When feelings become true [PV ELLYXIR]

Fredinounet & Lyxounette

« l'amour est difficile.. Mais sans elle on est rien... »

CRÉDIT - CSS

Aujourd'hui était un jour que souvent je préférais. Tout simplement qu'on nous autorisait à aller à Prés au lard & c'est la bas que je pouvais appercevoir mon père ou rester un peu seule. Ca me faisais du bien, je n'avais pas besoin de me trainer toujours des petits serpentards ou entendre les gryffondors dire à tout bout de champs "oh chouette" ou "oh regard".
Ces personnes m'insupportaient depuis ma venue dans cette école, depuis que je savais ce qu'était ma famille je ne pouvais supporter ceux qui voulaient sans doute devenir Aurors. C'était complètement le contraire de ce que je voulais faire, je voulais les anéantir, je voulais qu'ils disparaissent tous autant qu'ils étaient. Il était vrai cependant qu'il y avait des exceptions, ceux qui par exemple se comportaient comme de vrais serpents étaient le bien venu dans mon clan. Mais ce Potter, cette Granger & ce Weasmoche... Rah ce clan de trois gryffondors ce n'était pas possible. Rien que de les voir, ca me donnait des bouttons.. Enfin bon, je devais faire avec. Mais je ne comprenais toujours pas pourquoi il était l'Elu, certes Potter avait survécu, mais bon..

Revenons un peu à nos moutons, ce matin, mon réveil fut plutôt douloureux, pour mes oreilles en tout cas. Les serpentardes oh quelle haine je pouvais avoir contre elles quand elles se levaient et qu'elles faisaient un bruit monstre sans faire attention aux autres. C'est comme ca alors que je me leva.
"-Oh bande de nunuche à tête courte. Vous vous la fermez ou j'utilise les grands moyens?"
Toutes savaient pertinemment que je ne blaguais pas. La dernière qui avait osé me répondre s'était retrouvé à cracher des limaces. Maintenant, elle me vénère, enfin plutôt par crainte. Ce n'était pas plus mal.
Depuis que je m'étais réveillée en leur criant dessus, il n'y avait plus aucun bruit. Elles avaient comprit mais aucunes étaient dignes de faire partie de cette maison, sinon, elles auraient riposté.. Ha lala..
Il me restait à peu près deux heures pour me préparer, c'était assez après, on filerait tous dans cette petite allée dont je parlais précédemment. Ma douche fut longue, je resta pratiquement quarante minutes, il fallait au moins ca pour me remettre de bonne humeur. Quand je sorties de celle ci, il n'y avait plus personne à par une fille dans le dortoir, ce calme s'expliqua donc. Je pouvais choisir mes affaires tranquillement sans que quelqu'un vienne m'embêter. J'opta pour un jean, un débardeur noir suivi d'un cache coeur de la même couleur. Voila qui était parfait, le noir m'allais comme un gant et reflettait ma vraie nature. Je n'allais pas sortir sans chaussures, il ne me fallu pas moins de quinze minutes pour me décider, pour finalement choisir des converses noires aussi. Ah que c'était du boulot d'être fille surtout de serpentard. Il fallait toujours être au top de soi, sinon on ne serait pas pris au sérieux. Je dirigea mon regard ensuite vers l'horloge qui occupait la salle commune, il ne me restait plus que cinq minutes. Je pris vite mon manteau aussi sombre que mes habits mon sac et je dû courrir pour arriver à l'heure dans le hall d'entrée. Personne ne m'avait remarqué ou peut-être mon meilleur ami à qui je fis un petit signe amical. Rusard nétait pas loin et je le salua, lui non plus n'aimait pas tellement les bou...gryffondors alors inutile de dire que les serpents comme moi l'aimaient bien.

La marche fut courte, pour ma part. Je ne suivi pas les autres jusqu'aux magasins, je détourna un petit peu pour pouvoir aller vers la cabane hurlante. Personne ne s'y aventurait tout simplement parce que des bruits couraient comme quoi elle était vraiment hantée etc.. Mais pour moi, ce n'étais que des balivernes, jamais il n'y avait eu quoi que se soit ou peut-être des mangemorts dont son père qu'elle voyait ici régulièrement. Aujourd'hui c'était différent, elle savait qu'elle ne le verrait pas. Le seigneur des ténèbres lui avait demandé de faire quelque chose pour lui, mais je n'en savait pas plus. Il avait eu interdiction même à moi d'en parler. Je ne posais pas trop de questions, je le saurais un jour au l'autre de toute façon. Je fis quelques pas de plus afin de rentrer dans cette petite demeure.

