new & pure hiboux : 19
maison : Il serait chez les Serpentard s'il était un sorcier
house points : 71
localisation : Londres
multicomptes : Luna Lovegood
 |  Sujet: Dudley Dursley - Au fond, j'ai toujours voulu être un super héros. Dim 25 Fév - 11:57 | |
|
 
Dudley Dursley
❝ Au fond, j'ai toujours voulu être un super héros. ❞
› nom : Dursley › prénom : Dudley › âge : 18 ans › lieu de naissance : Little Whinging, Surrey › métier/année à poudlard : Vendeur dans une boutique de Geek à deux pas du Chemin de Traverse › maison à poudlard : Il serait surement chez les Serpentard › baguette : Il vend pas mal de de chose : sabre laser, le bâton de Loki, l'excalibur, l'épée de Cloud › sang : B+ › patronus : S'il était sorcier il ne serait clairement pas assez heureux pour en produire, mais à choisir, ça serait un papillon symbole de renaissance, de renouveau, un nouveau départ, libérer de ses "peurs". (on y pas encore) › épouvantard : Un détraqueur. Bien qu'il ne sait pas à quoi ça ressemble, il l'imagine comme un être invisible noir, il ressent comme une sensation de froid extrême parcourir tout son corps et il sent tout bonheur s'évanouir. › situation amoureuse : Célibataire, il estime qu'il doit être seul que d'être avec quelqu'un › orientation sexuelle : Il se dit être hétéro par défaut. › traits de caractère : Ecris plus bas › groupe : Moldus › avatar : Harry Meilling
remembrall
Dudley n'aime pas son prénom ʚɞ Après son baiser avec un détraqueur, il a changé de tout au tout, il doit encore apprendre à se connaître ʚɞ Il est terrifié à l'idée de recroiser Harry parce qu'il s'en veut énormément ʚɞ Il a trouvé refuge dans les bandes dessinées, les mangas et les jeux vidéo comme pour se rapprocher et comprendre inconsciemment son cousin ʚɞ Il fait souvent des cauchemars dans lesquels il a froid ou il sent tout bonheur s'évaporer en lui ʚɞ Il a vu ce qu'il était clairement, il a horreur du monstre qu'il a été ʚɞ Il est en froid avec ses parents pour l'instant ʚɞ Après son déménagement du 4 privet drive, il a cessé de parler, et s'est renfermé. ʚɞ être vendeur dans une boutique geek est sa plus grande réussite dont il est fier, il a réussi à tenir tête à son père. ʚɞ Il a revu toute son alimentation, il ne veut plus être associé à un cochon ʚɞ Il a pris l'habitude de faire un footing après le travail quelle que soit l'heure ʚɞ Il s'interroge toujours de ce "Cedric" quand Harry a hurlé dans son sommeil les nuits de sa cinquième année. ʚɞ C'est au moment de ce déménagement précipité qu'il a compris les dangers réels que court Harry ces cris de « ne tue pas Cédric » lui reviennent en tête. ʚɞ Il est agoraphobe ʚɞ Anxiété sociale ʚɞ Il est devenu extrêmement timide de peur de blesser son interlocuteur ʚɞ Il souffre de trouble de comportement alimentaire ʚɞ Si grosse crise angoisse, il a besoin irrépressible de manger, mais il regrette aussitôt ʚɞ Il joue un peu de la guitare acoustique et il chante bien ʚɞ Toujours partant pour des longues séances de donjon et dragon en cosplay ʚɞ ... Cocasse, son personnage est un sorcier de niveau 32 manipulant le feu et la glace. ʚɞ Il est cancer ascendant poisson ʚɞ Il est typiquement le cliché moldu ayant grandi avec un sorcier, qui sera toujours plus ou moins lié avec le monde de la magie. ʚɞ Il a découvert cette année des convetions geek, médiévales-fantastique.TW : dépression, séance chez le psy, dénigrement de soi, mention de maltraitance infantile, relations parentales conflictuelles, harcèlement scolaire, grossophobie, TCA. Séance de psy le 18 mars 1997.
- Bonjour Dudley, comment te sens-tu, aujourd'hui ? Dit d'un ton doucereuse la psychologue Betty Cooper. Une femme dans la quarantaine, fine, aux cheveux brun d'une teinture un peu mal faite qui la rendait un peu négligée.
Dudley se rongea le bout de peau de son pouce, en proie d'une angoisse imminente à faire trembler sa jambe sous l'effet du stress. Depuis que son nouveau lycée a demandé à ses parents à ce que Dudley voit un psy pour gérer sa gestion de colère, Dudley s'est renfermé encore plus. En fait, il a arrêté de parler depuis qu'il est monté dans la voiture pour fuir ce "Voldemort", il ne parle pas avec ses parents alors pourquoi il devrait parler avec une inconnue. Il croisa les bras, geste corporel inconscient signifiant qu'il refuse le contact, ce que la psy marqua sur son bloc note. Personne ne pourrait le comprendre, personne sauf les gens comme... son cousin.
