Je suis un grand blond de 1m83 aux yeux gris. + Étant un grand sportif, principalement la danse, le hockey sur glace et la planche à voile, je suis plutôt musclé bien que ma silhouette soit fine et élancée. + J'ai un look plutôt rock, mais je sais m'habiller plutôt classe quand cela est nécessaire. + On pourrait qualifier mes cheveux de mi long et ils sont toujours dans un style décoiffé. D'ailleurs vu que je bouge beaucoup, ils sont rarement coiffé alors pourquoi se fatiguer. + Je possède un tatouage sur l'omoplate gauche qui représente ma passion pour la musique et un cicatrice sur la hanche qui est le souvenir d'un match de hockey en famille particulièrement acharné. + Seul et unique  sorcier de la famille Lancaster, cette différence ne m'enchante pas du tout. + Je ne suis pas très porté par les activités dite intellectuelles, mais il m’arrive malgré tout de lire certains livres pour le plaisir. Je suis un grand fan de Tolkien et plus précisément du « Seigneur des anneaux ». + Je suis un fan de la série « Supernatural ». Je crois aux monstres sous le lit et autre forces surnaturelles. Se qui c’est confirmer par mon entrée dans le monde de la magie. + Je suis un passionné de cinéma et j’adore me faire des soirées « vieux films ». Les classiques en noirs et blancs c'est se qu'il y a de mieux, surtout pour la drague. Ceci dit, mon actrice préféré est Jennifer Aniston sur qui je fantasme énormément. Certain trouve cela étrange, mais je n’ai jamais vu un seul épisode de la saga « Star Wars ». Mon film préféré est cependant un film d'animation. Et oui, il s'agit de « The Nightmare Before Christmas ». + Ma fête préférée est Halloween. J’adore me déguiser et surtout préparer des mauvais tours comme la coutume le permet. Le personnage que j’aimerais incarner un jour, c'est Roméo, mais pour cela, j’attends de trouver ma Juliette. Mais bon soyons honnête, le collant et la fraise très peu pour moi. Non, si je devais interpréter ce couple mythique c'est la version du film avec DiCaprio et Danes que je choisierais. + En dehors de mon second prénom, j’ai un autre secret que je n'avouerais jamais. Je suis fan de Justin Bieber! + J’ai la  fâcheuse manie de me ronger les ongles. Cela me vaut de nombreuses tapes sur les doigts de la part de mon entourage, mais bon pas facile de se débarrasser de mes mauvaises habitudes.

Je suis venu au monde dans une famille ayant déjà 4 enfants. Je suis donc le petit dernier de la fratrie. Déjà que mes aînés n'étaient tous ravi de me voir pointé le bout de mon nez, ma mère n'a rien trouvé de mieux que de me faire voir le jour entre noël et le jour de l'an. Pas la meilleure période de l'année croyez moi. J'ai toujours été plus gâté à cause de ça ce qui a eu tendance à créer des jalousies de la part de certains de mes frères. Ah oui, je ne vous ai pas dit que j'ai trois frères et une sœur. Mon père est un la tête d'une chaîne d'hôtels à travers le monde et ma mère est médecin. Ils sont mariés depuis 35 ans maintenant. Faut dire qu'ils ne se voient quasiment jamais, ça aide à la pérennité vu qu'ils n'ont pas le temps de s'engueuler. Le plus âgé de mes frères à 30 ans (Greg), le suivant en a 28 (David), ma sœur en a 25 (Jessica) et le dernier, 20 ans (Peter). Moi, je suis celui qu'on n'attendait pas, qui n'était pas prévu au programme. Le cadeau du ciel comme m'appelle ma mère. Ou le perturbateur selon Peter. Il me tient pour responsable d'avoir perdu son statut de petit dernier et donc du bébé à sa maman. Je lui rendrais son titre avec plaisir croyez moi.

