Il est devenu un animagus, c'est un gros chien noir qui ressemble beaucoup au Sinistros. • Son armotentia sent une odeur légère et sucrée. Certainement une odeur de fraise ou de barbe à papa mélangée à l'odeur de la rosée et la poussière des vieux livres. Il y a autre chose qu'il n'as jamais trouvé encore • Il a failli tuer Severus malgré lui, à cause d'une mauvaise blague • Il aimerait reprendre contact avec son petit frère, il regrette que leurs maigre lien se soit brisé

3 novembre 1959. Un Black était en train de naitre. Sa mère Walburga Black, essoufflée pris l'enfant dans ses bras, Orion Black, son mari et le père de l'enfant sourit et enlaça sa femme pour la féliciter. Walburga regarda l'enfant dans ses bras qui hurlait et lui dit en lui mettant le doigt sur le bout de nez:
-Je te nomme Sirius Black, troisième du nom.
-Bienvenue à la maison mon fils.


En 1961, Sirius dans les bras de son père regarda la naissance de son petit frère. Sa mère fit de même que pour la naissance de Sirius et lui murmura le prénom qu'il portera à jamais: Regulus Black.

25 décembre 1963, Sirius à trois ans et vient de recevoir ses cadeaux de Noël en présence de ses cousines, Bellatrix, Narcissa et Andromeda, âgée respectivement de 12 ans, 8 ans et 10 ans. Sirius n'aimait pas ses cousines sauf peut être Andromeda. Mais détestait Bellatrix. Elle pensait comme sa mère il détestait ça. Mais à trois ans, il ne pensait qu'à une chose surtout en ce jour de fête même dans le monde des moldus. Il ouvrit le cadeaux de ses parents. Un mini dragon qui faisait pareil qu'un vrai! Il adorait les dragons. Puis Sirius  ouvrit le cadeaux de son oncle Alphard. Il aimait bien son oncle. Il l'ouvrit et découvrit des petites motos moldus mais qui roulait d'elle même donc devenu magique. Il laissa complètement le dragon de coté et joua pendant des heures au pied du sapin avec ses motos. Mais il n'avait pas vu la dispute éclater dans la cuisine, il n'avait pas vu sa mère lui lancer un regard plein de dédain et son oncle être furieux.

Il allait souvent rendre visite à sa cousine, Nymphadora. Elle était métamorphomage et on adorait plaisanter avec ça. A lui demander n'importe quoi avec Regulus. Elle venait souvent sur mon dos, à courir comme des idiots dans le salon, sous le regard horrifié de mes parents qui prenaient cela comme de l'impolitesse. Mais nous n'étions que des enfants pas vrai ?


1971. Sirius avait onze ans. D'après sa mère s'était une année importante. Il était tôt le matin et Sirius sortit de ses pensées et de son lit par la même occasion. Il sortit de sa chambre, et alla dans la salle de bain se préparer. Chaque jour, il se devait d'être impeccable sous peine d'être puni par sa chère mère. Cela prit une heure. Puis une fois prêt, il descendit dans la salle à manger, d'un pas monotone et dit de la même façon:
-Bonjour mère. Bonjour père. Bonjour Regulus.

Sirius s'assit en face de son frère et à coté de sa mère. L'ambiance était tendu. Il risqua un regard à son petit frère. Il sentait une déchirure dans son cœur à sa vue. Il y avait de la jalousie au début. Le parfait Regulus face à l'indomptable Sirius. Mais il y avait plus que cela. Il voulait être proche de lui mais ne savait simplement pas comment faire. Mais il
devait recevoir une lettre très importante aujourd'hui et ne pas l'avoir signifiait être banni de la famille et chassé de la maison à grand coup de pied. Son frère semblait lui très enthousiasme. A ce moment, un hibou grand duc noir entra dans la salle à manger et se posa en face de Sirius sur la table. Sirius prit la lettre que l'oiseau lui tendait. Il fit une caresse à l'oiseau et le chassa de la main. L'oiseau, outré s'envola dans un hululement indigné. Ses parents lui lancèrent un regard lui disant d'ouvrir la lettre. Ce qu'il fit. Deux feuilles y était glissé et s'empara de la première. Il lut à voix haute et d'un ton détaché:
-Cher Mr Black,
Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d'ores et déjà d'une inscription au Collège Poudlard. Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité.

