Who are you?
✗ nom Strauss.
✗ prénoms Emrys Kaelan, sublime pas vrai?.
✗ âge/date de naissance 13.07.1968, 29 ans
✗ maison à poudlard Poufsouffle, mais quelle importance est-ce que ça peut avoir?
✗ groupe Médicomages
✗ profession J'ai fait beaucoup de choses dans ma vie: vendeur, libraire, glandeur professionnel. Actuellement, je sors d'un asile, alors je sais pas trop pourquoi, mais on veut pas m'embaucher. Le seul boulot que j'ai pu trouver, c'est celui de Médicomage.
✗ statut civil célibataire, célibatant, je saute sur tout ce qui bouge cependant... Hommes, femmes, animaux...
✗ patronus un kangourou. Il saute partout, c'est insupportable.
✗ épouvantard une silhouette familière, celle de mon père je crois.
✗ baguette 27 cm (comme une certaine partie de mon anatomie. Non je me vante pas
), bois d'églantier avec un crin de licorne dedans.
✗ sang sang-pur
✗ particularités semblerait-il que je suis passé trois ou quatre fois par l'asile. Et une tache de naissance sur les fesses, en forme de croissant de lune. Adorable n'est-il pas?
✗ avatar Sebastian *mad hatter* Stan
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✗ scénario du tout, mais j'ai déjà un lien incroyablement sexy
What do you think?
✗ Que pensez-vous de la notion de sang-pur? Le sang pur? Ben en fait, je suis de sang pur, il me semble, à moins que je ne sois pas le fils de mon père, ce qui serait absolument possible vu que ma chère mère avait la fâcheuse tendance d'aimer la compagnie des hommes. Et quand je dis ça, je ne veux pas seulement parler de mon paternel.
Il n'était apparemment pas de très bonne compagnie le pauvre. Quoi qu'il en soit, je suis de sang pur, mais si j'avais été de sang mêlé ça ne m'aurait posé aucun problème.
✗ De quel côté vous placez-vous dans cette guerre? Une guerre? Où ça? Qu'est-ce qu'il se passe? Non mais, allez, racontez-moi!
Bon, je vais essayer de deviner? Ah oui, l'autre là, le fou, Voldemort? Non, je l'aime pas trop je dois dire. je suis jamais trop fan des gens qui essaient de me retirer ma liberté. Moi, je veux avoir le pouvoir de faire ce que je veux, quand je veux et où je veux.
Et apparemment, avec Voldemort, ce n'est pas vraiment ce qu'il se passe. Moi je suis neutre, au milieu de tout ça, mais on m'a aprlé d"un groupe de personnes, l'Ordre du phoenix je crois.
Le nom est bidon, mais ils ont l'air sympathoches.
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✗ Si vous aviez pu choisir votre maison à Poudlard, laquelle auriez vous prise? Que pourrais-je vous répondre? On dit que les fous appartenaient à la maison des Verts et argent. Alors pourquoi pas? Vous savez, je suis une étrange personne, je ne parlais guère, et les seules fois où je parlais... Non, vraiment je ne parlais pas. Les contacts que j'avais avec les autres, c'était dans les toilettes, ou dans mon dortoir, tout dépendait de la personne concernée.
Il parait que l'on s'amuse beaucoup chez les Serpentard. Ils sont tous tellement drôles... Oui, je dirais sans doute cette maison.
Et puis à mon époque, il y avait un certain nombre de beaux gosses. fort intéressant! Et les jeunes femmes étaient tout à fait délicieuses. Allez, comme je n'aime pas laisser une question sans réponse, Serpentard mes amis!
What happened to you?
Cocoricoooooooooo! Ou comme on dit par chez moi: "Okaïdi, Okaïda". Une manière très simple de souhaiter la bienvenue. Et puis une manière fort amusante aussi, je dois bien le reconnaître. Me présenter, parler de moi, n'a jamais été l'une de mes activités favorites. Seulement, il faut bien reconnaître que votre requête m'intrigue jeune ami.
Pourquoi souhaites-tu donc me connaitre? Ce n'est rien, ne t'explique pas, c'est avec grand coeur que je le fais.
Comme tu dois t'en douter, je suis né dans la belle cité de Londres. Comment t'en douterais-tu? Allons, où un être doté d'une classe comme la mienne pourrait-il être né, sinon dans la capitale anglaise? Réfléchis un peu quand tu parles.
J'en suis littéralement tombé sous le charme. C'était il y a vingt-sept ans de cela. Par contre, ne me demande guère en quelle année je suis né, les chiffres et moi n'avons jamais fait un très bon ménage.
