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 I solemnly swear that i am up to no good [PV George]

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MessageSujet: I solemnly swear that i am up to no good [PV George]    I solemnly swear that i am up to no good [PV George]  EmptyMer 29 Déc - 15:07

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Fred & George

Parce que deux jumeaux valent mieux qu'un

    Home Sweet Home. Voilà deux jours que nous étions de retour au Terrier, et quand je dis nous je parle bien sûr de George & moi, afin de passer quelques jours de vacances avec notre famille. C'est que mine de rien, entre la gérance de la boutique et les missions de l'Ordre, je n'avais plus tellement le temps de voir mes parents ainsi que mes autres frères et sœur. Heureusement d'ailleurs que mon jumeau était là car le manque aurait été trop dur à supporter. Il est vrai que nous passions la quasi totalité de notre temps à les embêter lorsque nous étions avec eux, mais c'est un peu de cette manière que nous aimions leur montrer notre affection. Qui aime châtie bien non ? Certains de la famille comme Ron ou Percy vous direz sans doute que nous les aimions à la folie vu cette maxime. Ce qui n'est pas tout à fait faux à vrai dire. La palme du souffre douleur étant décerné à Percy. Ah que voulez-vous ! C'était plus fort que nous. Pour être honnête, j'adore mon grand frère mais le voir se pavaner en parfait monsieur je sais tout, prenant parfois même maman ou papa de haut me révulsait à un point inimaginable. Il faudrait peut-être un jour qu'il se rappelle que lui aussi à grandi dans cette maison où il a connu de merveilleux moments. En tous cas pour l'instant ce n'était pas gagné ; d'ailleurs il était de plus en plus rare de le voir mettre les pieds au Terrier. Sauf quand c'est le jour de son anniversaire. Alors là bien sûr il pointe le bout de son nez ! … C'est pour cela que George et moi étions revenu aux sources et je n'allais pas m'en plaindre. Maman avait réussi à le convaincre de se joindre à nous en ce jour spécial. Oh oui il allait être spécial, Percy ne serait pas près de l'oublier, croyez-moi. Cela faisait plus d'une semaine que nous réfléchissions aux moyens de rendre cette journée « inoubliable » pour tout le monde et en particulier pour notre aîné. Cela promettait d'être riche en émotions.

    L'horrible horloge bruyante de la cuisine venait de sonner 8h. Le son de cette pendule était vraiment des plus affreuse, amochée depuis des années, elle avait eu le don de réveiller n'importe quel hôte de la maison, comme chaque fois qu'Harry venait séjourner ici par exemple. Mais pour nous autres, membres de la famille Weasley, nous avions pris l'habitude de faire comme si de rien n'était, continuant à somnoler dans les bras de Morphée. Toutefois, George & moi ne vivions plus au Terrier et la cacophonie du dit objet n'était plus aussi routinier qu'auparavant. Je l'avais très vite constaté, notamment la veille en sautant littéralement de mon lit suite aux bruits. Inutile de vous préciser ô combien ce satané bidule moldu ensorcelé par notre père me donnait des envies de meurtres. Si je l'avais eu devant moi à ce moment là, il ne sonnerait pas à nouveau ce matin soyez-en certains. Quoiqu'il en soit j'avais constaté que le reste de la famille n'avait émis aucun grognement plaintif ni même ne s'était dégager de leurs rêves, et c'est de cette manière que je compris qu'elle pourrait nous être utile. En effet, elle nous permettrait de nous lever avant les autres afin de pouvoir mettre à exécution notre plan. C'était génialissime ! Moi qui pensait quelque peu m'ennuyer à cet anniversaire; voilà que je jubilais d'avance rien qu'à l'idée de voir le visage décontenancé de notre cher Percy. Tout avait été préparé hier et l'impatience se faisait de plus en plus grande.
    Après avoir été donc réveiller en fanfare, je rejetai la couverture que ma mère m'avait tricoté, comme beaucoup d'autres trucs d'ailleurs, il y a de ça bien des années et doucement sans un bruit, tel un voleur effrayé à l'idée d'être pris la main dans le sac, je me levai pour fouiller directement sous mon lit. Quelques secondes suffirent à trouver ce que je cherchai, soit l'un des bagages que j'avais apporté pour mon petit séjour ici. Je sortis alors discrètement de celui-ci plusieurs petits pétards dont George & moi avions le secret. Oui vous l'avez compris, l'idée en fait était de remplacer les bougies du gâteau d'anniversaire par ces petites merveilles. Et au moment où maman dirait « Allez Percy, souffle ! ». BOUM ! J'espère qu'il n'avait pas prévu d'aller au Ministère aujourd'hui. Bien sûr tout ceci devait rester discret pour que la mission soit un franc succès. Refermant mon sac et le rangeant à sa place d'origine, je me retournais vers mon jumeau avec un sourire espiègle aux bords des lèvres : « Prêt Georgey ? ».
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George Weasley
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MessageSujet: Re: I solemnly swear that i am up to no good [PV George]    I solemnly swear that i am up to no good [PV George]  EmptyMer 29 Déc - 16:21

