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 Days happen themselves in perfect harmony...

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MessageSujet: Days happen themselves in perfect harmony...   Days happen themselves in perfect harmony... EmptyVen 23 Juil - 17:49

Days happen themselves in perfect harmony... 100723053243118344 && Days happen themselves in perfect harmony... 100723053916672439
Isabella C. et Matthieu L.

In Perfect Harmony

    « Viens guider mes pas vers la tombe
    Où ton rayon s’est abaissé,
    Où chaque soir mon genou tombe,
    Sur un saint nom presque effacé.
    Mais quoi ! La pierre le repousse !
    Un léger souffle a murmuré ;
    Mon œil se trouble, je chancelle :
    Non, non, ce n’est plus toi ; c’est elle
    Dont le regard m’a pénétré »


    Je fus saisie un instant, je tremblais lorsque je sentis le contact frôler ma conscience puis un moment de vacillement entre deux mondes, et nos deux esprits furent reliés. Qu’il était à présent plus facile de pouvoir trouver sa trace dans mon esprit… Et chaque fois de nouveau c’était une paix étrange et tranquille qui ne cessait de m’envahir. Alors, je voyais devant mes yeux nos deux existences se lier … Jusqu’à ne plus faire qu’un. Je n’étais plus seulement Isabella, mais mon esprit était étroitement lié à celui du loup et alors, de nouveau, nous nous lions davantage… Je sentis la peau me picoter ; comme s’il se passait quelque chose dans mon métabolisme et quelques secondes plus tard, je comprenais que la métamorphose avait commencé … En Animagi, je pouvais ensuite courir jusqu’au bout de la nuit sans plus aucune pensées ou arrières pensées qui auraient venir gâcher tout cela. Cette vie était tellement plus simple. Courir, manger, … dormir… Ne plus vivre qu’au moment présent. Il n’y avait plus de futur. Plus de passé. Mais bien trop de choses me rattachaient au présent ; à mon présent d’humaine et je ne pouvais abandonner la partie de moi, humaine, qui ne voulait pas quitter « cet autre monde » dans lequel j’étais née… Pourtant, que j’aimais être louve… Que j’aimais toutes les sensations auxquelles l’existence de loup était liée. Que j’aimais cette vie que j’avais vu au tout début par le seul regard du loup qui avait souhaité me faire partager tout ceci… Qu’il en avait fallu du temps pour que cette connexion entre nos deux esprits se fasse, et que nous soyons liés à cela…

    ***
    Le lendemain matin, j’étais bel et bien réveillée, en plein forme. Je n’avais jamais parut aussi vivante d’ailleurs que ces derniers temps. J’avais l’impression de pouvoir voler de mes propres ailes. Je n’avais plus nulles contraintes que l’école m’imposait, j’avais obtenu mes examens haut la main … ceux-ci me permettrait même de pouvoir tenter mon entrée chez les Aurors ! Je savais que j’en avais les moyens mais pour le moment je n’avais pas cet objectif en priorité. Cette ambition qui m’avait fait rêvée jusqu’à ma cinquième année d’études, ne m’était plus prioritaire. Avant tout, je voulais me sentir dans ma peau, et installer les bases de ma vie d’après-Poudlard. J’avais commencé un roman depuis récemment … Je m’y attelais chaque jour, jusque même des heures abominables, mais j’aimais tant écrire que cela ne me dérangeait pas.

    Je n’avais pris tout juste que cinq minutes pour écrire une lettre à ma famille et leur donner des nouvelles de moi, afin qu’ils sachent au moins une chose sur moi : a savoir que j’avais obtenu haut la main mes examens et qu’ils pouvaient être fiers de moi. Que j’avais été à la hauteur de leurs attentes, même si c’était bien la dernière de mes préoccupations. Je savais qu’ils n’abandonneraient jamais l’espoir de me faire revenir vers eux, et vers le chemin qu’ils m’avaient tracé dès ma naissance … Et qui ferait que je serai leur digne héritière mais je n’avais cure des ambitions qu’ils voulaient pour moi.

