| Sujet: Cooper ♦ Au clair de la lune... [END] Mer 25 Juil - 14:39 | |
| Cooper N. Wayllander ft Victor Webster © tumblr Who are you? ✗ nom Wayllander. ✗ prénoms Cooper Nathan. ✗ âge/date de naissance 25 ans/4 Avril 1972 ✗ maison à poudlard Poufsouffle. ✗ groupe Médicomages. ✗ profession Médecin à St. Mangouste. ✗ statut civil Célibataire & amoureux. ✗ patronus Fennec. ✗ épouvantard Pleine lune. ✗ baguette Bois d'amandier, ventricule de dragon, 35 cm. ✗ sang Sang mêlé. ✗ particularités Loup-garou récemment mordu, donc encore incapable de contrôler ses sautes d'humeur et la douleur des transformations. ✗ avatar Victor Webster. ✗ scénario Nop' What do you think? ✗ Que pensez-vous de la notion de sang-pur? La notion de sang-pur n'était à la base pas du tout péjorative donc je n'étais pas contre, mais je trouve sa nouvelle signification très insultante, surtout pour un sang mêlé comme moi. ✗ De quel côté vous placez-vous dans cette guerre? Je ne suis du côté de personne. J'ai un immense respect pour la vie humaine et je méprise la guerre. C'est pour ça que je voulais devenir médecin. ✗ Si vous aviez pu choisir votre maison à Poudlard, laquelle auriez vous prise ? La mienne me semble satisfaisante. What happened to you? - Débuter la vie, ce n'est jamais simple :
Je suis né dans une famille tout à fait ordinaire. Mon père était agent immobilier et rapportait un salaire convenable à la maison, tandis que ma mère appartenait au monde magique en tant qu'auror. Ma petite soeur, Brittany, vint au monde deux ans plus tard. Nous avions tout ce que la vie pouvait nous offrir, un foyer, de l'amour, de la nourriture, de l'eau, une éducation, du soleil... Rien n'aurait pu ternir le sourire étincelant qui illuminait notre portrait de famille. Mais c'était sans compter les évènements suivants. Je devais avoir quatre ans lorsque par une nuit sans lune quelqu'un vint frapper à la porte. Curieusement, mes parents ne souriaient plus et mon père nous mena jusqu'à une trappe qui donnait sur une cave secrète. C'était une petite pièce sombre et humide où résonnaient les voix qui venaient de l'entrée. Papa avait un plis sur son front qui transpirait et des larmes dans les yeux. Un cri retentit à quelques mètres de la trappe mais il nous boucha les oreilles.
« Mes chéris, je veux que vous sachiez que votre mère et moi vous aimons beaucoup et à jamais. Restez cachés ici jusqu'au jour et couvrez vos oreilles. Cooper, tu prendras soin de ta soeur, tu me le jure ? - Mais P'pa... - Tu me le jure ? - Oui. »
La dernière caresse qu'il fit sur ma joue fut telle une brûlure, puis il referma discrètement le plancher et reposa le tapis dessus. Il était temps, car la porte du salon explosa et deux personnes entrèrent. Comme convenu, Brittany et moi placèrent nos mains sur nos oreilles patiemment. Il y eu un premier tremblement et un hurlement de douleur, alors pour empêcher ma petite soeur d'entendre, je retirais mes mains de ma tête pour recouvrir les siennes fermement. Ce qui suivit me marqua à jamais.