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Fred and george



Cela faisait presque deux semaines, que Fred et moi n’avions plus mis les pieds au terrier. Depuis que nous possédons notre boutique, nous n’avons plus une minute à nous et les missions de l’ordre n’arrangeaient guère les choses. Si vous regardez sur le calendrier accroché au mur de la maison, on pouvait voir la tête en grand de Percy disant : c’est mon anniversaire demain, c’est mon anniversaire. Et chaque fois que je passais devant et que Percy parlait, j’avais qu’une envie qu’il se souvienne de cet anniversaire. C’était insupportable. Et il savait que demain, la voix de Percy allait résonner dans toute la maison disant le refrain : c’est mon anniversaire. George s’arrêta devant l’affiche, regarda le faux Percy, lui disant qu’on n’allait pas oublier son anniversaire, il peut en être sur. Vous vous demandez pourquoi tant de taquinerie envers Percy ? Tout simplement, parce que Fred et moi ne supportons plus, le caractère presque hautain de notre grand frère mais cela dit, nous l’adorons .Fred et moi nous sommes connus pour notre caractère farceur et taquin surtout envers Percy et Ron. Les pauvres ce sont les seuls qui en font réellement les frais. Je dirais plus Percy que Ron mais cela pourrait bien changer dans l’avenir. Plus le temps passé, plus j’avais l’impression que Percy avait oublié d’où il venait, mais ce n’est pas Fred et moi qui allons lui faire oublier cela. Mes parents avaient convaincu Percy de passer son anniversaire avec nous et puis cela faisait une occasion en plus de se voir tous ensemble. Car j’adorais passer du moment avec ma petite famille. Et c’est sans compter sur notre humour, que la journée allait être une fois de plus mémorable. Bien que je sais que cela n’allait pas faire rire Percy, ni notre mère non plus.
C’est sous un vacarme, que je me retire doucement de mon sommeil de plomb. La vieille horloge qui était dans la famille depuis des siècles, faisait un bruit énorme .Bruit que Fred et moi n’a plus l’habitude d’entendre. En effet, depuis notre départ du terrier, on avait oublié quelle calamité l’horloge faisait. Mon lit était non loin de celui de Fred qui ce dernier était debout s’étirant. Je devinais à la leur du soleil, qu’il devait être 8h. Non, enfaite, l’horloge sonnait toujours à cette heure-ci. Je maudissais l’horloge, de m’avoir extirpé de mon rêve .Je me trouvais dans les bras d’une charmante jeune fille, sur une île presque déserte, je dis presque car même dans les bras de Morphée, mon jumeau se trouvait près de moi. Je me levai doucement de mon lit pour être assis observant mon jumeau. En même temps je me disais quelle calme, enfin presque, puisque j’entendais le ronflement sourd de mon père et de Ron. C’était donc une bonne occasion de préparer le cadeau de Percy. Si Cela ne tenait qu’à moi, je l’aurais réveillé à coup de pétard ou autre cacophonie de ce genre. Mais cela pourrait se faire dans l’heure qui suit après que Fred et moi aient finit notre surprise. J’enlevais alors ma couverture et je mis debout. Mon jumeau avait trouvé l’objet qui allait faire office de bougie. Un sourire se dessina sur mon visage. La seule chose que je redoutais c’est que notre mère se lève à ce moment propice et qu’elle nous prenne en flag. Je répondis alors à ma moitié


- Toujours Fred

Nous descendons alors à pas de chat, dans la cuisine. Les escaliers craquaient légèrement à nos pas. Je m’arrêtais alors deux secondes pour bien voir si personne n’arrivait juste après nous. Je soupirai de soulagement et nous passions alors dans la cuisine. Nous passions devant le calendrier confectionnait par ma mère et la tête de Percy me fit jaillir surtout quand il commença à dire sa fameuse phrase

- Tais –toi donc. tu va l’avoir ton cadeau. un super cadeau frangin. Compte sur nous


Je regardais alors ma moitié qui tenait les fameuses bougies, je n'arrêtai pas d'avoir ce sourire presque diabolique sur mon visage mais a vrai dire c'était tellement jouissif .