    Je posais ma plume et me passant les mains sur mon visage et dans mes cheveux, je tournais le visage en direction du miroir à ma droite. Je me trouvais une mine affreuse et je décidais de me réveiller un peu sous l’eau. L’eau chaude glissant en cascade sur ma peau me procura tous les bienfaits nécessaires et je sortis de la bouche, de nouveau revigorée. Puis, j’allais jusqu’à ma garde robe et y après m’être décidée pour une robe légère d’été aux couleurs vives mais printanières, je redescendais au salon dans l’intention de me préparer un petit encas. Je n’avais guère mangé le soir dernier ; j’étais revenu très tard et je n’avais pas eu le courage de me faire autre chose qu’un sandwich. En effet, si je voulais me payer le loyer de mon appartement certes modeste, il fallait bien que je trouve comment le payer. Aussi, comme mon ouvrage était en cours d’écriture et que tant qu’il n’était pas publié, et bien il fallait que je trouve de quoi payer tout ce que je devais, la solution était bel et bien de me trouver un travail.

    La journée d’hier n’avait rien donné de ce côté-là, mais je ne perdais pas espoir. Je finirais bien par trouver quelque chose qui me plaise ou bien autre chose… Quoiqu’il en soit, dans le pire des cas, j’étais bien décidée à accepter tout ce qui me passera sous la main tant que cela me rapporte de l’argent et me permette de survivre à mes besoins. D’un coup d’œil, je constatais qu’il n’était que dix heures. Je n’avais pas réellement envie de sortir pour le moment mais plutôt de rester à la maison … Aussi je m’installais dans le pouf moelleux qui me servait de fauteuil et j’ouvrais un livre pour bouquiner un peu… Pour le moment, je n’avais pas envie de bouger. J’étais bien là chez moi. Malgré que ce soit assez petit, et bien c’était confortable à souhait ; c’était mon petit chez moi. Pendant mon enfance, j’avais vécu dans une grande maison dont je ne connaissais pas même les trois quart, alors j’en avais eu à satiété ! J’aspirais à une vie simple. Et comme on dit, il en faut peu pour être heureux … J’avais actuellement tout ce qu’il me fallait pour l’être vraiment. Pour le moment.


Dernière édition par Isabella Cavaletti le Sam 24 Juil - 15:50, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Days happen themselves in perfect harmony...   Days happen themselves in perfect harmony... EmptySam 24 Juil - 15:22

    Days happen themselves in perfect harmony


Days happen themselves in perfect harmony... Zexy-j10 && Days happen themselves in perfect harmony... 59805210

Mathieu L. Isabella C.


Il ne se passait pas une seule journée sans que je pense à Isabella. J'étais tranquillement dans mon lit, allonger, les mains derrière la tête, la couette sur le bas du corps. Mes yeux étaient fermé, et je pouvais encore voir là beauté féminine de ma tendre amour, Isabella. Depuis que nous avions quittés le château, cela me faisait de plus en plus mal de ne plus la voir. Tout les jours je me posait la même question. Qu'est-elle devenue? Je voulais absolument la voir, mais je ne savait pas par où commencer, ni comment? Elle pouvait être n'importe où à faire n'importe quoi, et si sa trouve elle m'avais complétement oublié. Tranquillement, j'ouvris de nouveau mes yeux, et là, je regarda mon bureau sans savoir pourquoi. Je me leva, me dirigea vers celui-ci, et prit une enveloppe dans la main. Puis, je me dit qu'elle aurais très bien m'envoyer des lettres, tout comme j'aurais bien pu le faire. Je prit une plume, un parchemin qu'il restait sur mon bureau, et commença à lui écrire... Mais quelques minutes plus tard, l'envie de lui écrire m'échappa, et arracha le parchemin. Lui écrire allais peut-être, être la pire des choses que j'aurais fait pour elle, elle ne voulais sans doute plus me voir, ni m'entendre. Quel idiot j'étais.