La rentrée étant fixée au 1er septembre, nous attendons votre hibou le 31 juillet au plus tard.

Veuillez croire, cher Mr Black, en l'expression de nos sentiments distingués.

Minerva McGonagall

Sirius replia la lettre. Il était admis. C'était bête, mais une forme de soulagement arriva et un poids sur son estomac s'envola. Il allait quitter cette maison, cette tension, ses parents. Il allait vivre pour la première fois depuis longtemps.


Premier septembre 1971, Poudlard Express. Sirius venait de rentrer dans une cabine , quelques minutes avant le départ. Le train partait à 11h tapante. Il soupira en jetant sa tête en arrière, fermant les yeux. Il ne descendra pas remercier ses parents et saluer son petit frère une dernière fois. Il n'avait aucun regard pour eux, bien que cela lui déchire le cœur. Mais comment aimer une mère qui ne pense qu'à le punir, un père absent ou trop absorbé par son travail pour s'occuper de son fils ? C'était trop pour Sirius. Il s'autorisa à ouvrir les yeux quand il entendit le sifflet et qu'une secousse ébranla le train. Ca y est, Poudlard arrivait.

Il pensait être tranquille pendant le trajet mais ce ne fut pas le cas. En plus milieu du voyage, il entendit la porte du compartiment s'ouvrir. Se trouvait un garçon, aux cheveux ébouriffé, des lunettes rondes sur le nez, le regard fouillant la pièce. Les deux se fixèrent et l'inconnu lui demanda si il pouvait rester là et dire à tous qu'il était là depuis le début. Il hocha bêtement la tête jusqu'à qu'un "boom !" résonna dans le couloir et qu'une volée de bonbons arriva jusque devant la porte du compartiment. Et le garçon éclata de rire. Il se présenta comme James Potter. Un sourire passa sur les lèvres de Sirius. James allait devenir son meilleur ami.

Il était maintenant à Poudlard. Un géant du nom de Hagrid avait accueillis les nouveaux élèves et les avait emmenés dans des barque. Il avait put ainsi découvrir le château. Il était maintenant à l'intérieur, assis sur un tabouret et un certain choixpeau magique sur la tête:
- Hum...encore un Black...Je vois alors ta maison est SERP...
-Non!
-Ah non? Pas Serpentard? Alors, tu as un certain courage et tu es très malin et une certaine résistance à tes parents. Il te faut beaucoup de courage et je vois que tu en possède énormément. Alors je ne vois qu'une seule maison!
-GRYFFONDOR!!!


Sirius venait de recevoir deux lettres. Une de ses parents et une de son frère racontant tous les deux la même chose: d'une, que ses parents sont très en colère et de deux qu'il va recevoir la punition qu'il mérite pendant les grandes vacances. Ce qui signifie qu'il va passer toutes les autres vacances à Poudlard. Ouf...
On était une semaine après la rentrée et James et lui sont devenus inséparable. Si on en voit un, on est sur de voir l'autre. Si bien qu'on les appelait déjà les frères de cœur. Il avait fait aussi la connaissance de Remus et James leur avait présenté Peter. Et déjà les quatre devenaient amis.

Deuxième année.  Remus cachait quelque chose. C'était obligatoire...Il partait une fois tout les mois et revenait le lendemain ou deux jours après remplit de bandages ou complètement épuisé. Il cachait quelque chose et Sirius avait une petite idée. Il en fit part à James et Peter et les trois sont allés demandé une explication à Remus. Ils découvrirent ce soir là ce que le jeune gryffondor cachait. Il était un loup garou. A ce moment là, Sirius c'est promis de tout faire pour aider son ami.

Quatrième année. James, Peter et Sirius étaient dans le parc. Ils avaient réussi leurs premières transformation complètes la semaine dernière et avaient décidé de ce jour plus... particulier pour annoncer la nouvelle au premier concerné, c'est à dire, leur Loup Garou national. Ils avaient d'ailleurs bien failli se faire attraper quand ils ont du rester UN MOIS ENTIER avec une pierre dans la bouche, refusant de parler. Tout le monde a pensé qu'ils préparaient un mauvais coup. Si seulement ils savaient ! Ils étaient entrés dans le dortoir et avait trouvé Remus sur son lit en train de lire. L'image fit rouler des yeux Sirius. C'était une habitude chez le loup qu'il comptait bien régler un jour. Personne ne lisait autant de livre. A croire qu'il les dévorait. Un sourire trôna sur ses lèvres à cette pensée. Mais en ce jour particulier, ils firent le plus beau cadeau à Remus. Ils étaient devenus des animagus pour lui.

