle tomba au sol. Max qui l'avait rejointe dans le parc pour la faire parler assista à la chute de Camille. Il la freina autant qu’il put, limitant ainsi les dégâts pour sa filleule qui s’en sortit avec une belle frayeur et un bras cassé. Bien évidemment, vu la chute qu’elle avait faite, il vérifia l’état de la fillette, découvrant au passage les traces de coups, parfois anciennes. Bien évidemment, il la soigna. Max fit en sorte que plus jamais Harriet ne pusse lever la main sur la fillette.
Et il entama les démarches pour destituer la marâtre de ses droits parentaux. Et il obtint la garde temporaire de sa nièce. L’objectif était bien sûr de rendre cela définitif, mais cela serait plus long. Ce fut donc avec Max et sa grand-mère que Camille fit ses courses pour sa rentrée à Poudlard. Ils lui offrirent un chaton femelle, noire, qui l’accompagnerait pendant sa scolarité. Elle l’appela Vega. Non seulement elle était débarrassée de sa marâtre, même si ce n’était pas encore définitif, non seulement elle allait enfin découvrir Poudlard, mais en plus elle aurait son cher oncle et parrain à ses côtés à l’école. A Poudlard, elle serait bien entourée, elle le savait. Et elle avait hâte de commencer à étudier, tellement qu’elle s’attaqua aux lectures scolaires dès l’été, dès qu’elle eut les livres en main. Dans le Poudlard express, elle lut, elle n’avait pas envie de parler, pas tout de suite. Et elle cajola Vega. Oh, malgré les dégâts faits par sa marâtre, elle n’était pas assez renfermée pour refuser tout contact avec autrui, mais elle avait tout de même besoin de moments de solitude. Elle était par contre d’un naturel assez ouvert quant aux personnes avec qui engager la conversation, l’âge n’étant jamais entré en ligne de compte pour elle en terme ni de discussion ni d’amitié. Elle avait beau avoir entendu parler du château, avoir lu des choses à son popros, lorsqu’elle le découvrit depuis le lac, elle ne put qu’ouvrir des yeux émerveillés. Elle avait hâte de découvrir dans quelle maison le Choixpeau l’enverrait. Et celui-ci hésita un long moment avant de donner sa décision. - informations sur le joueur:
› pseudo/prénom : Anouchka/Alionoucha (mes pseudos suffiront) › âge : 36 ans › type de personnage : Inventé › comment avez-vous connu le forum ? Par Shamee/Max › un dernier mot ? Hâte de rp avec vous!
|
|