Je me releva de ma chaise, puis la rangea contre le bureau, en poussant un grand soupir. Je retourna vers mon lit, puis remit la couette dessus bien mise et bien étalée. Ensuite je me dirigea vers mon armoire, prit des affaires, et sortit de ma chambre, toujours avec un soupir. Je m'avança vers ma salle de bain, ouvrit la porte, entre puis la referma derrière moi. Je posa mes affaires sur une chaise, et me regarda dans un miroir quelques seconde après. J'avais mauvaise mine, et le seule moyen, pour me remettre sur pieds était de prendre une bonne douche, alors je tira le rideaux, et fit couler l'eau. Pendant ce temps là, je me déshabilla, puis entra dans la douche. L'eau chaude coulait sur mon corps, comme si une cascade coulais sur des rocher, je prit le shampooing, et me lava les cheveux, suivit de mon corps. Juste après m'avoir lavé, je sortit de la douche prit une serviette, m'essuya et m'habilla juste après. Je rangea ma serviette pour qu'elle sèche puis je sortit de la pièce. Je descendit les escaliers, et me dirigea vers la cuisine. Je regarda l'heure & il était 11h précise. L'heure n'avançais pas très vite, mais au moins elle avançait. Je prit la cafetière, et je remplissait ma tasse avec. Puis je mit ma tasse dans le microonde, et attendit que celui-ci chauffe.


Après avoir attendu environ 20 minutes, mon café était près à être bu. J'ouvris la porte du microonde,et sortit la tasse. Je mit deux sucre dedans, et avec ma tasse tranquillement je me dirigea vers mon salon. Je me posa sur mon canapé, puis je bu mon café avec une vitesse à m'en brûler la gorge. Après l'avoir bu, je posa la tasse sur la table, et regarda le magazine qui se trouvait juste à côté de l'objet noir ou j'avais bu mon café. Le magazine je l'avais lu plusieurs fois, mais là j'en avais même pas envie, alors je me releva et alla vers la fenêtre. Je l'ouvris, et regarda à l'extérieure. Il ne faisait pas très beau, mais quand même un petit peu, et le vent soufflait bien fort. Puis ne sachant pas ce que je voulais faire, je me demanda si aller voir Isabella me ferais du bien. Put-être que sa lui ferais du bien à elle aussi de me voir? Nous voir serrais une très bonne idée, on pourrait encore parlez, et surtout reformer un couple comme si nous étions encore à Poudlard. J'étais décidé, je me dirigea vers ma penderie, prit ma veste, mes clef et sortit de chez moi. Je ferma la porte à clef. Puis je me dirigea vers mon portail l'ouvrit, et le referma aussi.

******************************************************


J'étais près à partir, mais le soucis c'était que Isabella habitait un plus loin que chez moi. Et comme je n'avais pas de voiture, comment j'allais y aller? Je ne pouvais pas prendre un balai volant sinon les Moldus m'auraient vu où alors il se serraient traitez de fous. Il faillait que je trouve un moyen, le moyen le plus efficaces, était d'y aller à pieds, où alors prendre un Portoloin. Mais si je prenais un Portoloin, je risquerais d'arrivé n'importe chez elle, où même nulle part. Alors je décida d'y aller à pieds. Je marcha environ une demi heures, et arriva dans les rues de Londres, mais il m'était impossible de continue à marcher, heureusement un taxi était arrêter, alors je lui demanda gentiment de me conduire à ma destination. Le chauffeur accepta avec plaisir et m'y emmena. Une fois arrivé à destination, je remercia le chauffeur, le paya, puis je me retourna et regarda l'appartement. Cette appartement et bien Isabella y habitait. J'y entra, prit l'ascenseur et monta à l'étage de l'appartement de Isabella. L'ascenseur fit un petit bruit, pour dire que j'étais arrivé, il s'ouvrit, et je sortit. Je marcha encore un petit peu, jusqu'à arriver devant la porte de Isabella. Je prit une grande respiration , posa serras ma main en poing, et puis frappa à la porte. Après avoir frapper à la porte je reprit une grande respiration, et attendit que la jeune femme ouvre la porte.