Cinquième année... Non... Ce n'était pas possible... Il aurait fait ça? Lui? La... Non... C'est impossible... Pourtant le regard accusateur de James et celui effondré de Remus lui firent comme un coup de poignard au cœur... Il s'enfuit du château et partit transformé dans la foret. Non... C'était ce soir! POURQUOI C'EST CE SOIR! Cela devrait être demain soir! Il s'était trompé.. Un jour et il avait foutu en l'air tout ce qu'il avait de plus précieux... Mais c'est de la faute à Snivelus! C'est lui le responsable, c'est lui qui l'a énervé, à les espionner avec son gros nez ... Il voulait juste lui faire une blague, rien d'autre, de quoi le terrifier... Il a juste vu de la foret, James qui repoussais Snivelus de l'entrée de la Cabane Hurlante... Oh non...

Une semaine que le jeune homme n'était pas retourné en cours, ayant trop honte de ce qu'il avait fait... Il avait trahi un secret...Trahi un secret...Celui des maraudeurs... Il était allongé au sol, toujours transformé en Padfoot, fatigué d'avoir trop hurlé, d'avoir trop pleuré, d'avoir trop couru.... Il n'avait qu'une envie que quelqu'un vienne l'achever... Ou un animal... il y a bien des araignées non? Ou une colonie d'hyppogriffes ou bien autre... Personnellement, du moment que c'est rapide... Mais non... Qui c'est qui était venu, James... Lui même... Ce lui qui a sauvé Rogue et qui apparemment, veux venir le sauver aussi... James le sauveur... ah, la bonne blague! Néanmoins, de force il l’emmena au château, lançant un sort qui le fit prendre mon apparence normal et l’emmena à l'infirmière... Il y était resté une autre semaine et toujours pas de Remus en vu...  Jusqu'au bout de trois mois, il vint le voir, lui tendant une main. Juste une poignée de main, aucun mot dit. Sirius la lui serra volontiers, toujours rongé par la culpabilité...

Sixième année, Remus lui définitivement pardonné et les maraudeurs n'ont jamais été aussi soudé. Cette année fut beaucoup plus calme que les années précédentes en tout cas! Prongs essaie toujours de séduire Lily et il n'y arrive toujours pas. En tout cas, cela le fait bien marrer.  Quand on voit son meilleur ami se prendre une baffe pour la 385eme fois depuis le début de l'année, c'est assez comique!

Pendant l'été, il a du fuir de la si noble et si pur maison des Black. Hin, sa très merveilleuse mère l'as jeté dehors, en le reniant au passage d'un coup de baguette sur la tapisserie. Heureusement, les Potter ont toujours été bon pour lui et l'ont accueilli chez eux comme si il faisait partie de leurs famille. James était ravi d'avoir son meilleur ami avec lui d'ailleurs et Remus et Peter furent mis au courant de la situation. En septième année, Lily finit par dire oui à James en lui promettant qu'il lâche Severus. Ce qu'il fit contre toute attente. James semblait avoir pris une sacrée maturité en quelques mois alors que Liy semblait être plus amoureuse chaque jour qui passait. Même si au début, Sirius avait du mal avec elle, il semblait finalement l'apprécier et l'intégrer au Maraudeur avec facilité. Après tout, elle était déjà la meilleure amie de Remus et parlait à Peter. Et elle s'avérait être une très bonne amie pour l'animagus.

Après obtention des ASPICS, James et Lily se marièrent dans le plus grand des secrets. La montée au pouvoir du Lord était quelque chose d'inquiétant et avec l'héritage de l'oncle Alphard mort dans l'année, Sirius put se prendre un appartement dans le Londres moldu. Cela n'avait pas suffi car déjà, le malheur s'abattait sur les maraudeurs après le bonheur de la naissance de Harry. Une prophétie que Dumbledore avait entendu concernait les Potter. Notamment le fils. Alors il était de leurs devoir de les cacher. Mais les adeptes du Lord qui se faisaient appeler Mangemort étaient partout. Alors il était question d'un fidelitas. Que James choisisse Sirius le rendait fier mais pour Remus et Peter qui avait hésité, réellement, cela l'avait blessé profondément. Il était question d'un traite au sein même des maraudeurs. Un sujet tabou. Alors bien sur, Sirius était un Black avant tout. Alors pour montrer qu'il n'était pas le traite, il proposa à James un coup de bluf. Nommer Peter à la place de lui même. Peter en gardien du secret, personne ne penserai à lui.