Bref, chez nous, c'était plutôt tranquille en dehors de cette petite guerre avec mon frangin. Je me suis très tôt découvert une passion le sport. Je me suis mis au hockey sur glace et j'avais même pensé à faire carrière pendant un temps. Mais c'était avant que je ne tombe amoureux de la musique. Aujourd'hui, je joue de la guitare, du piano, de la batterie et du violon. Ce dernier, c'est pour faire plaisir à ma mère. Mais dans ma famille, pas question d'être un artiste. Chez nous, soit, on se retrouve à bosser dans un des hôtels de mon paternel, soit, on fait médecine comme maman. Autant dire qu'aucune des options ne m'inspire. Mon délire à moi, c'est d'écrire et de composer. J'adore danser aussi et faire des acrobaties. J'avoue que c'est une chance que mon père ne soit quasiment jamais à la maison à cause de son job. Ça me permet de m'épanouir dans la musique. En plus, ma mère trouve que j'ai un vrai don et donc elle me couvre.

Enfin ça, c’était avant. Avant qu’un homme étrange ne débarque chez mes parents le jour de mes onze ans. Pour ma part, je n’avais qu’une idée en tête, la fête qui allait avoir lieu pour l’occasion et les cadeaux que j’allais recevoir. Je ne m’attendais absolument pas à ce que mes parents m’appellent pour m’apprendre que j’étais un sorcier. UN QUOI ? Fut ma première réaction. Mes parents devaient se foutre de moi, je ne voyais pas d’autres explications. Ou alors c’était une vaste blague familiale suggérer par un de mes frangins. Mais non, l’homme m’expliqua la situation et me donna ma lettre de Poudlard avant de partir. Cette nouvelle ne m’enchantait pas du tout contrairement à mère. Mon père était sceptique. Quant à mes frères et sœurs, ils n’y croyaient pas plus que moi. Pourtant, cela expliquait quelques événements étranges qui m’arrivaient depuis ma naissance. Après de longues discussions, mes parents décidèrent que j’irais suivre mes études à l’école de sorcellerie afin que je maîtrise mes dons magiques. Mais moi ce n’est pas ce que je voulais, alors je pris cela pour une punition. Il n’y a bien que Peter qui était satisfait par cette décision, voyant là l’occasion de se débarrasser de son petit frère qui l’encombrait depuis des années. Ma mère me conseilla de voir ça comme une grande aventure, une expérience unique. Mon père lui, égale à lui-même, me disait que peu importe ce que j’étais, il ne fallait pas que je ternisse le nom des Lancaster. Il voyait surtout que lorsque j’en aurai fini avec mes études, cela lui ouvrait une porte vers le monde magique et une nouvelle clientèle. Enfin, que des raisons strictement pécuniaires et à mille lieux de mes propres envies et ambitions. Et le pire dans tout ça, c’est que je ne pouvais en parler à personne. Mais il fallait bien que j’explique mon éloignement de Londres. Mon père prétexta de m’envoyer dans une grande école en Suisse qui ferait soi-disant disparaître ma passion ridicule pour la musique. Cependant, je ne pouvais pas mentir à mon meilleur ami, celui avec qui j’ai fait les quatre cents coups depuis ma rentrée à l’école primaire. Ouais, j’ai éventé le secret, mais le temps me prouvera que j’ai bien fait de lui faire confiance. Et puis honnêtement, qui aurait cru un gamin de onze racontant que son meilleur ami était parti étudier dans une école de magie ?

Peu avant ma première rentrée dans cette école loin de chez moi, l’homme qui était venu m’annoncer la Grande Nouvelle, refit son apparition pour m’accompagner faire mes achats. Ben oui, le matériel pour l’école de sorcier ne se trouve pas dans les boutiques que je fréquente d’ordinaire. Contrairement à beaucoup des jeunes de mon âge qui seraient émerveillés par cette découverte, je faisais plutôt grise mine. Mais ce fut sans compter sur mon guide. Ce dernier m’expliquait ce que je pouvais trouver dans chacun des magasins et autres échoppes. Mon intérêt s’éveilla soudain quand il me parla de Quidditch, le sport des sorciers. Pour moi qui adore le sport, voilà qui me plaisait bien. Je fus un peu déçu d’apprendre que je ne pourrais pas pratiquer cette activité avant ma seconde année. Mais au moins, j’avais dorénavant un objectif scolaire. Rejoindre une équipe et faire mes preuves dans ce sport qu’aucun de mes frères ne pouvait pratiquer mieux que moi. Une fois rentrée chez moi, je racontais tout cela à mes parents et ma sœur qui aurait bien aimé être elle aussi une sorcière. Cette dernière était certainement la seule que mon proche départ pour Poudlard attristait. Il faut dire qu’elle était un peu comme une seconde mère pour moi. Mon père leva les yeux au ciel quand j’évoquais mon envie de m’adonner au Quidditch. Tant que ça ne contrariait pas ma scolarité et que mes notes étaient bonnes, le reste, il s’en moquait pas mal.