Dernière édition par Mathieu J. Lewis le Jeu 29 Juil - 17:31, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Days happen themselves in perfect harmony...   Days happen themselves in perfect harmony... EmptyMer 28 Juil - 15:42

    Pendant la demi-heure qui suivie, je me plongeais dans l’univers fictif du livre que j’avais choisi … Je laissais mon esprit errer sur les chemins d’un monde inventé de toutes pièces par quelqu’un, je laissais mon esprit s’égarer sur des mots formant des phrases et le tout formant des histoires… Grâce à de simples mots, des histoires entières, des personnages savaient prendre vie … L’émotion la plus incroyable était même de faire naître des émotions aux lecteurs pour des personnages qui originellement n’existaient pas…

    Après Poudlard, après avoir passé mes examens, j’étais repartie en Italie, durant les six mois suivants j’y restais … Je savais que ce serait mon dernier voyage, que je n’y retournerai pas de si tôt. Je désirais rendre hommage à ma grand-mère, dont le décès était survenu le jour du mariage d’une personne que j’aimais beaucoup … Je n’avais donc pas la tête ce jour-là à aller à un mariage mais, on ne choisit pas ces jours n’est-ce pas ? Mes pensées avaient, dès le lendemain, été détournées en direction de ma grand-mère qui était le seul et le dernier lien qui ma rattachait vraiment à mes origines. Le reste, il ne manquerait pas. Et malgré ses parents qui lui demanderait – exigeraient- que je reste, je ne resterai pas. Je ne voyais pas ma vie là-bas, avec eux, avec les projets qu’ils m’avaient réservée depuis que je suis née… Non, hormis mes résultats scolaires que j’étais certaine réussi, hormis le fait que mes parents seraient comblés et que je ne descendrai pas dans leur estime, je ne resterai pas… Je n’en avais que faire d’ailleurs des projets qu’ils avaient pour moi : Tout ce que je désirais c’était être moi-même.

    J’avais voulu faire ce voyage seule. Ce voyage jusque l’Italie. Nous nous étions quittés le dernier jour des cours, Mathieu et moi, … j’étais certaine que l’on se reverrait bien entendu mais depuis, le seul moyen de liaison que nous avions utilisés étaient les lettres. Oh je suis certaine qu’il aurait aimé venir avec moi, mais je ne voulais pas … Je devais entreprendre ce voyage seule, de moi-même, et de deux, je ne voulais pas qu’il voit ma famille … peut-être qu’il ne sente pas à la hauteur … ? Mais personnellement, je me fichais de ce que ma famille penserait de lui, je voulais vivre ma vie simplement comme je l’entendais.

    Finalement, j’avais eu quelques retardements qui avaient faits que je n’étais rentrés qu’il n’y avait que six mois … J’ignorais où en était Mathieu, s’il avait fait sa vie à côté ce que j’aurai compris … Entreprendre une correspondance à distance pendant plus de six mois, je pouvais comprendre que cela paraisse difficile au bout du compte… Pourquoi être partie si longtemps ? Je ne pouvais l’expliquer ; j’avais rencontré un ami que je n’avais pas vu depuis longtemps … Depuis mon départ d’ici en fait, lorsqu’elle j’avais déménagé à Londres pour aller habiter avec ma sœur aînée en Angleterre …Sœur d’ailleurs qui était, en ce moment même d’après mes informations, du côté des Etats-Unis actuellement … Elle y avait rencontré un jeune homme avec lequel elle vivait depuis six mois et je ne l’avais pas revue depuis. Mis à part reçue quelques lettres m’invitant à plusieurs reprises à venir la rejoindre. Cependant, je ne m’étais pas décidée encore.