« Pitié... Pitié je ne sais rien de votre monde, laissez moi... - Ta sale traîtresse d'épouse possédait un objet précieux... Où est-il ? - Je... Je n'en sais rien, je le jure ! - Je n'ai pas le temps de t'écouter pleurnicher, immonde créature. Je trouverai par mes propres moyens ce qui m'appartient. Fenrir ? - Avec plaisir... - Non... Par pitié... NOOOOOON !!! »
Il y eu de violentes secousses comme si quelqu'un frappait le mur du salon, puis un gargouillis effroyable. Alors que les deux inconnus repartaient, un liquide rouge et chaud coulait entre les lattes du plancher et gouttait sur le sol à mes pieds. Dans cette obscure nuit, je su que notre parfait portrait de famille ne serai plus jamais le même. Une fois le calme revenu, je remarquai bien vite que je n'avais pas la force de soulever la trappe. Nous restâmes ainsi dans le froid et la peur pendant deux jours. Puis la nécessité aidant, mes pouvoirs se déclarèrent pour faire sauter le paroi qui nous retenait prisonniers.
- Je suis un sorcier :
Brittany fut adoptée quelques jours seulement après la mort de nos parents. Quand à moi, je fut envoyé dans un orphelinat sombre et où les rires étaient aussi rares que les pâtisseries au dessert. L'établissement était dirigé par une vieille femme aigrie qui n'avait apparemment jamais voulu se retrouver avec de telles responsabilités sur le dos. Elle faisait partie de ces gens qui se retrouvaient à s'occuper d'enfants alors qu'ils n'aimaient pas ça, vous savez, ces gens qui n'ont jamais su pourquoi ils en étaient arrivés à faire ce métier. Surement que la Mère Lecroc était malheureuse dans cet endroit lugubre, d'où son énervement continuel, mais elle n'avait pas l'esprit assez ouvert pour se demander si les enfants s'y sentaient bien, eux. Faut dire que si moi je craquais après un an là dedans, je ne pouvais qu'imaginer son désespoir après 25 ans à faire ce boulot. Quoiqu'à cet âge là je ne devais pas en avoir tellement conscience. Tout ce qui m'importait, c'était que mon lit sentait la vieille pisse de chat, et que ma petite soeur me manquait. Après tout je n'étais qu'un petit garçon de cinq ans tout perdu et pourchassé par des souvenirs terrifiants. Bien sûr personne ne savait quelle avait été ma vie et jamais l'idée de corriger cette ignorance ne m’effleura l'esprit. Déjà tout jeune, je n'aimais pas être un martyr.
Comme tout enfant sorcier de mon âge, mes pouvoirs étaient alors sur le point de se déclarer, mais personne ne semblait s'en inquiéter. Ils apparurent la nuit, un dimanche je crois. Je ne me souviens plus quel mois, mais il y avait de la neige dans la ruelle sombre et puante londonienne sur laquelle donnait la fenêtre de mon dortoir. Une fois de plus, ce gros balourd de Bruce m'avait viré de mon lit.
« Ta place est par terre, microbe. Comme un cafard. »
Ne dit-on pas que c'est la colère qu'on a trop longtemps intériorisée qui est la plus dangereuse ? Je me souviendrai toujours de cet éclair qui avait jailli dans le ciel nuageux alors que le lustre se décrochait et frappait la brute de plein fouet. Laissez moi vous dire que si la Mère Lecroc me faisait déjà peur au naturel, ce n'était rien à côté de sa colère envers un être qu'elle ne pouvait pas comprendre. Bruce était mort sur le coup, et même si l'on me jetait souvent des regards soupçonneux, personne ne pouvait m'accuser de meurtre. Après-tout... La magie, ça n'existe pas dans leur monde.
- La roue tourne :
A l'orphelinat, chaque weekend était un bordel innommable. Le samedi était le jour des adoptions et le dimanche le jour du seigneur. Et après chaque samedi où personne ne m'adoptait, je me demandais bien ce qu'il pouvait bien foutre, le seigneur. N'était-il pas capable de voir que je n'avais rien à faire dans cet endroit sale et humide où l'on meurt de maladie plus souvent que l'on ne se plante une écharde dans le pied ? Et puis bon, faut avouer que c'est long la messe du dimanche. Si au moins l’hostie était sucrée, ça pourrait être supportable, ou au miel tiens ! Une hostie au miel, voilà ce qui arrangerait le déficit de pratiquants chrétiens. Mais non, pourquoi faire mieux quand on pouvait faire pire ? Je n'avais rien contre les moldus, mais ils n'avaient quand même pas beaucoup de cervelle. Du moins c'est ce que mon esprit de jeune garnement pensait. Mon jeu favoris était de faire s'évaporer l'eau dans le bénitier. Le pauvre vieux Père Maxence se faisait gronder parfois plusieurs fois par jour. Bien fait pour lui ! Il n'avait qu'à pas me confisquer mes bonbons.