-Je vais bien. Souffla-t-il.
La femme soupira, elle n'était pas dupe, elle connaissait que trop bien le dossier Dursley. L'enfant terrible, aux notes catastrophiques et terreur de son ancien lycée, elle avait vu ses parents comprenant à peu près d'où venait cette colère, mais il lui manque un morceau du puzzle pour comprendre parfaitement la psyché de ce jeune homme en pleine crise d'adolescence. Elle se leva et se dirigea vers la bouilloire, rien qu'un thé pour créer un semblant d'intimité et délier un peu les langues ; "Il fait encore terriblement froid pour un mois de mars, tu ne trouves pas ?" Dudley émit un petit grognement. La femme de quarante ans revient avec deux tasses brûlantes, il la vit sortie de son sac à main, une flasque qu'elle ouvra et bois un peu de son contenant. Une psy qui boit de l'alcool pendant une séance et devant un patient ? Voyant l'expression dubitative de Dudley, elle fit un petit sourire.
- Alors, je sais ce que tu penses, mais ce n'est pas de l'alcool. J'ai perdu ma gourde et dû prendre la flasque de mon mari. Tient, boit un peu de thé, ça te fera du bien.
Dudley était encore plus méfiant, mais il se laissa par se convaincre par l'odeur du thé. Il y trempa un peu ses lèvres et une sensation de bien-être s'installa dans tout son corps, il a comme une envie soudaine de répondre à des questions ; n'importe lesquelles.
- Et si tu me racontais ton enfance ? Tu es si triste et en même si en colère, je ne pense pas que l'école, tes parents soit la cause de ses souffrances, je me trompe ?
Quand il pensait à n'importe lesquelles, cela n'incluait pas son passé, son enfance, et Harry. Il se mordit la lèvre inférieure, lutant contre une envie incontrôlée ou une pulsion de dire la vérité coûte que coûte, il se mit enfin à parler.
- Je peux tout vous raconter mais… cette histoire est aussi invraisemblable, ce n’est pas grave si vous ne me croyez pas, je ne demande pas être cru, de toute manière. Mes parents ont battu, humilié et séquestré mon cousin durant onze ans de sa vie et j'ai participé à ce lynchage en pensant que mes parents avaient eu raison de le faire.
Dudley détourna le regard vers le sol à la moquette douteuse.
- Il… Mon Cousin… il est spécial. Je veux dire dans le sens “du bizarre”, de l’étrangeté, il n’est pas comme vous et moi… Je veux dire que tous les événements qui se passent comme anormal, c'était sa faute. C’était flagrant quand on était petits, surtout quand il avait peur, j’ai remarqué. Il est venu vivre chez nous quand on avait un an, ses parents sont morts dans un accident de voiture, c’est la version qu’on donne à tout le monde. C’est quelqu’un d’autre qui les ont tués, je ne comprends pas encore qui, et pourquoi il a fait ça, mais c’est assez pour dire que c’était assez grave pour que mon cousin vienne vivre chez nous. Avant, j’ai longtemps pensé qu’il l’est avait tué à cause de sa particularité bizarre. C'est une des raisons de pourquoi j’avais peur de mon cousin.
Il se triturait les bouts de peaux de ses ongles, revenant pas les propos qui sortaient de sa bouche.
- Remontons dans le temps, quel souvenir le plus ancien que tu as de ton cousin ?
- Le souvenir le plus vieux qui vient en mémoire, c'est quand il était dans son berceau, il avait tendu le bras et la caisse à jouet… Vous allez me prendre pour un fou, mais c’est totalement véridique. Il… La caisse à jouet s’est trainée jusqu’à lui.
- Est-ce-que tu as eu peur ? Tu te sentais comment quand ton cousin à fait ça ?
- Je ne sais pas, je sais que maman avait crié d’effroi, je crois que ma mère m’a transmis sa peur et sa haine de tout ce qui n’était pas “normal” à ses yeux. De plus en plus, mes parents m’ont plus ou moins éloigné de mon cousin, banalisant la violence physique. De toute façon, maman ne disait rien, elle tournait le dos, je pouvais faire ce que je voulais tant que mon cousin ne faisait pas ou ne disait pas des choses bizarres. Le plus compliqué, c'était l’école, je m’assurais qu’il ne parlait ou ne devenait amis avec lui, parce que ; c’était le cousin bizarre de Dudley. J’ai entraîné un maximum de personne dans un jeu que j’ai inventé ; la chasse.
