Who are you?
✗ nomWaldmore.
✗ prénoms Jackson, Henry.
✗ âge/date de naissance 25 ans. 12 Juin 1972.
✗ maison à poudlard Gryffondor.
✗ groupe Loup Garou.
✗ profession Actuellement au chômage.
✗ statut civil Célibataire.
✗ patronus Un Loupiot.
✗ épouvantard L'horreur des autres face à son côté animal.
✗ baguette 19,6 cm. Ventricule de coeur de dragon. Plume de Phoenix.
✗ sang Sang mêlé.
✗ particularités Loup Garou.
✗ avatar Tyler Hoechlin.
✗ scénario Je ne sais pas trop... Un peu peut-être
What do you think?
✗ Que pensez-vous de la notion de sang-pur? C'est une bêtise. La pseudo pureté du sang n'a jamais rendu quelqu'un meilleur, et encore moins supérieur. L'animal peut-être supérieur à l'être humain, mais aucun être humain ne peut-être supérieur à un autre. Ne dit-on pas que l'homme est un loup pour l'homme? Sans doute à cause de ces idées de supériorité de l'un d'entre eux sur l'autre. Mais le loup sera toujours plus fort que l'homme. Et face à lui, la pureté du sang pèsera bien peu dans la balance.
✗ De quel côté vous placez-vous dans cette guerre? Du côté où on m'offrira le plus et où on acceptera la présence du grand méchant loup. Il ne faut pas croire que les black ont le monopole de la discrimination. Chez les sorciers, les loups garous ne sont pas beaucoup mieux lotis. Alors si on fini par m'accepter quelque part tout en me laissant ma liberté, j'accepterais sans doute de rejoindre le camp. Mais ne vous y trompez pas, personne ne donnera jamais d'ordre au grand méchant loup...
✗ Si vous aviez pu choisir votre maison à Poudlard, laquelle auriez vous prise? J'en sais trop rien. On nous laisse pas vraiment le choix quand on arrive. Gryffondor me plaisait bien. Les gens étaient un peu tête brulé et l'ambiance y était bonne. Mais les filles y étaient moins jolies qu'à Serdaigle et les mecs plus hétéros qu'à Poufsouffle. Je crois que ce vieux chapeau avait quand même bien sentit le truc. Finalement, c'était là que je me suis sentit le mieux. Et puis à l'époque, on ne criait pas vraiment au loup en me voyant.
What happened to you?
" Maman? Tu crois que je suis normal?"" Bien sûr que oui chéri! "Combien de fois ces phrases avaient été échangées entre le fils et sa mère? Des dizaines et des centaines de fois. Mais elles n'avaient à l'époque que peu de sens. Pourtant, Jackson s'était toujours sentit différent, et cela n'était pas uniquement dû aux origines sorcières qu'il devait à son père. Jackson savait qu'un jour, il serait différent. La vérité sort toujours de la bouche des enfants.
L'enfance est une période particulièrement cruelle. Les enfants ne savent pas qu'ils peuvent être méchant avec les autres. Ils ne réalisent pas à quel point certain mots peuvent faire mal. Malgré un visage d'ange pour un enfant, je redoutais particulièrement le moment de la récréation. Je jouais très souvent avec les autres enfants, mais ces derniers trouvaient toujours le moyen de faire des remarques qui me faisait du mal.
" J'ai pas envie de jouer je te dis. "" T'es comme les filles! Tu veux jamais jouer! "" Tais toi! Jsuis pas comme une fille! " C'est sans doute ce qui m'a mené à devenir plus viril, plus direct, et sans doute beaucoup moins délicat. Enfant, j'étais d'une nature bien trop calme pour que l'on me respecte. En grandissant, je suis devenu plus sûr de moi, et surtout j'ai appris à régler mes comptes par moi même. L'abruti qui me traitait toujours de fillette s'appelait Julian Floor et il était sans doute la personne que je détestais, à l'époque, le plus au monde. Les enfants sont capables de haïr, d'une intensité particulièrement surprenante. Un cœur innocent d'enfant, n'est pas pour autant un cœur rempli que d'amour. Heureusement, à l'époque, ma mère s'occupait de me protéger du regard des autres, et mon père s'occupait alors de subvenir à nos besoins, même s'il n'était pas toujours assez présent. C'était sa façon de m'aimer j'imagine. Même si, encore aujourd'hui, je n'ai jamais entendu mon père me dire qu'il m'aimait. On ne montre pas facilement ses sentiments quand on est un homme. C'est ce qu'il m'a toujours dit quand j'étais encore un enfant.
" Maman? J'ai reçu une lettre! " Quel ne fut pas la fierté de mon père quand il vit que l'enveloppe que je tenais, moi, son fils, était une lettre de la célèbre académie de sorcellerie britannique: Poudlard.
" Félicitation mon fils. Tu es officiellement reconnu comme sorcier... " Cette phrase n'était pas une maigre preuve de l'amour que me portait mon père. Je ne comprenais pas bien pourquoi ma nature de sorcière était plus officielle maintenant que lorsque mes pouvoirs s'était déclaré quand j'avais huit ans et que j'avais brisé l'ampoule de ma salle de classe suite à une grosse colère, mais mon père était fier de moi, et cela me rendait particulièrement heureux. Ma mère m'aimait et me regardait, les yeux pleins de larmes d'émotions et mon père était fier de moi, et me regardait avec cette fierté dans le regard. Ce jour, fut l'un des jours les plus heureux de ma vie. L'un de mes plus beaux souvenirs.
" Merci Papa... " Poudlard était une école impressionnante pour l'enfant que j'étais quand j'avais onze ans. Un immense château, plein de magie et envoutant en un regard les futurs élèves qui y faisaient leur entrées. Alors que je montais dans les canots qui menaient à l'école, j'observais les gens qui seraient mes camarades durant de longues années.