Mon quotidien n'avait rien d'extraordinaire, mais j'avais appris à faire avec. Les joies les plus infimes étaient souvent les plus savoureuses et je goûtais à chacun de mes rires comme si c'était le dernier. Pourtant, un jour, tout bascula. Le jour de mes 11 ans, un homme vint le samedi pour chercher un enfant. Comme d'habitude la Mère Lecroc m'avait mis au dernier rang et faisait son possible pour attirer l'attention sur les petites filles modèles placées devant. A chaque fois ce système portait ses fruits, me condamnant à rester derrière les barreaux. Mais cette fois, tout fut différent. L'homme portait une longue cape noire et avançait avec une discrétion presque fantomatique. Son regard balaya les fillettes en robes comme si elles n'existaient pas et fondit sur moi comme un vautour repérant un cadavre. Il y avait dans ses yeux quelque chose de gênant, d'inhumain, quelque chose qui tordait mon estomac et qui faisait bouillir ma mémoire. Qui était-il ? Pourquoi me fixait-il ainsi ? Un sourire sans compassion s'étira sur ses lèvres violacées et je su à l'instant que j'étais foutu.
Pas un mot ne fut échangé. Le drôle de bonhomme blafard pointa son doigt sur moi. Tous les autres enfants se tournèrent vers moi, visiblement soulagés de ne as avoir été choisis par ce dégénéré mental. Ce type avait quelque chose d'étrange, comme si son corps n'était qu'un costume. Un costume trop grand pour lui. La Mère Lecroc m'attrapa par le bras et me refila au vieux serpent.
Non mais qu'est-ce-que c'était que cette plaisanterie ? Depuis quand la vieille se montrait elle si coopérative ? Elle aurait du l'envoyer passer l'hiver où il avait passé l'été. Et BIM monsieur tête de serpent ! Direction la lune, l'Angleterre vue du ciel ! Mais non, au lieu de ça elle regardait dans le vide, ses yeux gris vitreux comme ceux d'un poisson. Quelque chose de louche se tramait là-dessous, et c'est surement ça qui fit remonter la vérité à la surface comme on perce une bulle d'un grand coup de doigt. Il me traîna dehors sans brutalité mais malgré mes efforts sa poigne glacée emprisonnait ma main. J'étais fait comme un rat.
« Où m'emmenez-vous ? Lâchez moi !
Pas de réponse...
- Qu'est-ce-que vous me voulez ?!! »
Dans un coin sombre de la ruelle, il commença à se contorsionner. Le corps bougeait comme une poupée désarticulée, animée d'une volonté satanique. Alors, sous mon regard choqué et dégoûté, un énorme serpent jailli des entrailles du corps de vieux monsieur. Depuis quand ce pauvre malheureux était-il mort pour laisser place à ce python de plusieurs mètres ? La bête atroce me fixa quelques seconde, puis fondit sur moi, ses crochets meurtriers vers mon visage.
- Expelliarmus ! »
Mes yeux se fermèrent sous le choc. J'étais mort, le coup m'avait transpercé si vite qu'aucune douleur ne m'avait touchée, mais je ne pouvais être que mort. Ce serpent était trop puissant, il ne pouvait pas m'avoir loupé. J'étais mort, mort, mort...
