le papier est d'une qualité rare, comme l'encre et l'écriture élégante, les différents blasons sont ceux du Ministère ou celui du Vice-Directeur de la Coopération Internationale Magique
Je souhaite que mon hibou vous trouve en bonnes dispositions pour recevoir la lettre subséquente.
Je me présente de façon quelque peu concise, ne désirant pas vous noyer sous d'obséquieux détails. C'est en ma qualité de Caesius Ledwell, Vice-Directeur au ministère, que je vous écris, et ma missive n'a qu'un objet purement personnel.
Lors d'un bal entre têtes hautes, je n'ai guère eu le loisir de vous rencontrer, mais des connaissances m'ont parlé de vous, tout en complimentant combien nous ferions un sublime duo, je me suis permis de m'enquérir à propos de vos facettes. Le tableau dépeint a titillé ma curiosité. Mais c'est surtout ce qui n'a pas été dit qui me pousse à vous proposer un rendez-vous lorsque nous aurons échangé quelques missives. Cela ne porte à aucune promesse d'aucune sorte. Et une négation est tout à fait acceptable.
Puisqu'il semble que cela se fait, dans ce genre de situation, je puis me décrire comme intelligent, consciencieux et très ambitieux. Je brigue le poste de ministre de la magie avant mes trente cinq ans. Enfin, l'une de vos connaissances, une certaine Mme Fletcher, votre tante semble t-il, m'a conseillé de joindre une photo. Il est vrai que le physique joue en faveur de relations, quelles qu'elles soient.
Je vous joins donc la une de TGV magasine, où j'apparais comme le plus jeune vice-directeur du ministère depuis cent ans.
Je me fait l'effet d'un flerreur gonflant sa fourrure, j'espère que vous ne vous ferez pas de moi une fausse idée négative. Je vous prie de me laisser une chance et de pouvoir échanger avec vous.
Bien à vous, Caesius Benedict Ledwell.
b l a c k f i s h
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rex incarnatus
Ain't nobody bringing us, Down, down, down, down, down, down ; They could try but we're gonna wear the crown ; You could go another round
Serafina A. Myhr
new & pure
hiboux : 219
maison : serpentard
house points : 165
localisation : là où son intérêt se trouve
multicomptes : severus, bellatrix, robin, maverick & andrew
Je tiens d’abord à vous rassurer sur le fait que votre courrier m’a trouvée en excellente forme, même si quelque peu surprise de recevoir une telle lettre. Il n’y a toutefois pas de raison de vous inquiéter, ce fut une excellente surprise.
Je crois me rappeler l’occasion à laquelle vous faites allusion, et vous me voyez flattée d’apprendre que les rapports qu’on a pu vous faire sur moi ont attisé votre curiosité. Je dois avouer que la mienne l’est tout autant à votre égard. Ma tante a été de bons conseils, et la photographie que vous avez joint à votre courrier sert très bien votre but en m’écrivant.
Je suis ravie de lire que vous êtes un homme plein d’ambition, mais vos rapports sur moi vous ont sans doute appris qu’il eut été inutile de me contacter si cela n’avait pas été le cas. Mais puisque vous avez pris le temps de lister ce que vous considérez comme vos qualités principales, permettez-moi d’en faire de même. Vous serez peut-être heureux, mais pas surpris, de lire que nous en avons quelques unes en commun. Je me décrirais comme une femme ambitieuse et vive, si je sais que cela peut rebuter certains hommes, je me permets de supposer que cela ne vous déplairait pas.
Je suis toujours ravie de pouvoir converser avec des sorciers qui partagent mes valeurs, et il y a fort à parier que nous avons plus en commun que nos ambitions. Je me réjouis de le découvrir grâce à la correspondance que vous avez judicieusement initiée.
Permettez-moi également de vous féliciter pour la qualité de votre papier à lettre, ainsi que de votre encre. Vous serez ravi de lire que leurs qualités ne sont pas passées inaperçues auprès de votre lectrice.
Au plaisir de vous lire,
Serafina Annabelle Myhr
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Caesius B. Ledwell
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hiboux : 55
maison : ancien serpentard, ruse, ambition et dédain face à la faiblesse et l'ignorance.
house points : 104
localisation : Londres, la plupart du temps, mais il est amené à fouler des terres étrangères pour son travail.
Je suis positivement ravi que notre échange aiguise votre intérêt. Je suis d'autant plus aiguillonné de remords que de n'avoir pu faire votre connaissance en chair et en os, mais ce n'est que partie remise, me permets-je d'espèrer.