Les souvenirs remontent, il voudrait arrêter de parler, de partir loin, mais la psychologue se faisait insistant par le regard, lui posant des questions totalement déplacées pour le mettre mal à l’aise, elle l’insistait pour qu’il boive un peu de son thé. Le thé enivrant, il n’a jamais trop aimé le thé, voir pas du tout, mais ce thé-là avait un effet relaxant.
- Il s’en sortait presque toujours, sauf une fois où il s’est retrouvé sur le toit de l’école. Il avait disparu d’un coup, on ne comprenait pas et par ma faute, il s’est fait punir. Inconsciemment, j’avais l’impression que je le punissais de vivre et plus mes parents me gâtait en jouet, en nourriture ; je n’avais juste qu’à le blesser pour que je sois récompensé.
Cooper nota frénétiquement sur son carnet, laissant Dudley essuyer ses larmes qui commençaient à couler. Du thé… Il lui faut du thé.
- Non. Je ne suis pas doué pour cela. Je n’avais pas conscience qu’il souffrait, j’étais à des kilomètres de mettre des mots sur mes émotions, alors celui des autres… je comblais un vide en me jetant sur la nourriture, et je détruisais tout sur mon passage parce que ça me faisait du bien sur le coup. Plus il grandissait et plus, j’avais l’impression qu’il avait du mal à contenir ses bizarreries, mais le jour de ses onze ans, il a reçu une lettre… non des tonnes de lettres pour qu’il aille dans une école où il y a des gens qui ont aussi des particularités. Mes parents avaient refusé qu’il y aille, moi, je n’avais juste envie qu’il y aille parce que je n’aurais plus à le surveiller comme ça. Pour brouiller pistes, je disais la version de mon père ; mon cousin est si instable qu’il est dans un centre d’éducation pour jeunes délinquants de St Brutus. Je pensais que s’il y allait, il ne reviendrait plus, mais tous les étés, il revenait et j’étais frustré de le voir rentrer avec son hibou. Je ne crois pas que l’école lui a fait du bien, les années passèrent, il rentrait un peu… déprimé, triste et surtout tout aussi en colère que moi.
- Tu n’as jamais essayé de lui parler ?
- Non. Je ne suis pas doué pour cela. Je n’avais pas conscience qu’il souffrait, j’étais à des kilomètres de mettre des mots sur mes émotions, alors celui des autres… je comblais un vide en me jetant sur la nourriture, et je détruisais tout sur mon passage parce que ça me faisait du bien sur le coup.
- Au collège et le lycée, n’ont rien changé ?
- Non, rien. J’étais à la tête d’une bande de voyous que j’ai moi-même créé, la Bande de Dudley, on m’appelait Big D. Je croyais qu’en écrasant les autres comme je l’ai fait avec mon cousin, on me craignait, je m’en fichais des sentiments des autres tant qu’on me respectait et qu’on avait peur de moi. Je me sentais puissant et bien supérieur, c’est bien pour ça que je me suis inscrit à la boxe, pour renforcer ce sentiment de domination.
- Qu’est-ce-qui a déclenché ce “déclic” qui a fait prendre conscience de ton comportement ?
- C’était il y a deux ans. Après avoir quitté ma bande, mon cousin m’avait rejoint pour qu’on rentre, quelque chose n’allait pas… Le ciel est devenu tout noir, les réverbères et il n’y avait plus aucun bruit. Je me souviens d’un froid mordant, pénétrant. Je n’avais jamais ressenti une peur pareille, sous la panique, j’essayais de fuir malgré les protestations de mon cousin. Quelque chose, cette chose, elle m’avait fait quelque chose… Comme ci, je sentais tout bonheur s’évanouir, il m’a montré ce que j’étais réellement ; une brute épaisse, un monstre qui rit des malheurs des autres. Sa jambe tressaute, un stress et une angoisse qui lui prit les tripes. Je n'avais pas conscience de la portée de mes actes, les blessures que je pouvais infliger aux autres, infliger à lui... Je pensais que c'était normal pour tout le monde. Je regrette tout cela, je ne veux plus être comme ça, vous me comprenez ? Il... Il m'a sauvé la vie. Je ne sais pas comment, mais je me suis senti d'un coup très bien. Suite à cela, il est reparti dans son école et j’ai dissous cette bande, j’ai tourné le dos à ce que je croyais être mes amis. Ce changement de comportement, ma rédemption m’a valu une réputation de lâcheté, de nul, ils ne comprennent pas alors, ils se sont acharnés sur moi pensant que je les trahis. J'ai préféré qu’ils s'en prennent à moi qu’aux autres, comme ci, je payais toutes les fois où j’étais mauvais, alors j’ai enduré et encaissé. Et il fallait qu’on déménage, parce que des personnes voulaient s’en prendre à mon cousin, j’ai réussi à me faire pardonner, mais je ne suis pas sûr qu’il est compris comme ça…
- Tu es toujours en contact avec Harry ? Tu pourrais me dire où il habite en ce moment, non ?