    J’étais donc revenue ici il y avait six mois, j’avais également annoncé à Mathieu que j’étais de retour, évidemment, mais je ne m’attendais ce matin-là à le découvrir juste derrière la porte ce jour-là… Heureuse de le revoir, je lui tombais dans les bras puis m’écartais et le laissais d’entrer avec l’impression qu’un char me roulait et piétinait à l’intérieur de moi.

    « Bonjour Mat’ comment tu vas ?... Je ne savais pas que tu venais ! ça me fait plaisir de te revoir depuis le temps ! » Après un instant de silence alors que je lui indiquais la direction du salon, j’ajoutais en souriant … « Tu veux quelque chose à boire ? »
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MessageSujet: Re: Days happen themselves in perfect harmony...   Days happen themselves in perfect harmony... EmptyMar 12 Oct - 20:05

Pendant la demi-heures qui suivait je me trouvais dans la rues entrain de marcher pour aller me rendre chez la douce Cavaletti, autrement dit Isabella. À chaque fois que je prononçais ce prénom je ne pouvais m'empêcher de me rappeler comment nous nous étions rencontrés, voir même retrouver. Quand j'étais encore à Poudlard les choses étaient encore plus faciles pour elle & moi, mais depuis nous n'avions plus de contact, physique bien sûre. Je n'avais même plus eux la force de sortir de chez de moi pour aller la voir sauf peut-être aujourd'hui & encore, une seule chose m'avais pousser de chez moi pour aller la revoir. Elle me manquait trop voilà pourquoi, il ne pouvais jamais ce passer des année sans que je pense à elle, si cela n'est pas une preuve d'amour je ne savais pas ce que sa pouvais être.

Poudlard avec Isabella à mes côté c'est vraiment autre chose que d'être dans le Parc du château. À vrai dire, quand je l'avais retrouver dans le Parc un jour derrière le chêne, c'était vraiment magique que je m'en souviendrais toujours. Avec ses petits poèmes, ah bah ça ses poèmes elle ne les quitteras jamais faut bien le croire. Elle adorais ça & je le savais bien. Elle m'en avais réciter, mais maintenant je ne m'en souvenais plus, ça remontait à longtemps, maintenant je devais consacrer ma vie à autre chose.

J'étais vraiment presser de la revoir que j'accélérerai le pas. Je ne pouvais plus ternir il fallait que je la vois. Elle devais avoir changer, mais elle devais être toujours aussi belle. Son sourire me manquait, la tenir dans mes bras me manquait, l'embrasser me manquait, mais j'avais peur aussi. Peur qu'elle m'ait oublié, & qu'elle ait refait sa vie avec un autre homme que moi. Je savais qu'elle était fidèle, & c'était même réciproque, mais comme on dit, les gens changent quand ils grandissent. Et c'était pour cela que je devais la voir & avoir le cœur net.

Une fois arrivé devant l'hôtel de son appartement, je pris l'ascenseur & monta jusqu'au niveaux ou son appartement se trouvais. Je pensais qu'elle allais avoir une maison, mais un appartement... Mais bon c'était mieux que rien & elle faisait ce qu'elle voulais après tout. Une fois arrivé à l'étage de ma destination, je continua de marcher jusqu'à arriver devant la porte ou le nom de I. Cavaletti s'y était mis. Je frappa à la porte & attendit quelque minutes. Je savais qu'elle était rentré, & je savais qu'elle ne s'attendait pas à me voir là devant chez elle ce matin là, & pourtant c'était bien réel. Je vu que la poignée se força puis que la porte s'ouvrit.. Et là.... Isabella!. C'était bien elle, elle était toujours aussi belle, sa beauté m'avais manqué terriblement.. Elle tomba dans mes bras puis je la serrais fortement, puis elle s'écarta tout me disant « Bonjour Mat’ comment tu vas ?... Je ne savais pas que tu venais ! ça me fait plaisir de te revoir depuis le temps ! » . Après quelque seconde de silences alors qu'elle me fit signe d'où était le salon, elle me demanda à nouveaux « Tu veux quelque chose à boire ? » .