Nous voilà donc tous deux ombres aux crocs avides, me semble t-il, même si ma propre parure prédatrice vous vêtirait plutôt d'épines aux roses fleuries. Votre ambition, quelle qu'elle soit, ne m'effraie guère. Votre vivacité d'esprit, votre intelligence et votre volonté ont été parmi les qualités qui ont résonné sur les lèvres de votre Tante. Grand bien fasse à Circé. Si la populace des sorciers se complait à des amourettes fades et rébarbatives, je cherche un esprit aiguisé, qui saura se creuser sa propre place. Un futur premier ministre se doit d'avoir à ses côtés une femme de pouvoir - il n'est devoir conjugal plus plaisant que de partager le pouvoir, ne croyez-vous pas ?
Mais je mets les abraxans avant le carrosse. Les mots sont encrés : si mes missives vous trouvent, c'est pour voir si nous pourrions nous accorder. Or, si cela ne s'avérait pas aussi lucratif que nous puissions le croire, je suggère que nous pourrions tout de même voir sortir de ce terreau social nombre de bienfaits. De par votre rang, de votre prestance, vous avez accès à ce qui me fait défaut.
Je ne suis pas à Londres, le travail m'appelant en la riante contrée Française. Je vous joins l'un des derniers magasines de Paris sur la mode sorcière. Cela sera, semble t-il, extrêmement prisé à la saison suivante. Même si, à ce que l'on m'a dit, ces créatures sur les couvertures ne valent pas votre beauté. Les demoiselles dans les rues font pâles figure comparé au portrait dressé par votre tante. Et ce que vous m'écrivez, la manière dont vos mots se délient, votre encre pinçant le parchemin, tout cela ne fait qu'attiser l'envie de vous rencontrer.
Quels loisirs vos sens apprécient-ils ? Jouez-vous d'un quelconque instrument, ou peignez-vous ? Etrangement, je vous imagine mal paresser sur un divan de salon. Si cela peut vous intéresser, je suis mélomane à mes heures perdues, le piano et le violon sont les berceuses à mes tympans lorsque les aboiements de mon frère cadet finissent d'agacer mes nerfs. Je suis doué en cuisine et j'ai été gardien de quidditch dans ma prime jeunesse ; si la politique n'avait fait résonner ses sirènes, peut-être me serais-je laissé tenter par une carrière sportive.
Je vous laisse à votre journée, Bien à vous,
Caesius Benedict Ledwell
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Votre lettre me conforte dans l’idée que nous avons des aspirations communes, et je ne puis que vous donner raison dans votre vision du bonheur matrimonial. Il me semble que le mariage est avant tout un échange, et lorsque chaque parti apporte ce dont l’autre a besoin, l’union est alors un succès, qu’importe le reste. Une femme de mon rang se doit d’avoir un compagnon à la stature irréprochable, et avec une position sociale respectable.
Si vous deviez accéder au poste de ministre de la magie, cela me paraîtrait correspondre à ces critères.
Je ne saurai trop vous remercier pour le magazine joint à votre courrier. La mode est l’une de mes passions, et je me ferai un plaisir de consulter les tendances de Paris, même si vous niez la beauté de ses modèles dans l’espoir de me flatter. Oserai-je vous dire que cela a fonctionné ?
Vous me voyez ravie de lire que vous avez une si juste image de moi, car j’ai horreur de l’oisiveté et de la paresse. Je nourris une passion sans comparaison pour la musique classique, et le violon est sans doute le son que j’ai le plus de plaisir à entendre. Je ne vous ferai pas l’affront de prétendre avoir un quelconque intérêt pour le quidditch, mais je suis heureuse de lire que vous n’êtes pas entré en politique par défaut. Il est appréciable d’avoir plusieurs options. Je suis également une redoutable joueuse d’échecs, êtes-vous vous-même joueur ?
Même si je raffole de voyages, mes activités ne me laissent, à mon goût, pas assez de temps pour en profiter. Peut-être pourrions nous envisager de nous rencontrer pour une partie d’échecs à Central Park, ou bien pour un concert à l’Opéra Garnier ?
Au plaisir de vous lire,
Serafina Annabelle Myhr
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Caesius B. Ledwell
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localisation : Londres, la plupart du temps, mais il est amené à fouler des terres étrangères pour son travail.
Je ne puis qu'acquiescer. Les mariages d'amour sont aussi rares que difficiles. Nombre d'entre eux finissent par se déchirer. A mon humble avis, tant que le couple avance dans un même but, et que le respect est présent, cette solidarité est une plus-value. Sachez que mes attentes, vis à vis de ma future femme, sont élevées. Un premier ministre doit avoir à ses côtés une femme forte, indépendante, qui n'aura peur ni de possibles ennemis, ni des absences répétées ou, si son souhait est de participer, de réunions politique et sociales à rallonge. Néanmoins, je pense qu'un tel poste pourrait vour voir rayonner à ses côtés.