Mon enfance s'est déroulée dans un foyer aimant, je dirais même débordant d'amour à toutes les sauces: hommes, femmes, mais malheureusement jamais enfant. Mon père était bien trop occupé au bureau (ou sous les jupons de sa secrétaire, au choix) que pour se soucier de ma seule présence. Et ma mère a pris le même pli. Pourquoi son mari pourrait-il s'amuser et pas elle?
Heureusement, Poudlard m'a délivré de cet enfer... Enfin, d'aucun disent que c'est là que mes problèmes ont commencé.
Les premières années se sont extrêmement bien passées. Les quelques amis que j'avais prirent l'habitude de dire que je... comment déjà? Ah oui, que je découvrais en profondeur les tréfonds de mon âme. techniquement parlant, je préférais répondre que ces personnes découvraient en fait le fin fond de mon corps. Je vous épargnerai évidemment les détails.
Disons juste que victuailles et viande fraîche faisaient partie à temps plein de ma vie de jeune étudiant.
J'étais un bon étudiant, ni trop doué, ni pas assez. J'éprouvais un intérêt certain pour les sortilèges, ainsi que les potions et l'étude des runes. Le reste ne m'intéressait que peu.
J'ai obtenu mes BUSES et mes ASPIC sans le moindre problème et le monde des sorciers adultes m'a ouvert les portes.
J'ai tout de même effectué des études. Normal, on est toujours mieux vus si on a un diplôme dans la poche. Le mien, c'est celui de Médicomage. J'étais doué en sortilèges et en potions, alors pourquoi pas?
Plusieurs années d'étude mais j'en étais ravi: imaginez les rencontres que j'ai pu faire!
Peu de temps après ma sortie de l'école, les premiers problèmes ont débutés. On entendait parler d'un mage noir, mais j'étais bien trop souvent occupé ailleurs, que ça soit dans la chambre d'un vieil hôtel miteux ou au fin fond de l'Egypte, où j'aimais voyager. Un soir, en rentrant de voyage, j'ai eu une charmante discussion avec mon paternel, pas réellement ravi de mes activités nocturnes. Comment était-il au courant? Bonne question!
Depuis il est mort, et j'ai hérité de sa fortune. Suffisamment pour vivre tranquille un moment. Ne me regardez pas ainsi allons, je n'ai rien fait!
Cependant, ma mère était comme vous, convaincue que j'avais un lien avec le décès, brutal certes, de son cher et tendre mari adultère. Je me suis donc retrouvé un soir dans une cave, affublé d'une horrible cape noire, terrassé par des doloris tous aussi ratés les uns que les autres.
Pour conclure sa vengeance, elle m'a fait passé pour fou et m'a enfermé dans un asile, où j'ai rencontré Robin. Elle pensait qu'elle allait me détruire, pauvre folle!
J'y suis resté de longs, très longs mois. Voire même des années en fait.
Mais ils n'ont fait qu'attiser la folie déjà existante chez moi. Essayez de rendre un fou plus fou qu'il ne l'est déjà. Et puis, je ne me décrirais pas comme fou mais plutôt comme imprévisible, libre de corps et d'esprit (je vous l'accorde, surtout de corps!). Robin était mon colocataire, nous partagions la même cellule capitonnée. Un endroit fort confortable au demeurant.
Nous avons même décidé de poursuivre l'aventure à notre sortie de là. Un endroit fort charmant mais le monde me manquait quelque peu. Il parait que l'on est plus jamais pareils après la torture du Doloris.
J'ai un scoop: seuls les faibles d'esprit changent. Je suis toujours le même, et ma mère regrettera son geste, tout comme mon père regretta. On ne se moque pas de moi, jamais.
Et si vous voulez essayer, à vos risques et périls mes agneaux. N'oubliez pas que le loup ne reste jamais bien loin de la bergerie.
Aujourd'hui, je vis dans un petit appartement londonien, non loin du centre, avec Robin. Ce cher garçon a encore beaucoup à apprendre. Grâce à ma formation de Médicomage, j'ai réussi à trouver un job à Ste-Mangouste. J'en suis ravi d'ailleurs: forcément, imaginez-vous! Je travaille dans un hôpital, je peux donc profiter de ce merveilleux emploi pour... piquer l'une ou l'autre petite potion, histoire de m'envoyer en l'air (et par là, je ne veux pas dire avec des gens, mais tout seul. Ne vous faites pas de fausses idées!)
Promis juré, je ne plane pas quand je travaille. Jsuis même plutôt sympa comme Médicomage. Les patients m'aiment bien.
Mais quand je rentre chez moi, j'aime bien trouver, comme par enchantement, une potion dans la poche de mon pantalon. Je plane, tu planes, il plane... nous planons. Moi et mon côté maléfique.