Le premier septembre arriva rapidement et celui qui me servait de guide à travers le monde magique nous conduisit moi, ma mère et ma sœur, jusqu’au quai 9 3/4. J’avoue que cette information m’avait grandement intrigué. Les larmes de Jessica au moment des adieux me chagrinèrent. Après l’avoir embrassé et assurer que tout irait bien pour moi, j’en fit de même avec ma mère et montait dans le train. Alors que le Poudlard Express s’ébranlait, je trouvais un compartiment vide et me penchais par la fenêtre pour faire signe de la main aux deux femmes que j’aimais le plus au monde. Je refermais à peine la fenêtre qu’une petite rousse débarqua et me demanda si elle pouvait s’asseoir. J’acceptais sans savoir que cette rencontre allait déboucher sur une belle amitié et que celle qui se présenta sous le nom d’Alexiel deviendrait ma meilleure amie. Le temps passa vite en sa compagnie. Elle m’expliqua un peu sa vie et je lui parlais de la mienne. Elle me donna de précieuses informations sur le fonctionnement de notre nouvelle école et la cérémonie de répartition. Ces infos, elle les tenaient elle-même de ses parents qui avaient vécu ce que je vivais moi-même. La cérémonie de répartition se déroula comme je me l’étais imaginé et je fus déçu de ne pas être envoyé chez Gryffondor comme ma nouvelle amie. Ça aurait été chouette d’être avec quelqu’un que je connaissais déjà. Mais je fus envoyé chez Poufsouffle. Bof, après tout, pourquoi pas. Celle-là ou une autre…

Quoiqu’il en soit, les années passèrent avec leurs lots d'aventures, d’expériences et de drames. À l’occasion de notre troisième année, un bal avait été donné pour Noël et j’avais naturellement proposé à Alexiel d’être ma cavalière. Ce fut une chouette soirée. Malheureusement, l’euphorie de cet événement disparut à la fin de l’année lorsqu’un de mes camarades de maison, qui représentait l’école lors du Tournois des trois sorciers, perdit la vie. Je n’étais pas spécialement proche de Cédric Diggory, mais je l’aimais bien. J’en ressentis une certaine colère envers Harry Potter. Ce type me donnait l’impression de tout faire pour être le centre de l’attention. D’ailleurs, quand il annonça le retour du Seigneur des Ténèbres, j’étais persuadé que c’était une excuse pour se dédouaner de la mort de notre camarade.

Étant enfant de moldus, je ne savais pas franchement qui était Lord Voldemort. J’avais surtout compris qu’il faisait peur à beaucoup de monde. Pour moi, il était plus proche du mythe que de la réalité. Alors forcément, j’avais du mal à croire à son potentiel retour. Ce qui n’était pas le cas de ma meilleure amie. Cela entraîna une violente dispute entre nous au début de l’année scolaire suivante. J’étais persuadé qu’elle croyait à cette histoire parce que Harry était un de ses camarades de maison, une espèce de solidarité quoi. On ne se parla pas pendant plusieurs semaines. Mais heureusement pour notre amitié, un « ennemi commun » avait fait son apparition à la rentrée. Le professeur Ombrage. Cette mégère avait fini par nous réconcilier et lorsqu’elle me parla de ce qui fut appelé l’Armée de Dumbledore, ou l’AD pour les intimes, je décidais de la suivre dans cette aventure. Enfin, la fin de l’année arriva et le Ministère de la Magie reconnut son erreur. Ainsi donc Potter avait toujours dit vrai. J’aurais dû faire mon mea-culpa, mais ce n’était pas dans mes habitudes de m’excuser. Ceci dit, je me retrouvais face à un sérieux dilemme. Le retour de ce terrible sorcier m’offrait la possibilité de ne pas revenir à Poudlard. Mais même si je n’ai jamais vraiment aimé être un sorcier, je m’étais fait des amis au fil des années. Et puis j’avais un sérieux retard sur l’éducation donnée dans les établissements scolaires moldus. Je n’avais jamais abordé ce sujet avec mes parents, qui de toute manière préféraient ne pas savoir les détails de ma vie dans le monde sorcier. Alors si je leur expliquais la situation, ils prendraient certainement peur et ne me laisseraient plus quitter la maison. En revanche, si je ne disais rien… L’été s’écoula avant que je ne me décide et du coup, je fis mon retour à l’école.