J'allais au salon avec elle, tout en lui répondant:

-Bonjour Isa, je vais très bien depuis ces longues année ou nous nous sommes pas vu. Et toi comment tu vas? Et bien quand j'ai appris que tu était revenue, je ne pouvais m'empêcher de te revoir, tu ma tellement manqué. Moi aussi je ravi de te revoir. Il sentit son cœur se serrer, il avais tellement hâte de la reprendre dans sa bras et de l'embrasser. -Et puis si tu à du café se serrais avec plaisir.

[HJ: Désolé pour le long retard Argh Days happen themselves in perfect harmony... 36643]
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MessageSujet: Re: Days happen themselves in perfect harmony...   Days happen themselves in perfect harmony... EmptyLun 21 Fév - 16:48

    [HJ : .... Depuis octobre Shocked Shocked Shocked ]


    Cela lui avait fait étrange de le revoir aujourd’hui. A vrai dire, après tous ces mois où elle s’était presque exilée elle-même, elle l’avait cru que ses anciens amis l’auraient oubliée. Ce voyage avait été important pour elle... Il y avait des moments comme cela dans notre vie où l’on avait besoin de se retrouver, de trouver qui l’on était vraiment... C’était à cette époque là que son écriture avait également connu un changement radicale de style aussi ; comme s’il avait suivi son évolution. La jeune Isabella innocente et un peu naïve en ce qui concernait la vie n’était plus vraiment ; elle était revenue plus changée, déterminée à donner un sens à sa vie, et sans aucune aide de ses parents. Premièrement d’ailleurs, elle leur avait tenu tête, pour la première fois de sa vie ; elle ne laisserait plus marcher sur les pieds ni par sa cousine ni par eux, et elle ne voulait pas qu’ils prennent en mains. C’était elle que cela regardait, personne d’autres. Quand elle leur avait dit qu’ils n’avaient pas intérêt à lui mettre des bâtons dans les roues, ils n’avaient rien trouvé de mieux à faire que de lui dire que c’était probablement la dernière fois qu’elle remettait les pieds ici chez eux. Ils avaient employé ‘chez eux’, comme si ce n’était déjà plus chez elle. Sans doute d’avoir une écrivaine dans la famille était ce qui avait fait le plus rude choc. Ils la traitaient d’inconsciente, que cela ne la mènera nul part ; que ce n’était même pas un métier ce qu’elle voulait être. et que dès qu’elle n’aura plus d’argent, elle viendra pleurer à leur porte et leur réclamer de l’argent. Ils l’imaginait déjà à la rue. La jeune fille tout juste sortie de Poudlard avait sentit ses joues s’empourprer et ses poings se serrer. C’était alors ainsi qu’ils la voyaient ; de toute les façons elle avait toujours su qu’ils n’avaient jamais eu une très haute opinion d’elle mais qu’ils avaient fondé leurs espoirs sur le fait qu’elle suivrait ‘ce qu’ils voulaient’ pour elle, qu’elles suive ‘leurs’ ambitions... Ils avaient espéré qu’elle ait un vrai métier. Elle leur montrerait. Et ils regretteront. Elle était partie quasiment en fureur de chez elle. Sa tristesse à l’annonce de la mort de sa grand-mère s’était juste envolée... Son deuil n’avait alors duré que deux jours... Que sa grand mère lui manquait ! Elle, elle l’aurait comprit ; elle l’avait toujours comprit ; elle l’avait toujours écoutée, et elle s’était toujours confiée à elle. Elle aurait tellement fière qu’Isabella lui dise qu’elle voulait écrire.