Des souvenirs me revint alors... Je repensais aux amis que j'allais quitter l'année prochaine & à ceux que j'allais retrouver chez les mangemorts. Oh il y en aura surement mais d'autres auront préféré rejoindre les sangs de bourbes ou traites à leur sang. Tout cela me rappela alors un jeune homme roux.. Fred Weasley. Le seul à qui j'avais parlé. Bon d'accord au début, ce n'était pas des paroles très tendre. Je passais mon temps à l'insulter & lui de même ou à me narguer. Pourtant, il était différent des autres avec qui j'avais pu avoir des différents. Et c'est un soir que j'ai comprit, je n'allais plutôt pas bien, j'avais reçu une lettre de mon frère qui me manquait énormement et j'étais tombé sur lui. Au début ce ne fut pas tellement joyeux et courtois je l'envoyais plutôt sur les roses. Puis nous nous étions arrêtés un moment et nous avions parlés de tout et de rien. De mon côté, des sentiments étaient nés, je me le refusais pourtant. Je ne pouvais aimer quelqu'un qui était du côté de Harry Potter. Autrement dit un traite à son sang.. Tout me fis penser à lui à ce moment là, j'entendis alors derrière moi une voix.. La sienne, je cru rêver un moment. Ca ne pouvais être lui, il tenait maintenant un magasin, ca ne pouvais être que mon imagination en pensant à lui. Pourtant je me retourna, une silhouette se dessina alors, mais il faisait si sombre que je ne pu voir tout de suite. Maintenant j'étais sur, c'était lui.. Je ne savais pas vraiment comment réagir, si il y avait du monde et que j'allais le rejoindre, ils me verraient tous d'un autre angle mais si il était seul pourquoi ne le ferais-je pas? Je mis pas moins de quelques minutes à réaliser..

"Fred..."

Je ne pu cependant pas me retenir d'aller le rejoindre.

"Tu es seul? tu n'es pas accompagné de tes fameux camarades?" Je parlais bien sur de Potter et toute la click et tout ca m'arracha une petite grimace. Vu l'air de Fred, je resuma alors qu'il n'étiat pas accompagné & je peu alors le prendre dans mes bras doucement. Ca pourrait sans doute le surprendre, mais j'en avais besoin..

(desolée mon Fredinouet c'est médicore mais je débute seulement avec la 1ere personne^^)

Complètement différents, voilà ce que nous étions. Nous n'étions pas fait pour être ensemble ou même ne serait ce que s'entendre. Tout notre corps, notre éducation, etc.. Etait fait pour que nous nous détestions. Enfin à l'origine, parce que malgré les apparences, les moqueries & ce que je pouvais montrer de moi aux autres personnes de l'école, Fred occupait une grande partie de mon coeur. Je ne pouvais me résoudre à l'oublier, c'était tout bonnement impossible. Je ne pourrais jamais faire une chose pareil, depuis cette soirée ou tout à basculé mon coeur s'emballait à chaque fois que je le croisais. Ou je sentais comme un vide à chaque fois que je ne le voyais pas, comme depuis ces un an. Ca avait été dure, mais pas une seconde s'écoulait sans que je pense à lui. Oui nous étions les opposés, tous réagiraient surement "mal" si ils apprenaient. Surtout mon père qui lui, détestait vraiment les traites à leur sang ou encore les sangs de bourbe. En étant mangemort, nous nous pouvons avoir de coeur, enfin normalement. Moi quelque part, j'en avais un, peut-être qu'en l'ayant rencontré, je me suis appercu que la mort, le mal n'était pas pour moi.. Je me posais cette question depuis ce fameux soir ou mon regard croisa vraiment celui du jeune Weasley. Certes il a fallu après cela que je reprenne le rôle de la méchante serpentarde qui ne pouvait pas voir ce genre de personne mais au fond de moi, mon coeur sautillait & sans doute que mes yeux m'avaient trahi. C'était même certain, j'étais sur qu'il avait lu en moi. Depuis, nous devions nous voir seulement tout les deux, pour ne pas attirer la foule sur nous ou encore même les moqueries.