James avait accepté. Et il venait de signer son arrêt de mort. Qui aurait cru que Peter avait rejoint les partisans ? Il n'avait pas de marque ! Aussi, quand l'animagus comprit, en ce soir du fameux 31 octobre, quand il comprit ce que Peter avait fait... Il avait néanmoins réussi à voir Hagrid avec Harry. Harry avait survécu ! Comment ? Il n'en avait aucune idée. Mais il était le parrain du petit. Alors il était normal que le gosse lui revienne. Le gosse de ses deux meilleurs amis. Hagrid avait insisté, ayant les ordres direct de Dumbledore. Et Sirius lui avait cédé sa moto pour qu'il aille plus vite.

Il avait retrouvé ce rat. Il l'avait retrouvé, acculé, le regard humide et fuyant. Sirius avait vu rouge. Il a foncé dans le tas alors que Peter hurlait à tout les moldus qu'on allait le tuer avant de faire exploser la rue. Et il a littéralement pété un plomb. Tout ses amis étaient mort. Il restait Remus bien sur mais il n'avait pas eu de nouvelle depuis. Il avait tout perdu alors que les Aurors venaient le chercher pour l'emmener à Azkaban pour meurtre.

Douze ans, à tourner en rond, douze ans, à subir les tortures de ces créatures. Douze ans.... IL EST EN VIE !!! CE RAT EST EN VIE !!! Hors de question qu'il tente de tuer Harry pour finir le sale boulot ! Il avait réussi à fuir. Réussi à manger, reprendre des forces, se cacher sous sa forme animale, réussi à nager jusqu'à la rive, réussi à remonter l'Angleterre pour rejoindre l'Ecosse. Il n'as pas été très prudent et a été vu. Et puis il a vu Harry. Il lui a expliqué la vérité. Remus l'avait aidé alors que Rogue a tenté encore une fois, de le tuer. Mais là, on était plus dans la cour à Poudlard. On était des adultes et les sorts n'étaient pas les mêmes. Aussi, quand Harry réussi à le libérer grâce à Buck, il était heureux. Heureux et fier de voir ce qu'était devenu le fruit de l'amour de James et Lily.

Et puis il a pu offrir à Dumbledore, la vieille maison de sa famille et s'y cacher sous les ordres encore de Dumbledore. Il avait troqué une prison pour une autre, à revivre dans cette maison qu'il avait fui, qu'il avait tant détesté.

Et puis dans cette fin d'été 1996, il avait appris que Harry était venu au Ministère, le pensant en danger. Il n'avait pas cherché d'autres raisons pour faire partie de ceux qui se présenterait au Ministère et sauver son filleul. Il se sentait responsable de lui. Mais un sort le blessa, le laissant pour mort. Harry y cru, il avait entendu son hurlement de douleur et de peine. Il voulait lui dire qu'il était en vie, qu'il allait bien. Mais il fut emmené dans un lieu qu'il ne connaissait pas.

Il ne reçut aucun soin et juste de quoi survivre en nourriture et en eau. Il a comprit qu'il a été capturé par les Nott, dans leurs manoirs. Et que Bellatrix, sa chère cousine, prenait un malin plaisir à venir et le torturer. Au début, il a compté les jours mais sa raison s'en alla en même temps que Bellatrix arrivait à briser une parcelle de son âme. Même se transformer en chien n'était plus suffisant pour qu'il échappe à la folie et la douleur des tortures, physiques et psychologique était tel qu'il aurait surement préféré être aux mains des détraqueurs, encore dans sa cellule à Azkaban.

Il ne sait pas combien de temps il était resté enfermé mais du jour au lendemain, les visites ont cessés. Suffisamment pour qu'il puisse trouver un reste de magie, un reste de force et d'espoir et de transplaner directement au Square Grimmaud... Cette fois ci, cela avait fonctionné. Peut être que les Nott avaient abandonné le château, le laissant à son triste sort dans les geôles. Il n'avait pas demandé plus pour revenir là où il se sentait pour le moment, le plus en sécurité.