- Bon Fred , comment allons- nous y prendre . tu ne peux savoir comme j'ai hâte que Percy souffle ses bougies . j'en rigole déjà

Notre but étant déjà de chercher les fameuses bougies et de les cacher afin que personne puisse les mettre, et les remplacer par celles dont Fred et moi avions concocté un truc explosif

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MessageSujet: Re: I solemnly swear that i am up to no good [PV George]    I solemnly swear that i am up to no good [PV George]  EmptyJeu 30 Déc - 0:17

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~ Méfaits accomplis ~

    Toujours prêt à faire les 400 coups avec moi, je n'avais pas tremblé une seule minute à l'idée que George puisse refuser de poursuivre notre plan. Après tout c'est en parti le sien également. Il me semblait donc naturel de l'entendre me répondre par la positif à ma question avec un immense sourire complice sur le visage. Quand nos regards se croisaient de la sorte, je me disais que rien ni personne ne pourrait vaincre cette force fusionnelle qui nous unissait depuis la naissance, voir depuis notre conception. Personne ne peut comprendre le lien qui unit une personne à son jumeau tant que l'on ne l'a pas vécut. Beaucoup de personnes sont alors souvent démunis de cette sensation et restent dans l'incompréhension la plus totale face à certains de nos agissements. Dommage pour eux car je sais une chose, ce que fait mon frère je le ferai, je lui confierai ma vie et inversement. Le plus excitant peut-être dans ce genre de relation c'est sans doute l'extraordinaire pouvoir de savoir constamment ce que l'autre va dire ou bien ce qu'il a en tête. Prison dorée pour certains, ce don s'avère parfois des plus utiles, surtout pour accomplir les pires méfaits et farces en tout genre. Aujourd'hui en était témoin.

    Enfilant rapidement un peignoir à carreaux suspendu à côté de mon lit, parce que mine de rien rester en caleçon dans le Terrier sans couverture ni rien pour se réchauffer n'était pas franchement des plus agréables, je suivis mon frère qui était déjà devant l'entrée de la chambre. A croire qu'il était encore plus pressé que moi d'accomplir notre mission. Descendant silencieusement les escaliers de la maison, telles des petites souris longeant les murs, j'entendis au passage quelques ronflements émanant des pièces collées à la notre. Sans doute Papa et Ron qui dormait d'un sommeil plus que profond. Un petit sourire nostalgique se dessina sur mon visage. Rien n'avait changé ici, absolument rien et c'était tant mieux.
    Une fois arrivée en bas j'entrais directement dans la cuisine, précédant George qui n'omit pas d'envoyer un joli commentaire à la tête mouvante de Percy sur le magnifique calendrier que maman avait confectionné pour l'occasion. Franchement il y a des fois où je me demandais pourquoi elle prenait autant de mal à faire des petites attentions pour lui. Certes c'était l'un de ses six fils et l'amour d'une mère n'a pas de prix, mais tout de même ! Elle n'était pas obligé de se saigner aux quatre veines pour monsieur, surtout en voyant comment il le lui rendait. Quoiqu'il en soit la remarque de George me fit bien rire et je ne pus m'empêcher d'émettre un petit gloussement d'accompagnement. « Oh oui tu ne vas pas être déçu ». C'est le moins que l'on puisse dire en effet ! Cet anniversaire allait être mémorable. Alors que je regardai diaboliquement les pétards que je tenais depuis le début, ma moitié les observa à son tour puis me dévisagea avec un sourire qui en disait long sur son espièglerie. Je savais exactement à quoi il pensait. Il confirma d'ailleurs mon impression en me disant la chose suivante : « Bon Fred , comment allons-nous nous y prendre ? Tu ne peux pas savoir comme j'ai hâte que Percy souffle ses bougies. J'en rigole déjà ». Oh si j'en avais une idée ! Que trop bien même ! Déposant avec précaution, on ne sait jamais, ces petites merveilles créées par nos soins sur la table en bois de la cuisine, j'adressais un clin d'œil complice à mon meilleur ami de toujours. Puis, sans un bruit, j'allais me servir dans le frigo, George ne voyant plus sans doute que mon magnifique postérieur dépassé de l'appareil. En à peines quelques secondes je vis ce qui m'intéressait et le sortit immédiatement. C'était le somptueux gâteau d'anniversaire et vu sa taille, il était difficile de le manquer. Coloré à souhait, Maman n'avait pas du tout lésiné sur la décoration. Dommage ! … Je le posais rapidement sur la table parce que mine de rien elle pesait cette pâtisserie. Fouillant dans la poche de mon peignoir écossais, je mis directement la main sur ma baguette que je n'avais pas omis de prendre avant de descendre au rez-de-chaussé. La pointant sur les fusées miniatures, j'invoquai alors un sort de transfert, inter-changeant ainsi l'apparence des pétards en bougies et inversement. Il ne restait plus qu'à les mettre sur le gâteau à la place des précédentes. Les prenant dans mes mains, je les confiai à George, histoire de lui faire partager mon moment d'euphorie. «  A toi l'honneur frérot », lui dis-je en chuchotant.
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George Weasley
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MessageSujet: Re: I solemnly swear that i am up to no good [PV George]    I solemnly swear that i am up to no good [PV George]  EmptyJeu 30 Déc - 14:42