Le revoir était presque un soulagement pour moi. Malgré tout, il m'avait beaucoup trop manqué & une part de moi avait peur. Peur, de le perdre & peur de perdre un jour mon père si il s'appercevait de mes sentiments pour un Weasley. Mais pour le moment, je n'y pensais guère, tout ce que j'avais pu faire, c'était de me jeter dans ses bras afin d'enrouler mes bras autour de sa taille. Je me doutais que ce geste le surprendrait ce qui était assez normal venant de moi. Puis c'est à ce moment là qu'il répondit avec une touche d'ironie qu'il pouvait se débrouiller seul, que c'était un grand garçon. Oh je n'en doutais pas, mais je savais que parfois Potter et ses amis venaient par ici ce pourquoi j'avais eu un doute. Après cela, je sentis doucement ses bras s'enrouler à leurs tours autour de moi. Ce qui m'arracha un sourire, trop près de lui, il ne pouvait l'apercevoir. Mais ce fut un grand moment pour moi de détente, j'avais eu peur qu'il me repousse en me disant que je faisais n'importe quoi & que je n'étais pas faite pour lui. Ce qui dans un sens était vrai, mais je ne voulais y croire. Dans ses bras, aussi près de lui, je me sentais bien & en sécurité. Je savais qu'il ne pouvait rien m'arriver. Je me sentais revivre & le plus important, je me sentais Moi. Je n'avais pas besoin de jouer un rôle avec lui. Je ne pouvais qu'apprecier les moments avec Fred. Puis il resserra un peu plus son étreinte avant de me lancer une phrase à laquelle je ne m'attendais pas du tout. Surprise, je relevais la tête doucement pour le regarder en "soulevant" un sourcil.
"Une bouillote? J'espère que tu plaisantes, je suis complètement frigorifiée". Bien sûr, cette remarque n'étais en aucun cas méchante, j'avais même eu après cela un sourire. Mon regard se plongea un moment dans le sien, je ne pouvais alors m'en détacher. Je revis cette soirée qu'on avait passé à parlé, je nous voyais nous... Pourtant je savais que tout celà était impossible, tout serait pour nous séparer. Et peut-être que lui même n'avait pas envie.. Ne voulait pas de moi.. Pour en être sur, il fallait que je lui avoue une chose.. Si il me disait la même chose, peut-être que finalement il ressentait quelque chose pour moi... Et j'espèrais tellement.. "Fred.. Tu m'as tellement manqué" En disant cette phrase, je lui fis le sourire sincère & aimant..

Je ne cesserais jamais de penser à toi..

Fred était le Romeo moderne & moi j'étais la Juliette des temps modernes. Tout nous séparait, peut-être que nous pourrions en mourir, peut-être qu'on se ferait détester, peut-être.. Trop de peut-être & je ne voulais y penser. Pas maintenant. Certes nous étions les opposés mais tout me raccrochait à lui. Je ne pouvais imaginer mon monde sans lui, plus depuis un moment déjà. Malgré nos "différents" quand il était encore à Poudlard, un petit morceau de moi le réclamait. Pas un jour s'écoulait sans que je veuille le voir. Depuis un an maintenant qu'il était parti, mon coeur était vide... Je me sentais tellement seule, sans lui, sans son regard ou encore même sa voix dans les remparts du chateau, je me sentais mal. J'avais malgré les apparences, besoin de lui près de moi. Pourtant, on ne le pouvait, si on nous voyait ensemble, ca serait pour les mangemorts & l'ordre la fin du monde... Pour lui j'étais prête à changer, mais j'avais peur de mon père. Serait-il prêt à me tuer? Ou m'aimait-il assez pour épargner sa seule fille? Que dirait mon frère si je lui apprenait cela? J'avais peur de perdre ma seule famille. Cependant, mon coeur réclamait Fred, tout me faisait penser à lui.. Je ne savais comment réagir face à tout cela, tout ce que je savais c'est que je ressentais quelque chose d'énorme pour le jeune roux.. Sans doute de l'amour.. Qui pouvais me le dire? Moi qui n'avait jamais eu de coeur sauf pour ma famille? Moi qui avait eu toujours soif de vengeance & de mal? Certes j'avais eu des petits amis mais ce n'était jamais rien de sérieux, je sortais avec eux tout simplement pour avoir une bonne réputation & eux de même.. Mais là, c'était différent. Si l'amour était, de trembler, de ressentir un vide énorme sans sa présence, le coeur qui se déchaine dans la poitrine quand je croise son regard & encore tellement de chose alors oui je l'aimais. C'était plutôt une sensation étrange, mais agréable. Je savais que je ne pourrais me passer de lui.