    Isabella était rentrée fatiguée au final de ce voyage. Elle n’était pas rentrée directement en Angleterre avant ; elle était partie aux Etats-Unis, elle avait envie de prendre l’air. Elle était rentrée plus fatiguée mais plus déterminée dans sa volonté de montrer à tous qu’elle réussirait aller au bout de ses ambitions. A cette époque, elle avait découvert les romans d’une certaine Sélène Fitzwilliam et celle-ci était devenue vraiment son idole, mais vraiment ; elle adorait comment elle écrivait, comme qu’elle parlait de la vie, de ses expériences, elle savait parler au coeur même des gens, c’était... C’était indescriptible. D’ailleurs, ce matin-là elle comptait sortir en ville pour acheter son dernier livre, quand elle avait entendu la porte d’entrée s’ouvrir. Et là, c’était comme si que des souvenirs du passé lui étaient revenus de plein fouet au visage.... Et le feu au ventre. Un certain malaise également. Comment ne pas ressentir du malaise en sachant que la dernière fois qu’elle l’avait vu, c’était il y avait des mois en lui disant qu’elle ne voulait absolument pas qu’il l’accompagne, que très souvent on devait être seul pour faire des choses... A vrai dire, à ce moment-là, elle avait cru sincèrement qu’il ne l’attendrait pas, qu’il trouverait quelqu’un d’autres et referait sa vie. D’ailleurs, peut-être était-ce qu’il avait d’ailleurs fait, non ? Subrepticement, ses yeux glissèrent sur sa main droite ; rien... Cela ne voulait rien dire, absolument rien dire. Ça, c’était certain, il lui avait manqué... Mais il était difficile pour elle à ce moment-là d’analyser quels étaient ses sentiments entremêlés...

    Elle le fit ensuite chez elle. C’était tout à fait modeste. Un appartement quatre pièces ; un salon, une cuisine, deux chambres. Sans compter la salle de bain toilettes évidemment, mais l’appartement était aménagé très confortablement et avait une bonne exposition au soleil dès le matin ; exposition qu’il gardait toute la journée aussi y faisait-il une température modérée tout au long de la journée. Le faisant entrer dans le salon, elle le laissa passer devant elle tout en l’écoutant et en lui répondant...

    “Un peu exténuée par ce long voyage duquel je reviens, mais ça va.” Elle ressentait un certain malaise de parler ce voyage qui ne s’était qu’à moitié bien passé, elle ne savait pas quoi en dire d’ailleurs et peut-être tout simplement ne voulait-elle pas en parler. Elle fut rassurée lorsqu’il lui dit qu’il prendrait un peu de café si elle en avait et sur un hochement de tête, elle fit demi-tour vers sa cuisine, en lui ayant au préalable dit qu’il pouvait s’asseoir en attendant. Elle termina ses mots par un sourire puis, elle disparut dans la cuisine qui jouxtait le salon bien que les deux pièces n’étaient séparées que par une demie cloison... Un peu comme une cuisine américaine en d’autres termes. Comme ça par exemple < ici >

    Elle revint par la suite avec une cafetière, une théière, deux tasses plus des petits gâteaux - elle était loin d’être l’hôte exemplaire mais elle n’était pas issue de Poufsouffle pour rien et rien n’importait plus que de donner un accueil convenable à des amis que l’on recevait... Tous les amis y comprit. Elle mettait même un point d’honneur à toujours les accueillir comme il se devait... Enfin, à l’origine, la nature calme et posée d’Isabella avait toujours mis à l’aise tout le monde dans les dispositions d’autrui à son égard.

    “Alors et sinon, que fais-tu à présent ?” l’interrogea t-elle avant de lui verser du thé dans sa tasse et de remplir de thé la tasse qu’elle avait amené pour elle. Elle sourit, puis prit sa propre tasse bien chaude entre ses mains.

    Une manière comme une autre d’engager la conversation... Après tout ces mois c’était vrai, que faisait-il donc, qu’avait-il fait depuis tout ce temps ? Même si ce qui importait le plus, c’était le présent.



[HJ : Sorry c'est pas super je trouve en plus, j'espère que ça te va <_< ]
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