« Réveille toi, Cooper. Tu es en sécurité. »
Mes yeux s'entrouvrirent pour remarquer que le python n'était plus là et que je me trouvais dans une superbe pièce lumineuse et décorée de façon luxueuse. Allongé sur un sofa au toucher de velours, je fixais alors le visage penché vers moi. C'était un homme très vieux et au sourire bienveillant. Sa longue barbe argentée brillait encore moins que ses yeux d'un bleu profond. Il m'observait avec à la fois de la joie et de la tristesse, comme s'il savait déjà tout de ma vie.
« Bonjour, je suis le professeur Dumbledore. Bienvenue à Poudlard. »
- La vraie vie commence ici :
Au fil du temps, j'ai appris tout ce qu'il fallait savoir sur Poudlard, ses plus infimes recoins, ses secrets les plus enfouis. Je ne m'attendais pas à atterrir à Poufsouffle, mais ce fut pour moi comme une révélation. Dumbledore m'expliqua qu'un sorcier souhaitant garder l'anonyma était intervenu pour me sauver, puis m'avait déposé devant les portes de l'école, encore dans les vapes. Il se débrouilla pour faire acheter mes livres et tout le matériel nécessaire à un jeune sorcier. Ce fut Hagrid, le garde-chasse, qui m'emmena acheter ma baguette.
« Mais Hagrid, laquelle je vais devoir choisir ? - Attention petit, on ne choisit jamais sa baguette. - Ah ? Comment ça ? - C'est la baguette qui choisit son sorcier. Pas le contraire. - Tu veux dire... Comme si elle était vivante ? - Tu apprendras bien vite que beaucoup d'objets sont plus intelligents et intègres que certains sorciers. Allons, pressons, je dois te ramener à l'école dans une heure. »
J'étais surement trop jeune pour comprendre, mais il me semblait que derrière cette explication se cachait toute une histoire sombre et intrigante. Est-ce-que ça avait un rapport avec le vieux serpent ? Il me tardait de le découvrir. Les autres élèves de ma maison étaient sympathiques et je n’eus aucun mal à me faire de bons amis sur qui compter et à qui raconter mon histoire. Certains m'aidèrent même à compléter les pages manquantes, si bien qu'à l'âge de 17 ans, lors de ma dernière année, je n'avais plus qu'une idée en tête : retrouver Voldemort et Fenrir Greyback, pour me venger. Bon élève néanmoins, cette part de haine intérieure ne perturba pas mon travail et mes examens furent du gâteau. Lorsqu'on me demanda ce que je voulais faire après, étant donné mes résultats très prometteurs, je répondis simplement :
« Je veux sauver des vies. Je serai médicomage. »
- Maudit à jamais :
Âgé tout juste de 25 ans, j'étais le médicomage le plus talentueux de St. Mangouste. Mais ce bonheur ne dura qu'un temps. Contrairement à ce que j'avais imaginé, c'est le loup-garou qui me retrouva, pas le contraire. C'était une nuit sans lune, voilée de nuages et de brume. Les rues étaient étonnement silencieuse lorsque je sortis de l'hôpital pour rentrer chez moi. La journée avait été longue. Mes pas résonnaient sur le trottoir et les murs sombres des bâtisses, rendant l'ambiance digne d'un film d'horreur. La main dans ma poche, je serrais ma baguette avec anxiété, pressentant un malheur. Sans ce réflexe défensif, je serrai surement mort aujourd'hui. Une ombre se détacha de l'obscurité à une vitesse fulgurante et me projeta à travers la rue. Mon crâne heurta quelque chose, surement le rebord du trottoir ou un truc du genre. Un peu sonné, j'observais le visage de mon agresseur à la lumière du réverbère.
« Fenrir Greyback... - Oh, mais c'est que je commence à être populaire. - Tu as tué mes parents. C'est dur à oublier. - A l'époque nous ne savions pas que les Wayllander avaient des enfants. Si nous l'avions su tu ne serais plus de ce monde. - Ils... Ils n'en avaient qu'un. Je suis fils unique. - Bien tenté mon gars, mais c'est inutile d'essayer de protéger ta petite sœur chérie. Je me suis déjà occupé de son cas. »
Mon sang se glaça dans mes veines sans que je sache si cela provenait de la peur ou du sang que je perdais à la tête. Surement un peu les deux. Brittany avait repris contact récemment avec moi et elle était en parfaite santé, heureuse, mariée.