Depuis que j'étais dans ses bras, je me sentais bien. J'étais moi. Je ne voulais partir pour rien au monde, je ne voulais pas une nouvelle fois me détacher de lui. Son corps, sa voix, son regard, son odeur tout de lui me manquait à Poudlard. Je ne pouvais détacher mes yeux des siens. Si j'étais vraiment amoureuse comme je le pensais, en un seul regard il aurait su. Je ne pouvais rien lui cacher, même la vérité la plus dure.
Certes je n'étais pas une bouillote & lui non plus, pourtant dans ses bras je sentais la chaleur me regagner peu à peu. Je n'avais plus aussi froid était-ce la chaleur de l'amour? Peut-être bien. Quand je lui avoua alors qu'il m'avait manqué, Fred n'ouvrit pas la bouche.. Il ne disait rien, mon coeur s'était emballé, j'avais peur de sa réaction, de ses paroles qui allaient suivre. Mais rien ne sorti, cependant, le jeune homme se rapprocha doucement de moi. Je pouvais sentir à ce moment là la chaleur de son souffle. Je croyais à ce moment la que de ma poitrine alors sortir mon coeur, il battait tellement fort. Puis doucement, Fred vint à doucement m'embrasser.. Ses lèvres étaient si douces, mes yeux se fermèrent peu à peu pour ainsi lui redonner ce baiser que j'avais tant attendu. Les premières minutes, notre échange était doux & gracieux pour finalement se poursuivre avec fougue. Je ne pouvais me défaire de lui, pour rien au monde je voulais que se moment s'arrête. Je voulais que le temps se stop afin de rester avec lui. Mes bras carressaient doucement le dos du jeune homme, puis ceux ci se refermèrent pour serrer le jeune roux plus fort & l'approcher de moi un peu plus.. Plus jamais je ne pourrais l'oublier, il était celui que j'avais attendu. Mais comment arranger nos familles, nos vies etc... ?

Après plus de quelques minutes, je me détacha un peu de lui afin de pouvoir le regarder dans les yeux. Me mordillant la lèvre.. Je glissais un petit "je t'aime Fred"... Il était peut-être tôt pour le dire, puisque nous venions d'échanger notre premier baiser, mais ca faisait bien plus longtemps que je ressentais ca pour lui.. "Je ne veux pas te quitter.." Toutes ses paroles avaient été dites en chuchotement. Je voulais m'enfuir avec lui, partir loin sans se soucier de ce que les autres penseraient.. Mais c'était impossible..

Je me sens si seule.. Loin de toi

J'avais attendu ce moment tellement longtemps. J'en avais même rêvé, mais personne n'en savait rien. Je n'aurais voulu le quitter pour rien au monde, il était tout ce que j'avais attendu. Même si nous étions complètement différents, c'était lui & personne d'autre. Jamais je n'aurais cru un jour aimer quelqu'un à ce point, maintenant, je connaissais ce que voulais dire Aimer. J'avais toujours rit au nez de mes amies quand elles me disaient qu'elles étaient amoureuses, je leur avait toujours dit que ca ne voulait rien dire & que ce n'était que des balivernes. Aujourd'hui, je savais ce qu'elles avaient voulu dire par là. Je comprenais la joie & les étoiles dans leurs yeux. Je ne devais pas pourtant, tous seraient contre nous, mais je m'en contre fichais.Tout ce que je voulais à présent, c'était être avec Fred & ne plus le quitter. C'est ainsi d'ailleurs que je lui avoua. Prise dans ses merveilleux yeux, je vis son regard se voiler par de l'humidité, par instinct, je mis ma main sur sa joue. On aurait pu croire que mon coeur allait sortir de ma poitrine tellement il me faisait mal à tambouriner comme il le faisait. Seulement parce que j'étais vraiment amoureuse. Puis, Fred ne tarda pas à me dire à son tour qu'il m'aimait en ajoutant "mais par pitié, arrête de me faire pleurer !" . Un petit sourire vint se poser sur mon visage. "Oh je ne veux en aucun cas te faire pleurer Mon Fredinounet et oui =P, je veux juste ton bonheur". Voila qui était dit.

