I have never met a woman totally.... Disturbed

Le Week-end était appréciez de tous. C'était les deux jours ou quelques un pouvaient se reposer d'autres non. Aujourd'hui j'avais décidé de ne pas aller au ministère. J'avais quand même droit à un repos quand même non? Il fallait qu'on soit là tout les jours et 24h/24, on n'avais droit à un week-end non? Tous autant que nous étions. Malheureusement bien des gens qu'il travaillent dans le monde magique ou non n'avaient pas cette possibilité de s'offrir un week-end en famille ou en solitaire comme moi. Je me trouvais chez moi assis sur mon canapé à regarder la télévision, voir même à zapper les chaînes, il n'y avais vraiment rien et le temps de dehors était un peu pourri. Il faisait bon, il y avais quelque petit éclats du rayon de soleil soit, mais vu les nuages gris qu'ils y avaient sa allait finir par tomber pas des grosses gouttes de pluies. Le vent soufflait fort aussi, alors si je voulais sortir il fallait bien que je me couvre, sinon j'allais attraper froid. Et voilà encore un week-end pourri que j'allais passé, j'espérais au moins que la semaine prochaine allait bien commencer. Je mit mes mains sur ma figure et la frotta, il n'y avais rien à télévision et le désespoir était monté à la tête. Quand soudain ! le téléphone se mit à sonner. Mon réflexe le plus simple était de l'attraper et de décrocher: «  - Allô? » dit-je d'une voix un peu fatigué. Je remarqua que de l'autre côté de la ligne téléphonique c'était le voix d'une femme, mais qu'elle femme pouvais bien avoir mon numéro de téléphone? « - Allô Ashton? C'est t'a mère ! ». Quand j'avais entendu le mot «  c'est ta mère » je me mit à sourire. Cela faisait bien longtemps qu'elle ne m'avais pas téléphoner et moi non plus d'ailleurs. Très vite je lui répondit: « Maman ! Comment tu vas? ». Le réflexe de la vielle femme était de répondre à mes questions cela venait de soit « Je vais très bien et toi mon garçon? ». L'entendre me faisait vraiment du bien et à elle aussi je pense: « Je vais bien aussi, mise à part que mon week-end est un peu pourri mais je vais bien c'est le principale. ». J'entendis un léger souffle de la part de ma mère, je ne pouvais demander que ce passait-il: « Pourquoi un petit léger souffle? » Ma mère me répondit avec une petite voix faible « Je suis très malade mon chéri, mais ne t'en fait pas pour moi. » Puis elle rajouta avant de raccrocher « Sache que je t'aime mon chéri et que quoi qu'il arrive je penserais toujours à toi ». Je voulus alors lui répondre mais je ne pouvais qu'entendre un petit « beep » signe qu'elle avais déjà raccrocher. Elle était donc malade, mais elle ne m'avais pas dit de qu'elle maladie elle était atteinte. Je ne voulais pas la perdre et elle le savais. Il ne me restait plus qu'elle comme membre de ma famille. Étant donné que mon père était mot quand j'étais encore un petit garçon, il était normale que je ne voulais pas perdre une autre personne qui m'ait très fier.

Je reposa le téléphone à sa place puis je sentit quelques larmes couler sur ma joue. Non des larmes de joies, mais des vrais larmes. Qu'est ce que j'allais bien pouvoir faire si ma mère mourrait? Ma vie se serrais finit comme ça d'un seul coup... Si les gens se mettait à ma place qu'est ce qu'ils en penseraient? Qu'est ce qu'ils feraient? Je n'en savais rien, mais il était hors de questions qu'elle meurt d'une putain de maladie de merde que je ne savais pas le nom puisqu'elle ne me l'avais pas dit. Elle aurais pu au moins me dire qu'elle avait été voir le docteur et qu'elle prenait des médicaments, mais rien de tout ça. Alors, pour me changer les idée, j'avais décidé d'aller me promener dans les Quartiers des Moldus. J'enfilai mes vêtements mis mon manteau long et noir éteignit toute les lumière et ferma tout derrière moi en partant. Tête basse et désespoir, je me dirigea n'important où dans c'est quartier pourri de Londres. Les moldu me regardait d'une drôle de tête que j'avais envie de lancer un sort sur eux tellement j'étais comme un « inconnu », un étranger... Mais je n'en n'étais pas un. Quoique si on prenait ma vie de sorcier si j'en était un, mais pas vraiment de différences. Puis j'entendis une voix familière au loin. C'était celle de June W. Steward. Mais qu'est ce qu'elle foutait ici cella-là? Elle n'avais rien d'autre à faire que de venir à Londres, alors je m' empressa de passer devant elle, mais la tête basse pour ne pas qu'elle me reconnaisse, mais la tentation était plus forte qu'elle, qu'elle me reconnu sans la moindre hésitation. Toujours aussi charmante celle-là, mais totalement dérangée. Je ne voulais pas lui parler, et qui le voudrais? Alors je continuais mon chemin sans me retourner, mais cette petite garce me suivait où que j'aille. On aurait dit un petit toutou suivre son maire.