- Non, je n’ai plus contact avec lui après notre démé… attendez une minute ! Je ne vous ai jamais dit son prénom ! Comment vous… ?
Dudley se leva rapidement du fauteuil, comprenant que sa psychologue n’était pas celle que d’habitude. Elle était étrange depuis le début de l’heure, et jamais, elle ne lui avait proposé une tasse de thé… puisque qu’elle ne buvait que du cappuccino. Le Docteur Cooper sorti sa baguette de sa manche avec un sourire terrifiant, Dudley tomba à terre sur les fesses, merde ils les ont retrouvés ! Elle s’approcha de lui, reprenant peu à peu sa véritable forme. Un homme. Il lui agrippa les cheveux, la baguette sous le cou.
- Où se trouve Harry Potter ?
L’effet du véritasérum se dissipa, Dudley avait compris que son thé avait été magiquement “empoisonné”.
- J-Je n-ne s-sais pas…
Soudain, Hestia Jones, une des membres de l’Ordre du Phoenix, arriva dans un “crac” sonore d’un transplanage.
- Experliarmus !
La baguette du mangemort s’extirpa de sa main, sous l’effet de la surprise, il lâcha Dudley qui s’enfuit derrière Hestia qui lui demanda de se cacher. Une lutte acharnée se fit dans le bureau entre Hestia et ce mangemort, ça lui a paru une éternité avant que le mangemort prenne la fuite voyant qu’il n’arrivait pas à maitriser l’auror.
- Dudley, tu vas bien ? Tu n’as rien de cassé ?
- Ça va… juste un peu chamboulé.
Il sortit de sa cachette, un peu tremblant sous le coup de l’émotion.
- Il… m’a fait boire un thé et j’ai… parlé des choses, comme ci j'étais ou.
- Tu ne lui a pas dit où se trouvé Harry ?
- Non… puisque je ne sais pas où il se trouve, je te le promets, Hestia. Je ne sais vraiment pas où il se trouve.
- Je te crois.
Inutile de rajouter de l’angoisse à ce jeune homme que s’il savait où se trouvait Harry à cause du véritaserum, il aurait livré son cousin tout droit à Voldemort. Après cet événement, il était clair qu'il fallait encore déménager pour trouver une autre cachette en redoublant de vigilance. Dudley a compris quel genre de danger que son cousin faisait face depuis ses onze ans, devenant malgré lui, un héros.
Et maintenant ?
Dudley avait repris le cours de sa vie en début du mois de mai 1998, il avait appris grâce à Hestia et Dedalus que la guerre était finie, que Lord Machin Truc était vaincu et que Harry avait enfin triomphé de l’assassin de ses parents. Fini le temps où il devait encore se cacher avec sa famille, changeant d’identité et d’environnement, fini de vivre dans l'angoisse d'être retrouvé. Ce qu’il va lui manquer, c'était la présence d’Hestia Jones avec qu’il s’était lié plus ou moins d’amitié avec elle, ils ont gardé contact, et de temps en temps, il reçoit une lettre de ses nouvelles en hibou.
Ses parents ont décidé de revivre à Privet Drive, lui, il ne voulait pas y remettre les pieds. Revenir à Privet Drive c’est de se confronter au passé, c’était le petit porcelet qui vivait là-bas, maintenant sa vie était à Londres, et il était bien plus proche de son travail. Il avait refusé de retourner au lycée, il se sentait bien dans cette boutique de Geek et il fut employé à temps plein, bien que son manager avait été réticent de le garder au vu de ses nombreuses absences, mais comme il avait une bonne culture geek et qu’il savait vendre, ils l’ont gardé. Il a pu se louer un petit appartement, il a pu passer son permis, maintenant sa vie se résume ; métro, boulot, dodo. Une vie totalement ordinaire, ennuyante, fade, sans se rendre compte qu’il allait, une fois de plus, laisser la magie, la vraie, rentrer une nouvelle fois dans sa vie.
- informations sur le joueur:
› pseudo/prénom : Toujours Ciel › âge : Toujours 31 ans › type de personnage : scénario › comment avez-vous connu le forum ? On m'a corrompu avec Luna, et je vois quoi ??? groupe "Moldu" › un dernier mot ? Je voulais tellement jouer dudley dans un arc de rédemption, tout son cheminement pour devenir quelqu'un de meilleur  Harry prépare tes feels 
Dernière édition par Dudley Dursley le Lun 26 Fév - 8:36, édité 3 fois |
|
Accueil 
Calendrier 
Rechercher 
Membres 
Groupes 
S'enregistrer 
Connexion 
trop hâte de lire ta fiche 