Bientôt, j'entendis en même temps que mon amoureux une voix connue. Oh non, je la reconnue tout de suite c'était cette McGonagall, c'était signe du retour. Je ne voulais pas quitter Fred. Pas maintenant, j'étais bien trop bien dans ses bras & à ce moment là Poudlard ne me manquait pas. La Professeur, se dirigeait vers notre direction & mon regard suivit celui du jeune roux. Celui-ci vint alors à m'attraper la main pour ainsi me tirer pour aller ce cacher. Je trouvais cette idée tout à fait génial, mais je savais que je devais rentrer. Nous, nous sommes donc caché dans un petit coin à croupi afin qu'elle ne nous voit pas. D'ailleurs cela fonctionnait, puis-ce qu'elle ne me trouva pas. J'entendais mon nom résonner dans la petite demeure. Quand l'ombre de la femme se dessina près de nous, Fred m'attrapa pour m’enlacer dans ses bras. Je ne rétorqua pas, mais il fallait que je sorte de là. Je ne pouvais faire perdre plus de points à ma maison que je devais déjà en avoir fait perdre. Il était temps pour moi de partir. Je regarda mon amoureux, l'embrassant tendrement puis le fixa un moment pour qu'il comprenne que je devais partir... Un dernier baiser & j'étais déjà sortie. Regardant McGonagall qui me fusillait su regard "Je suis là... Il faut dire que j'aime jouer à cache-cache avec vous". Mon venin était de retour, surtout devant la directrice de la maison Gryffondor. Ce que je ne savais pas en revanche, c'est que Fred allait sortir juste après moi. Je ne l'avais remarqué parce que je défiais le regard de cette professeur. "Oh Mademoiselle Wellington vous allez avoir de mes nouvelles. Continuez ainsi & j'enlève 10 points à Serpentard & soyez heureuse que je n'en enlève pas". "A quoi bon Madame? Je n'ai besoin de vos nouvelles, je vous vois bien assez comme ca". Avant même qu'elle ne rétorque, j'entendis la voix mélodieuse de Fred derrière moi...

Je le savais au plus profond de moi. Il était temps que je parte, que je m'éloigne encore une fois de lui. Maintenant, ca allait être plus dure, je n'attendrais que cela, sortir de Poudlard pour le retrouver à Nouveau. Je me fichais royalement de ce que pourrait dire McGonagall, je voulais encore et toujours sortir. Je n'étais pas chez les senpentards pour rien, je devais braver l'interdit. Et si c'était pour Fred, je le ferais encore & encore sans jamais m'arrêter. Il faisait d'hors et déjà parti de ma vie. Quand je fus sortie de ma cachette, la directrice de Gryffondor m'avait jeter un regard noir & c'est ainsi que tout commenca. On haussait pas le ton, mais le coeur y était. Je savais qu'elle ne m'aimait pas & qu'elle se rassure, c'était réciproque. Elle n'avait pas de tendresse pour les filles de mon genre mais plutôt pour Fred c'était sur. Il avait été certes un peu perturbant mais adorable. Ce que je ne voulais pas, c'était tout simplement qu'il s'attire des ennuies, même avec cette vieille sorcière.

Je ne le voulais pas & pourtant, il sortie de sa cachette afin de me protéger. Il était vraiment fou, j'aurais préféré m'attirer des ennuies avec elle, plutôt que celui ci s'attire les foudres de Miss McGo. Sa voix derrière moi pourtant me rassura, elle m’apaisait. Je ne voulait plus chercher la petite bête avec la professeur. Je n'avais qu'une envie, me replonger dans les bras de mon Fred. Ce qui n'était pas tellement conseillé avec la vieille Dame. Quand il avoua alors ce pourquoi il était ici, je ne pu le regarder avec un air de questionnement. Où avait-il trouvé cette excuse, jamais Mcgo ne le croirait. Certes c'était tout ce qu'il avait trouvé, mais avant de sortir, il aurait du y réfléchir. Tant pis, je n'avais qu'une envie, rire. Je me retins alors en le regardant. Je ne voulais le quitter, pas maintenant, oui peut-être que la vieille dirait quelque chose, mais je devais le faire. Je devais aller me blottir encore quelques secondes dans ses bras. A tour de rôle, je regardais les deux personnes, pesant le pour et le contre du geste que je voulais faire. Il y avait étonnement plus de contre, pourtant, mon coeur balançait vers ce fameux pour qui était si... Dangereux. Si la vieille avait un peu de respect pour ses élèves, elle ne dirait rien. N'est-ce pas? Je ne savais pas ce que Fred voulait pourtant, en quelques secondes, je fus dans ses bras sous les yeux étonnés de Minerva. Je serrais le jeune Weasley autant que je le pouvais, l'embrassa une dernière fois, m'approchais de son oreille afin de lui glisser un petit je t'aime afin de partir sereinement en suivant McGonagall qui ne disait plus un mot.