Bientôt nous firent notre entrée dans la Grande Salle. Les élèves étaient déjà attablés et je regardais ces immenses tables. Les nouveaux passaient alors un par un sous le vieux chapeau qu'on appelait le choixpeau. Celui-ci nous répartissait dans les différentes maisons. Gryffondor, Serpentard, Serdaigle et Poufsouffle. Mon tour fut long à venir. Waldmore n'était pas vraiment en tête des listes alphabétique. Mais je vins finalement m'assoir sur ce tabouret et la voix du choixpeau résonna bientôt:
" Gryffondor! " Je fus quelque peu soulagé d'entendre cette maison. Les élèves y avaient l'air sympathique, et surtout, c'était la même maison que celle dans laquelle mon père avait fait ses études. Il serait peut-être un peu plus fier de moi, fier que je sois son fils.
Mes études commencèrent donc dans cette grande maison qu'était celle de Godric Gryffondor. Mes résultats, sans être excessivement brillants était plutôt bons, et j'appréciais l'ambiance qui régnait dans la Salle Commune des Gryffondor. Les jours passaient donc paisiblement dans cette maison, pour moi en tout cas. Je suivais certains cours avec plus d'attention que d'autres, mais mes notes en restaient malgré tout bonnes. Alors que j'étais en troisième année, ma sœur rejoignit cette école, elle aussi chez les Gryffondor. Camelia était une jeune brunette au caractère bien trempé et je l'aimais tout particulièrement. Les années passaient donc, et j'avais une petite amie chez les Serdaigle, une créature au corps de rêve, un peu plus âgée que moi. Lucia, belle jeune fille latina.
Quelques jours avant les vacances de Noël, lors de ma cinquième année, je rencontrais un jeune homme quelque peu fascinant. Son prénom était Wyatt. Je l'avais rencontré par l'intermédiaire de Camélia qui avait un dans de moins que lui. Ce gamin avait quelque chose de fascinant, mais je me sentais parfois mal à l'aise en sa présence. Comme s'il avait le pouvoir de me rendre aussi transparent que de l'eau. Le contact fut rompu entre nous, aussi vite qu'il avait été établi. Mais son regard... Je n'oublierais jamais son regard je pense. Il avait quelque chose de tellement ... Vrai.
Mes études se terminèrent donc deux ans plus tard, alors que ma relation avec Lucia s'était terminé 4 mois après avoir commencé. Je n'étais pas du genre à passer du temps avec une fille. Pas trop de temps en tout cas. Mes résultats aux ASPIC furent plutôt bons, même s'ils auraient sans doute pu être meilleurs. Je laissais Camelia à Poudlard à regret. J'espérais qu'elle parviendrait à se débrouiller sans moi, et qu'elle ne se laisserait pas avoir par tous ces mecs qui la dévoraient des yeux et espérait la dévorer autrement. Au sens propre, comme au figuré.
La suite de ma vie se compliquerait assez rapidement... La vie n'est jamais aussi simple qu'on ne le pense quand ne nous sommes que des enfants n'est-ce pas?
Après Poudlard, la décision avait été prise, je voulais travailler au Département des Sports de Ministère. Le quiditch était l'une de mes passions et le sport avait quelque chose de particulièrement viril aux yeux des autres, alors ce serait parfait. Mais alors que je commençais à m'intéresser aux concours pour entrer au Ministère, ma vie bascula brutalement. Sans doute un peu trop brutalement.
Un soir des grandes vacances, alors que j'avais passé la soirée avec Camélia et son petit ami du moment, je rentrais seul, direction mon appartement en plein cœur du Londres sorcier. Je marchais d'un pas rapide et décidé, sans un regard derrière moi. J'avais l'impression d'entendre du bruit dans mon dos. Je me retournais, mais rien ne semblait pouvoir être menaçant pour moi. Un bruit causé par un chat de gouttière sans doute. Je continuais ma progression, mais bientôt, quelque chose commença à me poursuivre. Je me mettais à courir, alors que j'apercevais dans le reflet d'une vite, le danger qui me poursuivait. Il ne me restait qu'un espoir. Atteindre mon appartement plus vite que cette bête et m'y réfugier en espérant que la porte sois solide. Peine perdue. Le loup sera toujours supérieur à l'homme, et le loup garou vint finalement planter ses crocs dans ma gorge. Il m'aurait sûrement tué si des gens du Ministère n'étaient as intervenus. Ils poursuivaient sans doute la bète depuis le début... Ils m'emmenèrent à Ste Mangouste. Il était trop tard. J'étais devenu, et je serais pour toujours, un loup garou.
Après une période à haïr ce que j'étais devenu, j'ai appris à apprécier le loup qui est en moi. Du moins à l'accepter. A chaque pleine lune, la transformation s'effectue alors et je m'arrange pour être dans des endroits peu fréquentés. Mais le loup me prends parfois un peu trop vite, et alors l'instinct animal prends le dessus, pour venir croquer la gorge des agneaux égarés. Je ne me déteste plus. Je ne peux rien contre ces meurtres... Le dernier en date fut même un peu moins désagréable. Le mort n'était autre que Julian Floor... Le problème, c'est que quelqu'un m'a vu tué cet homme... Je ne sais ni quel est son nom, ni son prénom, mais le visage que j'ai aperçu m'a rappelé quelqu'un. Impossible de mettre un nom là dessus. Mais je dois l'empêcher de parler. Je serais victime de beaucoup d'ennui si quelqu'un venait à découvrir que j'avais parfois du mal à gérer l'animal en moi...
Les seules personnes ignorant ma nouvelle nature sont Camelia, son petit ami, ma mère, et mon père. Je refuse qu'ils aient peur de moi...