Les deux années qui suivirent étaient drôlement calmes malgré la situation du monde sorcier. Je voyais l’inquiétude se lire sur le visage d’Alexiel, bien qu’elle tentait de rester aussi optimiste et joyeuse qu’elle l’avait toujours été. La perte de notre Directeur fut un choc en fin de notre cinquième année et je fus bien plus touché que je ne l’aurais cru. Je n’avais jamais côtoyé le Professeur Dumbledore, signe que malgré mes bêtises, je n’avais jamais commis d’erreurs graves. Mais quand même. J’avais un très grand respect pour lui. C’était un grand homme. Mais difficile de parler de mes états d’âmes à mes parents. Pour était, c’était une triste perte certes, mais rien de plus qu’un simple événement mineur dans leur vie. Décidément, plus je grandissais et plus je détestais être coupé entre les deux mondes. Et puis, il y eut cette terrible attaque de Poudlard en mai de ma sixième année. Aux côtés d’Alexiel, je me suis battu. Nous nous protégions l’un – l’autre et ce ne fut pas une mince affaire. Quand tout fut fini, j’étais sacrément éprouvé, mais en même temps soulagé de m’en être sorti. C’était un peu égoïste, je sais, mais c’est pourtant la vérité. Ce fut à cette occasion que je rencontrais les parents d’Alexiel qui étaient venus, avec d’autres parents, prêter main forte à leurs progénitures et autres combattants. La reconnaissance dont ils firent preuve pour être resté à côté de leur fille pendant la bataille me fit comprendre que finalement, être sorcier ce n’était pas si mal. Quant à mes parents, j’ignore totalement de quoi ils sont au courant. S'ils savent quelque chose, ils ne m’en ont rien dit. Et ce n’est pas moi qui vais prendre le risque de leur parler de tout ça.

Je passais l’été suivant chez Alexiel et sa famille et aidait la petite Becky à préparer sa première rentrée. C’était agréable de pouvoir parler de tout ce qu’on avait vécu depuis les six dernières années sans devoir expliquer des choses qui coulent de source pour les sorciers.

Alors que nous sommes sur le point d’effectuer la dernière rentrée de notre vie et de passer le flambeau à la nouvelle génération d’élèves représenter par Becky Carpenter, vous devez vous demander ce qu’il en est de mon projet de rejoindre une équipe de Quidditch. Celle de Poufsouffle naturellement. Et bien après avoir passé ma première année à apprendre la maîtrise du vol sur balais, je passais la seconde à m’entraîner au Quidditch afin de pouvoir être prêt le jour où une place serait disponible. C’est lors de ma troisième année que l’occasion se présenta et que je tentais ma chance avec succès. Je rejoignis donc avec une certaine fierté les rangs des noirs et jaunes au poste de poursuiveur.

Cependant, c’est dans la musique que je compte évoluer en tant qu’adulte. N’étant pas très fan du fait d’être un sorcier, je ne compte pas me diriger vers un métier offert par cette particularité. Je continue de jouer de la guitare dans mes moments de tranquillités, ce qui me permet de composer mes propres chansons. Pendant les périodes de vacances, je retrouve mon ami d’enfance, le seul moldu en dehors de ma famille à connaître mon plus grand secret, et nous avons monter un petit groupe. Une fois ma dernière année finie, peut-être que nous pourrons tenter de percer.