Je note votre soif d'élégance. Il n'est pire créature qu'une personne mal accoutrée. La jeunesse me paraît bien mal avisée sur ces points pourtant simples. Le raffinement dans sa simple vêture est pourtant primordiale. Il faut en imposer, dès le premier regard. Je mets un point d'orgue à ne porter que les plus exquis tissus et les coupes les plus élégantes. Peut-être pourrez-vous me conseiller sur ces points - afin que je puisse atteindre le rang de votre beauté tant exultée par vos proches et connaissances. Ne craignez pas d'apprécier mes compliments. La fausse humilité est une stupidité sans nom. Au contraire : rengorgez vous et assumez votre grâce de déesse.
Si nous continuons plus avant et que nous en venons à nous voir régulièrement, je me ferai un plaisir de vous inviter à quelques concerts privés de mes connaissances musiciens. Vous parliez, à la fin de votre lettre, de l'Opéra Garnier, je proposerai en second le Palace Theatre de Londres où, hormis l'architecture incroyable et l'histoire des lieux, des pièces de théâtre très intéressantes ont lieu. Je suis heureux de voir que vous faites grand cas de la probité intellectuelle ; combien de jeunes femmes n'ai-je croisé, simples potiches aux bras de leurs maris, un spectacle navrant.
Redoutable joueuse d'échec, dites-vous ? J'aime énormément les jeux de stratégie, et je connais les arcanes de celui-ci, sans pourtant me parer d'un blason de bon joueur. Je serai reconnaissant si vous aviez l'honneur de jouer contre moi. Mon métier me pousse déjà à jouer de telles parties grandeur nature, croyez-moi, la politique est un jeu d'échecs version sorcier où chaque mouvement terrible peut se révéler un mat cuisant. Mais comme je déteste perdre, je m'arrange toujours pour gagner.
Vous parlez d'activités vous prenant tout votre temps ; quelles sont-elles ? Excusez-moi ma curiosité, je tiens juste à connaître vos passe-temps et vos loisirs, et s'il vous prend l'envie de voyager, nous pourrions effectivement aller boire un café dans le Café Diane à Paris, qui se situe aux Tuileries ; le côté sorcier dispose de magnifiques roses chantantes sur des arceaux de fer forgé qui forment des fresques vivantes de l'histoire. Et l'Opéra pour la soirée, si vous tenez à m'y accompagner. Si une telle rencontre devait s'opérer, puis-je faire un premier geste et vous offrir une parure pour concorder avec votre robe de soirée ? Je ne doute pas que vous ayez tout ce qu'il vous faut, mais je serais un goujat de premier ordre si je venais à vous les mains vides. A moins que vous n'aimiez les fleurs, les chocolats ou les pâtes de fruits ?
Mon imagination s'enflamme, et je commence à désirer plus ardemment cette rencontre. Vous avez l'avantage d'avoir posé les yeux sur un papier glacé ayant aspiré mon image. Je ne puis que vous rêver, à l'aune des portraits dressés de vous, en une Diane chasseresse, conquérante et ambitieuse. Je sais que la réalité sera plus délicieuse encore.
Bien à vous,
Caesius Benedict Ledwell
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Je n’aurais pu dire mieux. J'abhorre le manque d’élégance plus que tout au monde, et il n’y a que les idiots ou les menteurs pour oser dire que l’apparence n’a aucune importance. Après tout, les premières impressions sont primordiales, mais vous n’avez pas à rougir de ce côté là. Je vous conseillerai avec plaisir même si, j’en suis certaine, vous en avez moins besoin que la majorité des sorciers qui briguent le poste de ministre de la magie.
Le Palace Theatre de Londres me paraît être une idée tout à fait charmante, et je pense pouvoir vous promettre sans risque de vous faire meilleure impression sur place que les mannequins inanimés que vous avez pu y croiser.
Plus que la politique, tout dans la vie me paraît être une partie d’échecs, d’un accord entre hommes d’affaires à un jeu de séduction entre deux inconnus. D’ailleurs, notre échange n’est-il pas lui-même une partie d’échecs ? Une partie que, je l’espère, nous gagnerons tous les deux.
Votre curiosité vous fait honneur, mais vous devrez accorder à une femme le droit de conserver un peu de mystère. Je laisserai votre imagination se déchaîner sur ce sujet pour le moment, mais vous aurez peut-être l’honneur d’en apprendre un peu plus le jour de notre rencontre.