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Tout le monde connaissait les jumeaux Weasley comme des farceurs accomplit bien qu’on ne se soit assagit depuis que nous possédons notre boutique. Mais aujourd’hui c’était Percy qui allait en faire les frais. Mais bon, au moins on ne s’ennuie pas avec nous. Puis j’avais l’impression que Ginny marchait sur nos pas et n’était pas contre quand on devait faire quelque chose pour taquiner Percy. A croire que notre cher frère nous insupporte de plus en plus. Mais bon peut être que dans l’avenir cela changera mais pour le moment, on en avait pas envie. Fred et moi avions toujours les mêmes envies. Il faut dire qu’avoir un jumeau était une chose précieuse que peu de monde connaissent. Avoir un jumeau était quelque chose de tellement beau, que je sais que je ne pourrais vivre sans lui. Vous savez avoir un frère c’est bien mais c’est encore mieux quand ce dernier est votre jumeau. Avec Fred nous avons cette connexion qui est tellement fusionnel que nous savons la plupart du temps ce que va dire l’autre ou ce que pense l’autre. Il suffit d’un regard pour savoir que mon jumeau ne va pas bien. M’enfin ce sont les mystères de la vie. Et j’en suis ravie d’en faire partie et mon autre moi aussi. Et ce matin là avec un simple regard, nous savions déjà que la journée allait être particulièrement existante. J’en avais déjà le sourire aux lèvres rien que d’y penser.

Alors que mon frère enfilait un peignoir, moi trop pressé de mettre le plan à exécution, je regrettai de ne pas avoir fait de même. L’air frais du terrier commençait à me hérisser les poils et je grelottai cinq minutes. Je pouvais remonter et prendre un haut mais je ne voulais pas tenter de réveiller tout le monde en montant les escaliers. Je pensais alors que j’avais laissé la veille ma baguette sur le coin de la table du salon, je me hissai donc jusque là pour la prendre. Je regardais la tête de Percy qui continuait à parler et je tends alors ma baguette vers le calendrier et je fis alors un sortilège pour qu’il s’arrête de gémir du moins qu’on ne l’entend pas. Déjà voir la tête de Percy c’était désagréable mais entendre sa voix c’était pire .Donc faut pas me faire cela tout en même temps, si ma mère ne voulait pas retrouver son calendrier dans la cheminée. Je suivais du regard mon jumeau qui savait très bien que faire avec ces fameux pétards. Et moi je savais très bien ce que je devais faire. Il faut dire que si j’avais été seul, je ne l’aurais pas fait car au moins on est deux dans l’histoire et on rigole mieux à deux. Avec mon jumeau nous formons une équipe et quelle équipe. Fred sortit alors du frigo le magnifique et somptueux gâteau que notre mère avait fait avec l’aide de Ginny. Pauvre Gâteau qui allait finit tout droit sur la peau de notre chère frère et surement sur les quelques vêtements des membres de la famille Weasley.
Mon cher jumeau fit alors ce qu’il avait à faire avec tellement de délicatesse qu’on dirait qu’il avait fait cela toute sa vie. Ce qui est vrai. Bien entendu, depuis qu’on avait l’âge de comprendre la magie, nous en faisons voir de tous les couleurs. Puis nous ne sommes pas née un premier avril pour rien .Notre destin était tout destiné. Ma moitié me fit alors l’immense gentillesse de me laisser continuer la manœuvre. Je tendis alors ma baguette et d’un magnifique geste je les remplace par les précédentes et le tour est joué. Je souris alors tout content de notre acte. C’est alors que le plancher d’en haut grinça, je regardais mon jumeau et je prends le gâteau afin de le remettre mais dans la vitesse, je manquai de le mettre à terre. Une fois que cette œuvre fut de nouveau à sa place, je regardais Fred, toujours prêt à continuer


- Si on faisait une blagounette à Notre cher Ron
?

Oui j’étais d’humeur farceuse ce matin là, maintenant à savoir si Fred allait me suivre ou pas. Puis j’avais déjà une petite idée de comment effrayer Ronald dans l’après midi.


|Désolé c'est pas super |

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