« Que veux-tu dire ? - Disons que maintenant tu es effectivement fils unique. »
Le choc éclata ma poitrine. Je ne pouvais pas y croire. Pourquoi elle et pas moi ? Pourquoi est-ce-qu'il s'acharnait sur nous ?
« Pourquoi ? Pourquoi nous ? - Ta maman possédait quelque chose qui ne lui appartenait pas. - En quoi ça me concerne ? Je ne l'ai pratiquement pas connue. - C'est un joli collier que tu as là. Un cadeau ? - Ce médaillon est dans ma famille depuis... - Trop longtemps. »
Sans prévenir, il sauta sur moi. Ma baguette en main, je ripostai et le blessai profondément à l'épaule. Dans un cri de rage, il me lacéra le torse et mordit mon cou. Je ne pouvais rien faire à part crier. Pourtant aucun son ne sortit de ma bouche. Je ne pouvais pas lui faire ce plaisir. Sans ménagement il m'arracha mon collier et me cracha au visage.
« Tu sais quoi ? Je ne vais pas te tuer. Ce sera plus douloureux de vivre avec ça, crois moi. A partir de maintenant, tu es un homme maudit. »
La personne derrière l'écran. ✗ prénom/pseudo Alice/Ghost. ✗ âge 18 piges. ✗ où avez-vous connu le forum? Voir la fiche de Ronnie. ✗ ce que vous aimez Ce forum. ✗ ce que vous n'aimez pas Les maths. ✗ un dernier mot? Je vous aime ? ♥.
Dernière édition par Cooper Wayllander le Jeu 9 Aoû - 14:15, édité 9 fois |
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localisation : probablement chez moi car en congé sabbatique pour quelques temps à profiter de mon fils. A besoin de réfléchir à la suite de sa carrière.
multicomptes : Rolf Scamander
| Sujet: Re: Cooper ♦ Au clair de la lune... [END] Mer 25 Juil - 21:02 | |
| Rebienvenuue _________________ « And I don't care what they think. And I don't care what they say. What do they know about this love anyway? »« Hold my hand... For a last time... » You're the most courageous man I've ever seen, I've ever dreamed of. Whatever you say, whatever you think. Despite all opposition my feelings are and will remain the same as long as I live. Even through death. You're the one my heart has chosen, you're the one who makes me breathe... You're the one who learnt me to live. I can't just forget you even if you ask me to. Even beyond life I truly love you. Let me love you. I accept everything as long you're here along with me. Throught life and death I'll hold you till my last breath. |
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maison : Serpentard
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| Sujet: Re: Cooper ♦ Au clair de la lune... [END] Sam 4 Aoû - 12:40 | |
| - Cooper Wayllander a écrit:
- Je vais mettre plus de temps que prévu à finir cette fiche parce que je suis en pleine période de mariage, donc y a toute la famille à la maison et tout...
Pas de panique je reste avec vous et je travaille sur la fin de cette histoire a chaque acalmie que l'on m'offre ! Je vous aime !!! * vérifie que Helo est pas là * Kathy chérie tu me manques ! XD J'ai raté ça pendant que j'étais en vacances C'est bon Hélo est partie quelques jours Tu me manques aussi |
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| Sujet: Re: Cooper ♦ Au clair de la lune... [END] Sam 4 Aoû - 15:10 | |
| Si par 'canon' il faut entendre nécessairement 'montrer ses tétons' sur le vava', et bien..... No comment en fait. Mais je dois avouer, je trouve qu'il a du charme Je me souviens pas de ton avatar dans Charmed Rebienvenuue Alice :pirat: Et voilà, 3e Loup-garou du forum |
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