Pour cette rencontre, le Café Diane me paraît être un excellent choix. Je vous accompagnerai également à l’Opéra avec grand plaisir si ma première impression de vous se confirme. La date de samedi vous conviendrait-elle pour cette rencontre ? Je porterai une longue robe vert émeraude, mais mon souhait de conserver une part de mystère me pousse à ne rien dévoiler de plus. Votre anticipation n’en sera que plus délectable, j’en suis certaine.
Je vous laisse le choix du présent que vous souhaitez m’offrir, la simple couleur de ma robe devrait vous donner plusieurs options. Votre choix me permettra de mieux évaluer le besoin que vous avez de mes conseils en termes d’élégance.
Au plaisir de vous lire, et de vous voir,
Serafina Annabelle Myhr
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localisation : Londres, la plupart du temps, mais il est amené à fouler des terres étrangères pour son travail.
Nos visions concordent, et honnêtement, je pense qu'il s'agit d'un sujet parmi d'autres pour lesquels nous serons amplement d'accord. Comme vous le dites avec des mots si véritables, les impressions passent par la posture, le raffinement d'un habit bien coupé, le port d'une machoire, la séduction d'un sourire. L'apparence compte tout autant que le caractère, et ceux qui parlent de beauté intérieure sont sûrement dédaigné de la beauté extérieure. Excusez cette plaisanterie de mauvais aloi.
Une fois rencontrés de vive voix, en chair et en os, nous aurons tout le loisir de choisir les endroits les plus réputés et les plus raffinés auxquels offrir l'honneur de notre présence.
Que voilà une vision à la fois joueuse et pleine de bon sens. Tout est affaire de coups à jouer et de pions à damer. Si j'avais crains n'être qu'un pion, peut-être aurais-je pris peur, mais il faut un roi à une reine de votre envergure. Croyez-moi, j'ai bien plus à vous proposer que ce que je formule dans ces missives. Si je n'étais qu'un damoiseau aux belles ambitions, je n'atteindrais même pas la cheville de votre position.
J'accepte vos mystères. Il est bien normal de garder, par devers-soi, quelques secrets. Essayer de les deviner n'en est que plus excitant. Mon imagination peut se révéler très prolifique, j'espère que vous pourrez profiter de ces excès de cette fantaisie malicieuse dont je peux être l'origine.
Je réserve immédiatement, pour ce samedi, deux places au Café Diane. Le Paris Sorcier dispose de divers places de transplanages qui vous permettront de vous y engager sans problème. Nous pourrions prendre quelque café ou pâtisserie dont les Français sorciers ont tant de fierté, et ensuite nous diriger à l'Opéra. Il s'y joue Les Hypogriffes d'Odin, dont l'on m'a tant vanté tant les musiques que les décors fantasques. Une robe d'émeraude rehaussera votre beauté en déclinant celle de tous les autres. Je trouverai grâce à vos yeux en étant digne de vos attentes avec mon modeste présent.
Le Café Diane nous ouvrira ses portes magiques à dix neuf heures. Nous aurons le temps de converser calmement avant l'Opéra, qui n'est qu'à vingt et une heures. Je joins votre billet. Nous aurons certaines des meilleures places, il serait inutile de se déplacer voir une grande oeuvre musicale si c'est pour observer le crâne pelé d'un quelconque sorcier devant soi.
Avec toute ma hâte et mon impatience de nous rencontrer ce samedi à Paris,
Bien à vous, Caesius Benedict Ledwell
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Vous êtes tout pardonné pour votre plaisanterie... que je me permets de prendre au sérieux. Ceux qui sont prêts à nier les effets de la beauté extérieure en sont forcément dépourvus, mais j'ai bon espoir que ma robe ce samedi vous permettra de vous assurer que c'est loin d'être mon cas. Je n'ai nul doute que vos propres vêtements sauront vous mettre en valeur, et je me réjouis de pouvoir découvrir le Café Diane à votre bras.
Votre hibou a bien su me faire parvenir les billets pour l'Opéra. Je ne peux que confesser mon ignorance, je n'ai moi-même jamais assisté à une représentation des Hypogriffes d'Odin, mais je me ferai un plaisir de réparer ce faux pas samedi soir.
Je vous attendrai à l'entrée du parc des Tuileries, à dix neuf heures. Votre imagination pourra alors prendre un repos bien mérité. D'ici là, la mienne sera occupée à rêver à notre entrée dans l'Opéra Garnier, et l'effet qu'elle produira sans doute.
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